J'ai tué Raspoutine

Sur un sujet aussi romanesque , le film , très théâtral , même au bon sens du terme , ne donne pas l'ampleur qui convient au personnage qui manque singulièrement de charisme ; de même qu'ici le groupe d 'assassin; c'est intéressant mais cela manque de flamme. On aperçoit au début le vrai prince Youssoupov interrogé par Alain Decault. Balkany , futur maire de Levallois , joue ici son dernier rôle au cinéma.

Film à caractère historique. Le scénario se veut être la véritable histoire de l'assassinat de Raspoutine par le prince Youssoupov. Le récit est assez simpliste, sans aucune action, (sauf à la fin), les dialogues sont plutôt banals. La reconstitution historique manque de souffle. Presque tout est en studio. Les extérieurs : une forêt. Les décors intérieurs sont de qualité, mais la réalisation trop sage frise parfois l'ennui. Les ...
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Forts du témoignage unique et inédit de l'assassin du moine Raspoutine, le comte Youssoupoff en personne, interviewé au début du film, Robert Hossein et Alain Decaux prétendent rétablir la vérité sur un incident de l'Histoire russe qui, peut-être, a précipité la chute du Tsar. Sur le mode slave, authentique ou non -peu importe au regard des faiblesses multiples de la mise en scène- le film est donc le récit d'un complot. Celui ...
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andré hossein compositeur méconnu, il me semble signait dans j'ai tué raspoutine une musique qui ne passait pas inaperçue, je me trompe?