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    Creep
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    2,4
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    388 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 17 avril 2013
    En lisant les avis je m'attendais à mieux, le pitch était plutôt bien qu'on se demande comment le réalisateur peu nous faire un film d'1H20 avec une fille seule dans le métro. En réalité, il y a plusieurs personnes, sinon pas assez de spectacle. Le tueur est un croisement entre gollum et un infecté de La colline à des yeux. Dans ce film beaucoup de questions restent sans réponses, ont peu me dire que c'est pour garder du mystère et faire peur, mais pour moi c'est une excuse pour montrer des meurtres. Du même réalisateur préféré plutôt Triangle.
    class  anciennement aokijuper
    class anciennement aokijuper

    4 abonnés 122 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 mars 2013
    Creep est un très bon film d'horreur, il fait flippé et il est vraiment angoissant, les scènes d'obscurité sont réussi et l'image du film est vraiment flippante, 1 scène vraiment spéciale et assez gore fait partie du film à part ça le film n'est vraiment pas trop gore.
    Truman.
    Truman.

    207 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 mars 2013
    Excellent film d'horreur , gore , violent , sombre et original , Creep est aussi remplit de tension du début a la fin . Le tout sur un rythme effréné . Le tueur est charismatique et effrayant . Un film a voir absolument pour les fans d'horreur .
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 15 février 2013
    Un bon film . Le suspens est présent une bonne partie du film et ensuite l'identité du (terrible) tueur nous est révélé et le mystère cède peu à peu sa place aux scènes violentes sans pour autant tombé dans l'absurde et le ridicule . Cela faisait un petit moment que je souhaitais visionné ce fameux Creep et je n'ai pas été déçu sachant en plus que c'est la première réalisation du talentueux cinéaste qui réalisera , plus tard , l'énigmatique Triangle . 3/5 .
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 13 janvier 2013
    Comme souvent, la bande annonce laissait penser à un film sympa. J'étais allé voir aussi l'avis sur allo ciné et bien quelle fut ma déception. Jusqu'à ce que l'on voit l'espère de monstre, on se demande qui est le tueur et on essaie de s'accrocher et alors après, c'est mauvais! Il faut le voir pour se faire son propre avis, mais pour moi, je louvoierais vite.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 6 janvier 2013
    La première moitié du film est excellente (les couloirs du métro sont magnifiquement filmés et la tension est très bien rendue, sans musique alourdissante), la seconde l'est un peu moins (le réalisateur ayant choisi d'en montrer beaucoup, dissipant un peu le mystère et laissant place à quelques scènes très gores "en plein jour"). Mais ce parti pris ne gâche pas pour autant ce film (dont les rebondissements sont plutôt bien gérés), qui m'a rappelé le très bon The Descent à certains égards.
    Constant M.
    Constant M.

    26 abonnés 192 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 décembre 2012
    Un très bon film angoissant ! La tension est souvent présente et nous fait parfois frissonner de peur. L'actrice principale n'est pas excellente mais n'est pas mauvaise non plus ! Les décors sont plaisants, le fait que tout se passe dans le métro n'est pas dérangeant et est au contraire plaisant. L'histoire est a mon goût légèrement trop fantaisiste ( les créatures mi-homme mi-cromagnon mi-bête mi-zombi mi-nimportequoi bizarres mangeuses d'hommes je crois que j'en ai eu ma dose ). Sinon le film se laisse regarder sans grande peine et on arrive au bout du film très rapidement avec quelques frayeurs a la clé ! 3.5/5 Il est dans l'ensemble bien !
    Marc Taton (Belgique)
    Marc Taton (Belgique)

    26 abonnés 529 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 décembre 2012
    Un bon film d'horreur qui se déroule dans les sous-sols du métro de Londres. L'ambiance est assez glauque et le scénario ne comporte aucun temps mort, en résumé cette réalisation vaut le détour !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 1 décembre 2012
    Après une soirée bien arrosée, une femme se retrouve bloquée dans le metro de Londres et les lumières s'éteignent. Commence alors le cauchemar. Un film bien fait assez flippant. Un bon moment
    ygor parizel
    ygor parizel

