Sebastien Nuzzo réalise là un court-métrage sans prétention qui ressemble étrangement à ce que Jean-Pierre Jeunet a fait dans son film Le Fabuleux destin d'Amélie Poulain (2001).
En effet, dans Lucille et le Photomaton (1992), Lucille adore se faire photographier dans les photomatons et découvre qu’une personne (qui lui est inconnue) laisse derrière elle ses photos. Dans la version de Jeunet (qui a été réalisée presque dix ans ...
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