Avis : 8 Rue de l'Humanité - Page 5

Ce film est tout simplement une honte, un sentiment de malaise permanent porté par des acteurs au plus bas de leur talent. Tenir l intégralité de ce film est en soit un sacré performance chapeau à ceux qui ont réussi à tenir. La honte du cinéma français tout simplement !

Navet + 1 ! A part 2 ou 3 situations/dialogues qui sous-tend un léger rictus apparenté à un médiocre début de rire, rien à se mettre sous la dent. Interprétations calamiteuses, scénario des plus stéréotypés, surjoué en permanence, un film à oublier dans l'instant. pourtant j'ai essayé ! 0/5 !!!

Dany Boon se repose sur ses acquis et nous livre une comédie sans saveur sur le confinement de 2020. Bonne idée à la base, il écrit le scénario avec sa compagne Laurence Arné, qui incarne aussi sa femme dans ce film.
8 rue de l'Humanité décrit le microcosme d'un immeuble parisien avec différents habitants coincés chez eux. Tout cela est faible, tombant rapidement dans la facilité cette comédie peine à nous faire sourire à de trop rares occasions de plus il n'y a aucun rythme (ce qui se ressent durant les plus de 2 heures du film).
Les acteurs ne sont pas mauvais (les gamins jouent bien) mais leurs personnages sont ordinaires, et parfois mal écrits (je pense surtout à la docteur joué par Nawell Madani), le personnage de docteur joué par Yvan Attal (censé évoquer le Professeur Raoult) apporte une légère touche de loufoquerie à un film qui en manque considérablement.
Dany Boon passe malheureusement à côté de son sujet, et nous sert un plat congelé mal réchauffé. Sans oublier que le côté émotionnel de certains passages n'ont pas l'effet escompté.

On avait parié que Dany Boon ferait une comédie sur la crise du coronavirus. Et bien voilà, le “Supercondriaque” nous ressort ses blagues et les adaptent au Covid en enfermant les habitants d’un bel immeuble parisien en plein confinement. Chaque famille a son lot de clichés ; le couple hyper précautionneux des microbes, le couple d’instagramers qui chante ou fait du sport, la patronne du bistrot qui cherche à rester ouvert, le savant fou qui veut trouver le vaccin, la concierge dont le mari est hospitalisé et la femme qui ne respecte pas le couvre-feu et qui s’attire la haine des autres résidents. En surfant sur la vague du covid et en s’offrant à Netflix, Dany Boon fait clairement un doigt d’honneur à l’industrie cinématographique française. Un coup dans le dos par celui qui incarnait le box-office français. Sa comédie de mauvais goût est sans surprise et s’étire en longueur. Tant pis, on ne s’attendait pas à mieux.
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Un film comme une pièce de théâtre. Des personnages assez intéressants et quelques bonnes répliques. Pas mal de sarcasme et d’humour noir autour de ce Covid, on rigole souvent , un agréable exercice de style.

une comédie familiale tourné autour de la pandémie. Outre les traits vraiment grossis, quelques passages pretent à sourire. Le film aura au moins l'avantage de tracer cette période particulière en nous rappelant les parties pratiques telles que les attestations, les informations contradictoires...

On sent le film fait à la va-vite, en période de pandémie, pour faire rire l'assemblée sur un sujet universel en 2020-2021 ! Mais, malgré cela, malgré le côté prévisible et malgré quelques gags lourdeaux, ce petit huis clos s'avère captivant, grâce au casting sympa et au côté très moderne de l'ensemble.

Dany et sa compagne à l'écriture, il a fait participer toutes ses femmes successives à ses scénarii, une première partie sympa, une deuxième qui s 'étiole, trop longue, trop dans le pathos, 2 étoiles et demie.