    207 abonnés 2 503 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 novembre 2012
    Un assez bon film d'horreur, mystérieux et avec une certaine tension. Les lieux de l'action sont très sombres et glauques, les personnages sont pas très malins (mais c'est inhérent au genre). Je trouve la mise en scène plutôt inspirée.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 18 novembre 2012
    A partir du moment ou elle rentre dans le métro l'intrigue et le suspens et peut être même la peur pour certain ou l'angoisse est bien présente mais a partir du moment ou on spoiler: vois notre fameux tueur fou allié
    ça ma fait plus rire que peur LOL spoiler: c'était mieux quand on le voyais pas
    puis apres j'ai trouver que la suite était beaucoup trop exagérer pour ma pars , surréaliste et beaucoup trop prévisible aucune surprise je savais déjà comment ça allais finir perso .. pour ceux qui l'ont pas vu encore je vous propose de regarder 2ème sous-sol qui est un peu dans le même genre situation mais ça se passe dans un garage et il bien meilleur que celui-ci vla a vous de voir bon film :)
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 janvier 2015
    Les films d'horreur se ressemblent tous, dit-on. Ce qui n'est pas complètement faux, dans la mesure où ils se basent tous globalement sur un même schéma, qui consiste tout bêtement et simplement en une plongée (dans l'horreur, globalement).
    Ce qui différencie les films les uns des autres se distingue en trois critères primordiaux : jusqu’où le cinéaste va plonger, ce qu'il va nous y montrer et, surtout, dans quel état va-t-on en sortir. Ces trois éléments permettent des variations infinies au sein de ce schéma restreint inhérent au cinéma d'horreur : de Shining, vision angoissée d'un esprit défaillant, on passe au second chapitre d'Hostel, jubilatoire conte sociopathe, en passant par la sauvagerie métafilmique de Scream.
    Souvent, les films d'horreurs les moins appréciés sont des plongées très profondes non pas dans l'esprit humain (Shining) ou dans le fantasme (Les Autres), mais dans une sorte de marginalité qui se rapproche parfois de l'antisociabilité (Hostel, La Colline a des Yeux), toujours de l'animalité.

    Si la vision de Creep est aussi sidérante, c'est parce qu'il s'agit probablement de la plongée la plus profonde qui soit. Il ne s'agit pas de montrer un travers défiguré du capitalisme comme dans Hostel, ou de s'approcher d'un instinct familial très animal dans The Descent, mais, tout simplement, de s'engouffrer de manière stupéfiante dans le dehors de la société. Et complètement, s'il vous plaît.
    Le fait que le film se passe dans un métro n'est pas anodin : ce symbole d'un rythme social conventionnel ne va très vite plus du tout ressembler à un métro, mais plus à une sorte de cave labyrinthique aux murs glacés (une grande partie du film n'a d'ailleurs pas été tournée dans un métro), ce qui met en exergue la désocialisation de Kate, et du film dans son ensemble.
    Les seuls alliés de Kate ne sont, après la mort de Guy, que des marginaux : un taulard en liberté conditionnelle, et des SDF. Kate, pour survivre, va devoir aller au delà de ce statut de marginal. Elle va être obligée de s'extirper de la société pour se confronter à la notion d'individu (son individu, aidée d'autres individus, contre un autre individu).
    Plus encore : se confronter à une notion d'individu lavée de toute influence issue de l'entité sociale actuelle. Il s'agit donc, paradoxalement, d'une sorte de purification humaine, par un retour à l'impulsivité (ses talons deviennent des armes), et donc à l'affect.
    C'est pour ça que Kate, si elle se trouve en dehors de la société, n'est pas fermée au relationnel, au lien avec l'autre. Il faut se reposer sur tous les sentiments, quels qu'ils soient, pour survivre dans cet enfer.

