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    Quo Vadis
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    3,8
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    66 critiques spectateurs

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    Topaze87
    Topaze87

    6 abonnés 318 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mai 2024
    Un péplum à grand spectacle plutôt réussi qui bénéficie d’une belle distribution,. Le film contient quelques temps faibles du fait de sa durée mais on ne décroche jamais pendant près de trois heures.
    VOSTTL
    VOSTTL

    70 abonnés 1 803 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 mai 2024
    Il y a deux ans, je consacrais un été à Robert Bresson avec 6 films et à la Nouvelle Vague. Me voilà à délirer en voulant approcher le péplum franco-italien ou européanno-italien voire italien tout court !
    Voilà ce que j’écrivais il y a un bon mois.

    J’en suis revenu et j’ai décidé de mettre fin à mon chemin de croix avec « Le colosse de Rhodes » après « Hercule se déchaîne », « La vengeance d’Hercule », « Les derniers jours d’Herculanum », « Cléopâtre, une reine pour César » et « Ponce Pilate ».

    Désolé, avec les américains, je ne m’ennuie pas ; c’est à l’image de leur pays, immense, et à l’image d’Hollywood, démesuré. Des figurants en veux-tu en voilà, je crois qu’ils étaient plus de 5000, et surtout pas d’animaux en peluche ou figés contre lesquels un Hercule de pacotille aux muscles puissants s’évertue à tuer, tel un gamin dans son jardin.

    Et puis, il y a cette musique de Miklós Rózsa avec en anglais les mots « Overture » et « Exit » comme à l’Opéra. Durant ces deux moments, il ne se passe rien, le spectateur est comme face à un rideau. Il attend et écoute. Il écoute des choeurs puissants qui laissent présager un récit ample et nourri.
    Quand le rideau se lève, place au générique et le film peut commencer.

    Une histoire d’amour entre un homme et une femme ; une passion amoureuse relativement simplette comme toutes les histoires d’amour. Il suffit de donner corps à cette passion. Il faut de la contrariété, un parcours rempli d’obstacles comme la différence de classe sociale, d’opinion religieuse et d’intrigues de pouvoir.
    Classique, quoi.
    Parfois, le classique a du bon.

    Un général romain Marcus Vinicius (Robert Taylor), arrogant, imbu de sa personne est épris d’une jeune émigrée Lygie (Deborah Kerr), discrète et chrétienne clandestine.
    La passion amoureuse se conjugue avec la passion pour la nouvelle religion, celle qui fait référence au Christ.
    Au milieu de toutes ces passions, il y a Néron sous les traits hallucinés et puérils de Peter Ustinov qui se croit un irrésistible artiste et obsédé de rebâtir une nouvelle Rome.

    Je me moque de l’exactitude des faits historiques, « Quo Vadis » de Melvin LeRoy s’inscrit dans cet Hollywood qui exagère et s’arrange avec la Grande Histoire ; il lui faut du romanesque, de l’aventure, du spectaculaire, du beau et du triste.
    Au spectateur d’aimer ou ne pas aimer. De faire la part des choses, de trier le bon grain de l’ivraie, de prendre « Quo Vadis » pour un simple divertissement.
    Ce qu’il est.
    La poursuite des chars donne un coup de vieux mais globalement, le film tient la distance de l’âge… Il est loin d’être ridicule comparé aux films italiens, qui certes n’ont pas d’ambition à commencer de se prendre au sérieux.
    Ça n’engage que moi…
    Sandra S
    Sandra S

    9 abonnés 100 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 février 2024
    Je le note à contre cœur avec à peine la moyenne.
    L'histoire et la photographie sont sublimes. Les moyens sont là : décors costumes, un Neron plus ressemblant que jamais.. Une Popé vicelarde vénéneuse qui crève l'écran.
    Une époque compliquée pour les premiers vrais chrétiens qui connurent la persécution sous cet empereur sadique.
    L'histoire prend forme avec un chef de l'armée romaine qui revient à Rome après des années de guerre et tombe amoureux d'une chrétienne.
    Mais la où je n'ai pas du tout aimé, c'est la partie totalement imaginée par hollywood sur l'apôtre pierre. Ce dernier n'a JAMAIS mis les pieds à Rome de toute sa vie. Et jésus ne lui est jamais apparu dans cette ville pour lui dire qu'il allait se faire crucifier une seconde fois. Le film a été fondé sur les inventions de l'église catholique romaine. Ces gens là n'ont jamais lu ou même étudié la bible apparemment.
    Donc toute la seconde partie du film où Pierre intervient ne relève en aucun cas de la réalité.
    On peut cependant loué les scènes de courage de ces chrétiens bien retranscrit à l'écran. Les effets spéciaux sont très réussis pour l'époque.
    C'est très émouvant.
    À voir
    Claude DL
    Claude DL

