Derniers Avis : La Tour infernale - Page 3

Le film a marqué son époque. Pourquoi au juste? Assurément en partie pour sa distribution all star menée par le duo McQueen/Newman dont les performances s’avèrent impeccables. Trouver le moyen de les entourer de Fay Dunaway, Jennifer Jones, Fred Astair, William Holden, Richard Chamberlain, Richard Wagner et OJ Simpson est un exploit en soi. Mais il n’y a pas que la présence et le jeu des acteurs qui ont fait en sorte que La tour infernale s’est vu accoler le statut de film culte. La montée dramatique est efficace, tous les effets liés à l’incendie sont crédibles, les amourettes qui épicent habituellement le genre ne sont pas trop appuyées. L’auteur prend soin d’intégrer une morale à l’histoire qui aurait pu faire les pages de Jean de Lafontaine : L’architecte et le pompier. La fable aurait fait l’éloge de la modération au détriment de la vanité. À la fin du film c’est l’architecte qui absorbe les reproches du pompier mais à sa décharge, n’eut été de l’appât du gain du promoteur, les convives auraient passé une soirée pas mal plus tranquille. Quoiqu’il en soit le spectateur lui s’en sort indemne et amusé d’avoir marché tout au long des deux heures cauchemardesques vécues par les sinistrés. Earthquaque avait contribué à relancer le genre un mois plus tôt mais avec moins de succès . En concentrant le désastre dans un lieu plutôt qu'aux quatre coins de la Ville, The Towering Inferno a su mieux relever le défi des effets spéciaux qu'exigent les films catastrophe.

Ce n'est pas le MEILLEUR film catastrophe, c'est LE film catastrophe. Dramatiquement visionnaire...
Les face à face sont fascinants, et les dialogues (en tout cas la version française) ont un mélange d'humour et de dramaturgie qui rehaussent l'intrigue.
Et quelle distribution !!!

3,5 étoiles - La tour infernale

Un bon film. Certes, la mise en scène est dès plus académique, pour ne pas dire un peu vieillote. Mais le scénario est habilement construit : on assiste à "un insupportable crescendo dramatique. Rien de cérébrale, que du spectaculaire qui captive (très bien) nos instincts primaires.

Célébrissime et très grand film catastrophe qui fit entrer le genre dans une nouvelle ère. Effets spéciaux spectaculaires et casting de rêve. Un classique.

Les films catastrophes ont connu leur age d'or dans les années 70 "La tour infernale" en est un des sommets !! Produit avec beaucoup de moyens à l'époque avec un parterre de stars avec en tète Paul Newman et Steve Mc Queen, ce long métrage se veut réaliste sans faire dans l'artificiel prenant le temps de raconter l'histoire à chaque détails près. Ca commence par une tour grandiose de plus de 80 étages qui inaugure et réunit 200 personnes pour célébrer cela en haut de l'immeuble, sauf qu'un problème de feu minime et des installations non prévus par l'architecte va gacher la fète qui prend de l'ampleur d'une immense flamme qui monte sur la tour, difficile de secourir pour les pompiers avec plusieurs rebondissements. Même si les trucages ou effets spéciaux de l'époque ont un peu vieillit, l y a du suspense et des personnages en détresses mais il y a un scénario constructif et inventif qui crédibilise les situations (pas comme la plupart des films de nos jours). Puis, il y a un casting diversifié avec en haut de l'affiche Paul Newman et Steve Mc Queen qui ont des roles plus étoffés secondés par Faye Dunaway, William Holden, Fred Astaire, Richard Chamberlain, Robert Vaughn, Robert Wagner, O.J Simpson je dois en oublier. L'ensemble est intensif.