    Craig, le monstre auquel elle va devoir se confronter, semble être une difformité de la société, un peu à la manière des mutants de La Colline a des Yeux, ou des milliardaires de Hostel qui deviennent pendant quelques heures l'expression meurtrière de leurs névroses sociales. Or, il n'en est rien. Craig ne fait qu'imiter le monde d'en haut, pour être autre chose que le tas de cicatrices hideuses qu'il représente. Il n'est pas une mutation de la société, il n'est pas un humain qui a « plongé », mais une entité qui fait le trajet inverse de Kate. Il tente péniblement et vainement de monter (en imitant, donc), là ou celle-ci est entraînée dans une descente fulgurante vers un monde viscéral. Le croisement de leurs deux trajectoires est à l'origine de l'horreur que Creep génère.
    Kate, pour pouvoir survivre (et vaincre la monstruosité), va devoir tomber plus bas que Craig. Elle va devoir définitivement céder à la sauvagerie, à l'intuition de la mort.,
    Cet état terminal de la plongée, atteint lors de l'affrontement final du film, est un déferlement d'une violence sidérante, aussi bien par la force de la mise en scène de Christopher Smith que par ce qu'elle suggère dans l'auto-destruction sociale de Kate.
    Mais l'instant le plus terrifiant du film survient un peu plus tard, lors de la relative réinsertion de Kate dans la société, (attention ça va spoiler), spoiler: lorsqu'un passant lui jette une pièce comme à un SDF et qu'elle se met alors à rire puis pleurer face caméra, avant de jeter un regard des plus intenses à son plus proche compagnon de galère, celui qui l'a suivie et soutenue jusqu'au plus profond de l'enfer : le spectateur.

    La purification qui a été effectuée se révèle donc dans ce finale génial comme étant aussi bien une cure qu'une tare, puisqu'elle réduit le personnage, anciennement roi dans son « monde », à un marginal, quelqu'un d' « almost human », un être enfermé au royaume de l'affect.
    Mathieu H.
    Mathieu H.

    21 abonnés 290 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 septembre 2012
    De ce que je me rappelle du précédent film de Christopher Smith, "Severance", l'humour noir était plus que présent. Relative confirmation ici avec "Creep", qui quitte un peu le domaine de prédilection du cinéma d'épouvante d'outre-Manche (illustré par "Black Sheep" ou "Shaun of the Dead") pour se tourner vers une horreur primitive marchant à l'économie : pas d'effets sonores grotesques, une utilisation limitée de l'hémoglobine ... Ici, le cinéaste en appelle plus à notre stress, à notre peur du noir et de notre claustrophobie. Tourné dans une ancienne usine de Cologne, le film restitue bien le dédale du métro londonien. Mais on ne peut pas passer à côté d'une certaine maigreur du scénario qui finit vite par tourner en rond. Et même si Smith prend le parti de nous montrer son tueur à l'écran, en le rendant presque omniprésent dans la deuxième moitié du long-métrage, on se demande pourquoi celui-ci est si grotesque, si fantomatique presque, et pourquoi il l'est si inexplicablement. Un tueur humain aurait sans doute donner plus de puissance à l'ensemble, assez linéaire (et assez court ...), trop peu souvent redressé par quelques retournements de situation ou surprises.
    Uncertainregard
    Uncertainregard

    97 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 28 septembre 2012
    Et un film d'horreur de plus dans le métro! Un! J'avoue que c'est le manque de nouveauté dans ma DVDthèque et d'avoir vu Franka Potente au générique qui m'ont poussé à voir cette énième série d'exécutions sommaires dans cette ravissante construction du peuple termite si utile dans nos mégalopoles mais si propice à de nombreuses angoisses. Rien de bien neuf si ce n'est cette créature bizarre rappelant étrangement les zombies de "The descent". Scénario incohérent, réalisation conventionnelle, pas vraiment un horreur plutôt un épouvante vu le peu de scène trash, aucuns frissons ressentis mais satisfera peut-être les fans du genre...
    RedArrow
    RedArrow

    1 549 abonnés 1 502 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 avril 2013
    Premier long-métrage du très doué Christopher Smith (Severance, Black death et surtout Triangle), Creep a marqué, avec The descent, le renouveau du cinéma britannique de genre.
    Ce survival gore d'une efficacité diabolique est doté d'un tueur assez charismatique dont la quasi-absence dans la première partie et l'omniprésence dans la seconde sont plutôt bien gérées. Ses origines nous sont dévoilées en partie dans une séquence mémorable: la scène de l'opération, absolument glaçante.
    D'une durée très courte (1h20), le film a un rythme soutenu et arrive à surprendre souvent même si un montage un peu approximatif dans la deuxième partie et des décisions pas très malignes de l'héroïne (elle a plusieurs fois l'occasion d'achever le tueur et puis non) gâchent un peu la fête.
    Enfin, Creep se permet même d'aborder le thème de l'exclusion sociale aux travers des personnages des SDF, du tueur bien sûr, et d'une fin très ironique.
    Film d'horreur plutôt malin, Creep vaut vraiment le détour...
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