    78 abonnés 1 599 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 décembre 2023
    Un péplum très hollywoodien retraçant l’émergence du christianisme sous le règne de Néron. Peter Ustinov, dans le rôle de l’empereur fou et cruel, est bluffant. Déborah Kerr, en chrétienne éprise d’un général romain, est bien belle. On assiste à l’incendie volontaire de Rome, bien reconstitué. Les scènes dans les arènes sont également réussies. Pour un film de 1951, le résultat est probant et on prend une leçon d’Histoire. Belle découverte, même si on n’atteint pas le niveau de Ben-Hur dans le genre.
    cinéman
    cinéman

    23 abonnés 741 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 septembre 2023
    Beau péplum de près de 3h sur la christianisation de l'empire romain durant le règne de Néron, qui met intelligemment en avant sa folie mégalomane. Mais ce film c'est surtout une romance entre un Romain haut gradé de la garde prétorienne et une jeune chrétienne qui tente de lui faire entendre raison. La dernière heure est particulièrement spectaculaire avec l'incendie de Rome, les chrétiens jetés aux fauves dans l'arène, le combat (réel, on voit tout) d'un homme contre un taureau, et le suicide rendu obligatoire de Néron. Un vieux film de 1951, sans numérique, mais qui n'a rien à envier aux grosses productions actuelles. Au contraire, la réalité de vraies images le rend encore plus admirable... Des bémols cependant sur quelques erreurs historiques : on ne sait pas si Néron a incendié Rome, le jeu d'échec n'existait pas dans l'antiquité...
    Ducerceau
    Ducerceau

    11 abonnés 569 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 mai 2023
    Le plus grand chef d'œuvre du péplum 9 ans avant Ben Hur ! L'hommage de l'empire hollywoodien à la Rome impériale. Décors et costumes magnifiquement reconstitués sur place, à Ciné Citta. Pour l'avoir personnellement visité, je sais de quoi je parle. Et si le scénario ne respecte pas la vérité historique, rappelons-nous la phrase d' Alexandre Dumas :"On peut violer la vérité historique à condition de lui faire de beaux enfants"!
    SB88
    SB88

    15 abonnés 1 041 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 avril 2023
    Les 38 premieres minutes du film sont epoustouflantes ! Les decors, l'histoire, c'est grandiose ! Malheureusement, ça vire trop sur la religion et l'amour guimauve a l'eau de rose pour la suite. Ca devait convenir à l'époque mais trop naif pour nous aujourd'hui. Bon divertissement tout de même !
    3,6/5
    Hotinhere
    Hotinhere

    435 abonnés 4 772 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 janvier 2023
    Un péplum en Technicolor visuellement grandiose, plombé par des dialogues soporifiques et un jeu trop théâtral.
    Charlotte28
    Charlotte28

    95 abonnés 1 762 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 janvier 2023
    Reconnaissons d'emblée les absurdités historiques entourant non seulement la chronologie mais surtout la représentation de Néron à la personnalité plus nuancée et dont l'identité d'incendiaire fut une manipulation de conteurs ultérieurs. Par ailleurs le tableau de la psyché féminine laisse à désirer, entre syndrome de Stockholm et vengeance luxurieuse. Néanmoins, comment renier la réjouissante force épique de cette superproduction dont les moyens financiers apparaissent dans les décors, les costumes, les scènes de foule et le terrible brasier? En outre, ce péplum s'appuie sur de pertinents dialogues, amusants ou cyniques - qui permettent aussi d'interroger le rapport au pouvoir, la force des principes, la possibilité de la rédemption - la réalisation efficace de Mervyn Leroy ainsi que l'interprétation habitée d'un truculent Peter Ustinov ou d'un évolutif Robert Taylor. Quant à la vision des Chrétiens, elle peut sembler prosélyte mais s'explique par la peinture de leur influence grandissante ainsi que des persécutions dont ils furent réellement victimes suite à la destruction de Rome. Au-delà d'un divertissement de qualité, une ode à l'Amour!
    DJEDJ Virgil
    DJEDJ Virgil

    8 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 août 2022
    J'ai aimé regarder ce film.
    Bien loin de l'histoire passionnelle entre Marcus Vinicius et de Lygia, QUO VADIS m'a permis de connaître les circonstances de la mort de Simon dit Pierre.
    J'ai beaucoup aimé le personnage un peu troublé de Néron qui est allé jusqu'à la pyromanie pour trouver l'inspiration ultime.
    Norbert Sautelles
    Norbert Sautelles