Une comédie sympa, oui mais pour un mardi après midi sur tf1. De quoi passer un p'tit moment en rappassent. Bon casting mais le scénario n'est pas creusé, du classique made in région parisienne. 2/5. ----Janvier 2022----

Je suis tombé sur ce film un dimanche après midi au hasard des listes Netflix; je me suis dit "pourquoi pas?" Un épisode sur cette triste période de pandémie avec cette apothéose du confinement général ou tous les soirs des moutons applaudissaient et casserolaient les Soignants , lesquels ils honniraient 1 an plus tard ...
Réalisé par Dany Boon le plus grand enfumeur du cinéma français qui a réussi sa carrière sur un malentendu et le grand vide laissé par les irremplaçables Bourvil et DeFunes , que les comiques français n'ont jamais réussi a combler!!
Dany Boon , m'a t'il un jour fait rire?? Les CH'TIS ?? Oui ,c'est vrai que c'est le seul ou il est bon...Mais aprés?? Toujours le même rôle d'hypochondriaque , de radin , d'abruti lunaire , de ch'timi ....assommant!
Là nous sommes sur une apothéose , ils s'y mettent tous dirigés par le maître nanar ! Je tire pas sur l'ambulance ....elle a déjà cramé!! Attal en professeur foldingue ...pathétique.François Damien en beauf belge ... pitoyable!! Mamie "pastra weed" ...pathos tique!! Et les gosses qui rejouent "Le petit Nicolas"!! En bref on dirait "nos chers voisins "en pire !!
Reposez en paix, Les Gars ,vous ne risquez rien d'eux ...

Quelques moments tendre ou drôles relèvent cette amas de sketch sans réel lien entre tous. Le scénario est faible, la musique et la mise en scène n'est pas poussé. Ça reste divertissant mais sans plus !

Bien trop long pour soutenir l'intérêt avec beaucoup de répétitions des mêmes phrases, des mêmes phobies de la part de Boon. J'ai souri à deux reprises, soit une fois par heure.

c'est nul, mais vraiment, c'est cliché, raté, lourd et mal joué. Dany il faut arrêter, c'est toujours la même chose ça devient lourd.

Il fallait bien qu’un film sur les vingt derniers mois sorte tôt ou tard, il le fallait. Non, pas un film sur la pandémie, ça, le cinéma de genre s’en emparera tôt ou tard (si ce n’est pas déjà fait. En tout cas, Soderbergh l’avait même fait avec dix ans d’avance ), mais sur le confinement. Oublions deux minutes les morts et les débats - ça, ce sera pour le drame auteurisant dans lequel une antiquaire parisienne couche avec le voisin contaminé du dessus - et restons-en si vous le voulez bien à l’inoffensif cortège de bizarreries qu’il a suscité. C’est Dany Boon qui s’y colle et c’est Netflix qui régale. Faut-il en avoir peur ? Pas spécialement car les mots “Dany Boon” suffisent à eux-seul à témoigner de l'innocuité de la chose. ‘8 Rue de l’Humanité’ devait nécessairement être une comédie “avec un bon fond”, un truc qui se veut rassembleur, familial, sans controverses idéologiques et résilient : une comédie sage, trop sage peut-être pour réellement séduire les tenants d’un certain mauvais esprit. En terme d’observation sociologique et en étant assez souple sur la fine ligne qui sépare la satire de la caricature, l’ensemble est parfois assez bien vu mais Boon semble avoir mis tant d’effort à dresser une liste exhaustive de tout ce qui pouvait prêter à sourire dans la crise sanitaire qu’il en a oublié de structurer son film, qui ressemble dès lors à une succession de saynètes plus ou moins drôles, plus ou moins bordéliques et plus ou moins redondantes. Par exemple, les séquences avec Alison Wheeler et Tom Leeb seraient réussies si elles n’arrivaient pas deux ans après le plus cinglant “Selfie”. François Damiens excelle dans son rôle de beauf vaguement monstrueux mais on l’a déjà vu un paquet de fois dans le même rôle. Dany Boon...bah, c’est Dany Boon, quoi : non seulement il pique des blagues aux confrères plus doués (Pandémie/Pain de Mie, déjà entendu dans ‘Problemos’ il y a 3 ans) mais personne n’a osé lui dire que son propre film ne s’appelait pas “Supercondriaque 2”. Il n’y a que Yvan Attal qui, en héritant d’une partition physique et cartoonesque en apparence très ingrate, dévoile un sens du comique et du mouvement qu’on ne lui soupçonnait pas.

Un navet sans nom et pourtant je suis bon public mais c’est vraiment triste et pathétique. Dommage ! J’adore Dany Boon pourtant