Ars promène l’amour et la douleur d’un curé dans les lieux qu’il occupait autrefois. La caméra de Jacques Demy sonde le village et capte ce qui résiste au temps. Sa caméra interroge ces lieux, la voix off les poétise. Le cinéma représente, rend présent ce qui n’est plus là, ce qui reste à l’état de mystère. Le cinéma reprend, comme le prêtre a su reprendre sa paroisse ; il lui emprunte son énergie, sa « force tranquille ...
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