    4 abonnés 511 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 mai 2022
    Cette production raconte la rencontre entre un Romain, guerrier, brutal et peu subtil, Robert Taylor dans le rôle de Marcus Vinicius, qui rencontre une adepte de Jesus Christ, Deborah Kerr, diaphane, hypnotique, toute en sensibilité (beau travail de Robert Surtees et William Skall pour illuminer en permanence son visage - elle garde son teint de lait en permanence...-). Dans un cadre où le dictateur Néron exprime sa démesure grâce à Peter Ustinov (jubilatoire), qu'un de ses conseillers essaie de maitriser (Leo Genn dans le rôle de Petronius): démesure et folie qui donnent lieu à des scènes mémorables.
    Le film contient des séquences d'anthologie, par forcément spectaculaire dans le grandiose: le suicide de Petronius, et chaque scène qui tournent autour de Néron.
    Le film bénéficie du grandiose de Cinecitta, de ses figurants, et aussi d'un ensemble de matte paintings, qui tiennent encore la route.
    Malgré la longueur et le format (qui n'est pas encore du CinémaScope), le film se laisse visionner, grâce au personnage rustre de Robert Taylor, et ses interactions avec Deborah Kerr. Bien que l'amour subit de Deborah Kerr, ou la conversion de Robert Taylor, paraissent un peu bâclés et peu crédibles. Et bien sûr grâce aux séquences de Néron et sa cour.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 530 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 octobre 2021
    Quel ennui colossal dire que j'ai passé trois heures à regarder ce film et je suis généreux il y a trois minutes de cinéma à moitié correct. Je suppose que c'était vendu comme un spectacle et si c'est vrai je ne l'ai pas vu. Ce n'est que du bavardage puis encore du bavardage et rien qui vaille la peine d'être entendu. Il est juste possible qu'avec deux rôles principaux à moitié décents au lieu du Taylor en bois et de l'insipide Kerr cela aurait pu être regardable disons avec Lancaster ou Douglas face à Ava Gardner. En l'état la seule distraction consiste à chercher la Liz Taylor ou la Sophia Loren qui ne sont mème pas créditées a la fin. Ustinov s'en sort bien sûr mais étant donné le rôle tel qu'il est écrit même moi j'aurais pu faire un coup de couteau respectable. Finlay Currie et Felix Aylmer dans un seul film sont également remarquable mais pas assez pour le rendre intéressant. Peut-être que s'ils avaient lâché les lions dès la première session de pré-production cela nous aurait fait du bien à tous...
    CH1218
    CH1218

    161 abonnés 2 773 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 juillet 2021
    Ce péplum de Melvyn LeRoy affiche toutes les caractéristiques du gigantisme d’un genre qui allait atteindre son apogée quelques années plus tard avec « Ben-Hur ». Tourné en Technicolor dans les studios romains de la Cinecittà, le film évoque l’émergence du christianisme sous le règne du Néron. Techniquement, « Quo Vadis » fait fort, même s’il apparaît de temps à autre pompeux, longuet et qu’on est quand même historiquement loin du compte. Surclassant Robert Taylor et Deborah Kerr, on s’amuse de la folle performance de Peter Ustinov dans le rôle du despotique empereur.
    Michael78420
    Michael78420

    43 abonnés 1 305 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 juillet 2021
    Un modèle de péplum comme on n'en fait plus. Même soixante-dix ans après sa sortie aux États-Unis, la France ayant du attendre deux ans de plus (il en fallait du temps à l'époque pour traverser l'Atlantique !), Quo Vadis reste impressionnant. Alors certes les effets spéciaux ont vieilli, le son est cotonneux et le vocabulaire peut surprendre les moins érudits de nos contemporains (wikipedia est ton ami). L'histoire des premières années du christianisme, les scènes de gigantisme dans la Rome antique, les complots au plus haut niveau de l'Etat, le rapport à la mort, l'esclavage, et tant d'autres choses sont si bien restituées qu'on se croirait plongés en 64, il y a donc près de deux mille ans. Autant Néron y apparaît complètement taré, autant Saint-Pierre est montré captivant. Le message de Jésus qu'il délivre inlassablement est merveilleux et si différent de ce qui était la norme à cette période. Le spectateur de 2021 appréciera cette réplique de Pétrone à Néron : "Plus le mensonge est gros, plus le peuple se laisse convaincre". De quoi réfléchir sur notre époque. À (re)voir avec attention, en sachant que depuis le tournage, les historiens nous ont appris que Néron n'aurait finalement eu aucun rôle dans l'incendie de Rome.
    Laurent 275
    Laurent 275

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 juin 2021
    Beau péplum. Une belle fresque qui relève plus du roman historique que de faits réels. Néron n'a jamais chanté du haut de son palais en voyant Rome brûler. Il n'est pas mort dans son palais, Tigellin n'est pas mort dans une arène le jour de la mort de l'empereur mais des mois plus tard, le Pétrone du film n'a rien à voir avec le vrai, le forum ne ressemble en rien au vrai, etc., etc. Bref, on est loin de la réalité. Mais une belle mention pour un film américain qu'il faut replacer dans son époque, les années 50 et qui ne s'adresse pas à des férus d'exactitude historique.
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