Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Aden
par La rédacion
(...) la justesse de l'analyse psychologique et des trajectoires individuelles s'inscrit en toute sobriété au coeur des paysages grandioses.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
(...) une ample chronique familiale, sans effets spectaculaires, centrée sur des personnages attachants.
Le Monde
par Florence Colombani
Tandis que leur famille restée en Allemagne est décimée, Walter et Jettel tentent de croire encore l'un en l'autre, malgré tout. Mettre au centre du film ce combat intime, ardu mais dérisoire au regard de la tragédie collective, est un beau choix humaniste, qui fait de Nowhere in Africa une oeuvre profondément attachante.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par La rédaction
Si les personnages n'échappent pas, par moments, à une certaine héroïsation, ce regard allemand sur un pan méconnu de l'histoire de la Seconde Guerre Mondiale vaut à lui seul le déplacement.
Première
par Olivier Lemaire
Sans violons ni exagération, chaque comédien (une petite fille enchanteresse) et chaque effet (on n'a jamais vu d'ellipse aussi habile) contribuent à une harmonie globale qui conjugue rêve et réflexion.
Studio Magazine
par Juliette Michaud
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Marjolaine Jarry
La sensualité de l'Afrique imprègne la pellicule mais c'est pour mieux nous parler d'une terre d'accueil, de l'exil et des révolutions intérieurs qu'il entraîne, d'un couple bousculé par cette aventure et filmé dans toute son authenticité, sans pathos ni idéalisation.
aVoir-aLire.com
par Jennifer Homère
Nowhere in Africa est la preuve que le classicisme au cinéma (musique vibrante, ralentis, grands sentiments...) sait encore être magique. La réalisatrice a magnifiquement su filmer l'Afrique, à mille lieues du safari-photo et des clichés de l'Afrique colonisée.
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
par La rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Gilles Renault
(...) une saga au petit pied ; pièce montée humaniste, qu'une mise en scène par trop benoîte manque à tout instant de faire s'écrouler.
MCinéma.com
par Camille Brun
Nowhere in Africa a tout d'une carte postale envoyée par un ami parti en voyage dans un pays exotique. Comme elle, le film, beau, lisse, et sans aucune épaisseur, fait vaguement plaisir sur le moment. Mais, telle une carte postale, à peine vu, le film est déjà oublié.
Positif
par Eithne O'Neill
Avec une énergie louable, le film tente de réunir trois axes : dépeindre le courage de ces Allemands (...) et l'épanouissement du couple instable ; montrer avec précision les beaux paysages et les rites ; focaliser sur le point de vue de Regina (...). Et le spectateur ne sait pas au juste sur quel pied danser.
Télérama
par Cécile Mury
(...) les grands sentiments paraissent bien mièvres, la rencontre avec l'Afrique ressemble à une collection de jolis poncifs, du serviteur noir sagace-et-dévoué aux panoramas touristiques sur un Kenya qu'on aurait préféré moins décoratif. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
(...) la justesse de l'analyse psychologique et des trajectoires individuelles s'inscrit en toute sobriété au coeur des paysages grandioses.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
(...) une ample chronique familiale, sans effets spectaculaires, centrée sur des personnages attachants.
Le Monde
Tandis que leur famille restée en Allemagne est décimée, Walter et Jettel tentent de croire encore l'un en l'autre, malgré tout. Mettre au centre du film ce combat intime, ardu mais dérisoire au regard de la tragédie collective, est un beau choix humaniste, qui fait de Nowhere in Africa une oeuvre profondément attachante.
Les Inrockuptibles
Si les personnages n'échappent pas, par moments, à une certaine héroïsation, ce regard allemand sur un pan méconnu de l'histoire de la Seconde Guerre Mondiale vaut à lui seul le déplacement.
Première
Sans violons ni exagération, chaque comédien (une petite fille enchanteresse) et chaque effet (on n'a jamais vu d'ellipse aussi habile) contribuent à une harmonie globale qui conjugue rêve et réflexion.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
La sensualité de l'Afrique imprègne la pellicule mais c'est pour mieux nous parler d'une terre d'accueil, de l'exil et des révolutions intérieurs qu'il entraîne, d'un couple bousculé par cette aventure et filmé dans toute son authenticité, sans pathos ni idéalisation.
aVoir-aLire.com
Nowhere in Africa est la preuve que le classicisme au cinéma (musique vibrante, ralentis, grands sentiments...) sait encore être magique. La réalisatrice a magnifiquement su filmer l'Afrique, à mille lieues du safari-photo et des clichés de l'Afrique colonisée.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
(...) une saga au petit pied ; pièce montée humaniste, qu'une mise en scène par trop benoîte manque à tout instant de faire s'écrouler.
MCinéma.com
Nowhere in Africa a tout d'une carte postale envoyée par un ami parti en voyage dans un pays exotique. Comme elle, le film, beau, lisse, et sans aucune épaisseur, fait vaguement plaisir sur le moment. Mais, telle une carte postale, à peine vu, le film est déjà oublié.
Positif
Avec une énergie louable, le film tente de réunir trois axes : dépeindre le courage de ces Allemands (...) et l'épanouissement du couple instable ; montrer avec précision les beaux paysages et les rites ; focaliser sur le point de vue de Regina (...). Et le spectateur ne sait pas au juste sur quel pied danser.
Télérama
(...) les grands sentiments paraissent bien mièvres, la rencontre avec l'Afrique ressemble à une collection de jolis poncifs, du serviteur noir sagace-et-dévoué aux panoramas touristiques sur un Kenya qu'on aurait préféré moins décoratif. Dommage.