Vu pour la première fois y à quelques jours suite à "Tremblement de terre" lui aussi vu pour la première fois, j'ai été surpris par la rapidité à laquelle l'action principale est arrivée. En effet, en moins de 30 min contrairement à l'autre qui à commencé en plus de 30. Facilement comparable puisqu'ils font partis tous deux des 2 grands films du genre dans la même tranche d'années. Niveau visuel, pas déçu, et à croire que les flammes sont 100% vraies, le son lui est parfait aussi et les décors même s'il s'agit d'une reproduction du immeuble sont impeccable. spoiler: Le design du hall avec les ascenseurs m'à franchement bien plus avec ce rose et donc ses formes de murs bien de l'époque.
. Niveau jeu, nos 2 acteurs principaux sont impeccables et revoir ou découvrir Mc Queen est pas mal, même si je sens à 4 km qu'il était moins dynamique à l'époque de ses premiers films. Mais on peut clairement dire qu'il y à une vraie morale à cette histoire, celle de construire toujours plus haut et donc toujours plus fort. C'est quoi, aujourd'hui les 2 parmi les plus haut du monde sont la Burj Khalifa et la One World Trade Center, des centaines de mètres de haut et tous de verre vétu. Toujours plus haut mais est-ce pour autant très sûr ? spoiler: Car là on à faire à un système anti incendie même pas au point et des files électrique qui frôlent la mort assurée pour tous l'monde
. Très bon film pour l'époque avec de très bon jeunes gens.

Bonne surprise. Un film catastrophe des années 70 qui n'a étrangement pas trop vieilli. On est assez rapidement plongée dans l'action. Et on a du mal a en décrocher. Et un casting 4 étoiles avec deux héros qui ont la mega classe : Paul Newman et Steve McQueen. A voir avec des pop-corns.

Mètre étalon du blockbuster, réunissant une collection de stars au sein d'une grosse production aux moyens colossaux, ce film catastrophe est certes bien trop long, mais le spectacle s'avère total durant près de heures, une fois les personnages, les enjeux et le décor bien posé. Les plans spectaculaires s'enchaînent, les morceaux de bravoure parfois dantesques aussi, les stars brillent entre un P. Newman courageux, une F. Dunaway peu vêtue mais classieuse, un S. McQueen moins détendu mais toujours aussi charismatique et W. Holden qui tient son rang de figure mythique du vieil Hollywood, dans un rôle plutôt bien écrit. Le tout forme donc un film prenant, qui veut mettre en valeur le courage des pompiers, mais qui ne les présentent tout de même assez peu en action (au contraire d'un "Backdraft" par exemple), se concentrant sur les péripéties des autres personnages. Alors bien sûr, certains y verront toujours une certaine emprise morale qui déterminent le destin de certains personnages, mais il y a aussi un vrai sens, une vraie intelligence dans l'écriture, des dialogues bien écrits et un vrai sens du divertissement. Gigantesque, parfois indigeste, mais bon sang, quel pied, gorgé des plans et de moments vraiment impressionnants, surtout quand on pense aux moyens techniques disponibles à l'époque. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com

de très bon comédien, une histoire bien prenante, avec tout les ingrédient réunis. des effets spéciaux qui ne choque pas au vu de notre époque, et qui devais être très bon à ce moment la. Malgré tout des longueur et la durée du film n'aide vraiment pas

Classique du film catastrophe la tour infernale m’a convaincu d’une chose, je ne suis pas un grand fan de ce genre de film. Malgré son casting XXL, le fait qu’il prenne le temps de poser ses personnages pour intéresser le spectateur à leur destin, ces personnages justement ne m’ont pas assez intéressé car un peu trop caricaturaux à mon goût justement pour qu’il y ait une plus grande chance d’identification. Il faut aussi reconnaître que le film est beaucoup trop long par rapport à la matière qu’il a à développer et beaucoup de scènes passent pour du remplissage. Je ne peux pas dire que cela m’a franchement déplu mais cela m’a laissé indifférent.

Pour monter ce film au budget titanesque, les deux plus grands studios hollywoodiens de l'époque – la Twentieth Century Fox et la Warner Bros – enterrèrent la hache de guerre et produisirent ensemble ce qui allait devenir le prototype du film-catastrophe. Le résultat est à la hauteur des moyens déployés : absolument impressionnant. Ce long-métrage au suspense haletant, bénéficiant d'un casting énorme – Steve McQueen et Paul Newman en tête – se construit comme une succession de séquences à couper le souffle, qui fonctionnent toujours aujourd'hui. Si le scénario n'est pas sans évoquer involontairement la tragédie du World Trade Center, plusieurs scènes brillantes sont filmées comme des terribles ballets de feu, conférant à ce film une atmosphère très particulière. Avec en prime, un discours interrogateur sur la nécessité des avancées techniques et de leurs potentiels dangers pour l'homme – ici sur la course à la grande hauteur des gratte-ciel. Superbement mis en scène, un régal de tous les instants.

