(...) Ôshima, dès ce prologue et jusque au tout dernier plan, jouera avec nos perceptions.
– La narration en apparence linéaire, est pourtant composée de « flashbacks » non-linéaires et de (très) nombreuses répétitions, expliquant petit à petit qui est R. , et pourquoi R. est R. ;
– Les mises-en-scène, celle du film, celles de la vie de R. , et quelques-unes de l’ordre du fantasme… Entremêlées;
– Le jeu des différents ...
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