Lorsqu'on est trop souvent déçu par les productions actuelles, rien de mieux que de se réfugier dans la valeur sûre des bons vieux classiques. Certes, La Tour Infernale a pris un coup de vieux, mais les grands classiques du cinéma y survivent en prenant du cachet. Un classique du film catastrophe. Un savoir-faire de la grande époque, un casting solide, un duo mythique, une réalisation classique soignée, propre et professionnelle. Ici les caméras ne virevoltent pas dans tous les sens pour suggérer ou simuler le film. Ici on pose la caméra, on cadre, on construit l'image, on sait ce que l'on veut filmer et comment, il y a un objectif filmique et pas une addition de facilités en remplacement du savoir-faire, on montre la scène et on prend le temps de le faire.
Aventure, rebondissement, action, tension, spectacle, un film généreux, embarquez vous pour un grand spectacle de presque 3 heure. Si seulement on pouvait associer les moyens financiers et techniquesd'aujourd'hui avec l’exigence d'un savoir-faire professionnel des grands classiques, nous aurions des monuments du cinéma à nous mettre plus souvent sous la dent. Les grands classiques sont formateurs.

Le début est un peu niais : Description des personnes qui ont construit la tour et de celles et ceux qui y vivent. Quelques amourettes à différentes générations, puis le feu se déclenche et tout s'accélère avec son lot d'orgueilleux, de drames, d'accidents. Malgré les quelques images de synthèse, c'est une bonne réalisation avec un bon rythme et encore d'actualité, car on ne peut s'empêcher de penser au 11 septembre 2001. Les pompiers sont ici à l'honneur pendant près de 2 heures !

un bon film catastrophe qui tiens toute ses promesses et qui nous tiens bien . on ne voit pas les 2h40 de film passer on a l'impression que sa passe vite même si quelque scène ne sont pas nécessaires c'est un bon film une des références du genre avec des acteurs de légende !

Très bon film de John Guillermin et sans doute l'un des meilleurs films catastrophe réalisés pour un film des années 70.

Je souhaitais voir ce film depuis un petit moment car je suis très friand par ce genre catastrophe et surtout pour ce type de scénario et je dois dire que je suis agréablement surpris de voir les effets spéciaux aussi grandioses et tout aussi bon que nos nanars de catastrophe d’aujourd’hui, il est d'ailleurs tout aussi bon que Backdraft ou encore Daylight. Un scénario parfaitement bien travaillé, maitrisé et surtout soigné. On à là aussi un bel hommage rendus aux pompiers (qui d'ailleurs est souligné dès le début du film) qui se sont sacrifiés pour arriver à bout de cette incendie gigantesque dans une tour flambant neuf mais au système incendie défectueux. Des scènes parfaites, explosifs spoiler: comme celles de l'évacuation par l’ascendeur mobile au dessus du vide, celle du groupe dans la cage d'escalier complètement détruite ou celle du pompier brulées qui tombe dans le vide tout simplement épatantes
et des acteurs à la hauteur : Steve McQueen, Paul Newman, Faye Dunaway avec un jeu d'acteur superbe.

Le film ne traine pas, presque 3h auquel on ne s'ennuie pas du début jusqu'au dénouement final et l'on ne permet pas un miette du déroulement de l'histoire très réaliste, à suspens et prenant à savoir quel est le sort réservé aux invités prestigieux de cette tour vertigineuse.

Un très grand film catastrophe qui vieillis et se conserve très bien, le réalisateur à mis le paquet à cela se ressent. Je le recommande fortement.

J'ajouterais juste une petite parenthèse un peu hors-sujet mais qui mérite d'être traitée puisque l'on à du mal à imaginer que ce type de scénario catastrophe ressemble similairement aux attentats du World Trade Center en septembre 2001 (bien-sure pas la conception des tours était en faute pour ce cas puisque ce sont des attentats) mais l'on retrouve ici le cas de ces tours en feux et de cette panique qui s'installe rapidement, comme quoi parfois la réalité dépasse la fiction.