Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
L’authenticité de ses prises de vues ne fait aucun doute car il laisse le temps à ses comédiens humains ou pas d’oublier la caméra. Cela apporte à Poly un cachet d’authenticité favorisant les émotions extra-larges que le cinéaste veut faire ressentir.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
Nicolas Vanier dévoile un film familial d’aventure qui évoque ses engagements.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Résultat : un moment délicieux, rafraîchissant à souhait.
Le Parisien
par Catherine Balle
Nicolas Vanier livre ici une très jolie adaptation du feuilleton culte des années 1960.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Closer
par La Rédaction
Les familles vont adorer.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Nicolas Vanier poursuit sa transposition de l’œuvre de Cécile Aubry sur le grand écran avec un film aimable et calibré pour séduire toute la famille, mais sans surprise.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un voyage initiatique fédérateur et familial.
Le Monde
par Philippe Ridet
Le passage à la couleur, l’accélération de péripéties, la simplification des personnages sans sacrifier à leur identité redonnent à Poly du peps et du rythme.
Télé 7 Jours
par La rédaction
Une relecture écolo et féministe de la série de Cécile Aubry dans les années 60.
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
Beaux paysages, grands sentiments, le programme est classique, mais délivré avec beaucoup de soin.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Ce conte naturaliste au grand cœur, dans une campagne française d’autrefois, est le théâtre d’un bienveillant récit initiatique vintage, simple et candide, destiné aux enfants. Dommage qu’il enfourche la cause animale, inattaquable, avec les gros sabots d’un manichéisme pataud.
L'Obs
par François Forestier
Si vous allez voir ce film, munissez-vous de votre âme d’enfant, accessoire obligatoire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Les messages s’accumulent mais l’imagerie d’un autre temps et l’incapacité à changer de braquet rendent l’ensemble un peu trop plat. Dommage, les reliefs sont magnifiques.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Un bienveillant récit initiatique vintage, simple et candide, destiné aux enfants.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Après "Belle et Sébastien", Nicolas Vanier adapte à nouveau, avec "Poly", un feuilleton de Cécile Aubry, et plonge dans la reconstitution nostalgique, sympathique, et sans relief des années yéyé. Les plus de 10 ans resteront sur leur faim. Carnivores s’abstenir.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Des aventures de jeunesse pleines de bons sentiments.
Première
par Thierry Chèze
Le résultat se révèle trop calibré, dans sa reconstitution d’une époque, et trop maladroit, dans l’écriture de ses personnages, pour convaincre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Nicolas Didier
Le film bringuebale entre personnages poussiéreux, tels ces gendarmes échappés du Gendarme de Saint-Tropez, et anachronismes grossiers, quand les enfants d’un village des années 1960 se convertissent au végétarisme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
L’authenticité de ses prises de vues ne fait aucun doute car il laisse le temps à ses comédiens humains ou pas d’oublier la caméra. Cela apporte à Poly un cachet d’authenticité favorisant les émotions extra-larges que le cinéaste veut faire ressentir.
CNews
Nicolas Vanier dévoile un film familial d’aventure qui évoque ses engagements.
Femme Actuelle
Résultat : un moment délicieux, rafraîchissant à souhait.
Le Parisien
Nicolas Vanier livre ici une très jolie adaptation du feuilleton culte des années 1960.
Closer
Les familles vont adorer.
La Croix
Nicolas Vanier poursuit sa transposition de l’œuvre de Cécile Aubry sur le grand écran avec un film aimable et calibré pour séduire toute la famille, mais sans surprise.
Le Journal du Dimanche
Un voyage initiatique fédérateur et familial.
Le Monde
Le passage à la couleur, l’accélération de péripéties, la simplification des personnages sans sacrifier à leur identité redonnent à Poly du peps et du rythme.
Télé 7 Jours
Une relecture écolo et féministe de la série de Cécile Aubry dans les années 60.
Télé Loisirs
Beaux paysages, grands sentiments, le programme est classique, mais délivré avec beaucoup de soin.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Ce conte naturaliste au grand cœur, dans une campagne française d’autrefois, est le théâtre d’un bienveillant récit initiatique vintage, simple et candide, destiné aux enfants. Dommage qu’il enfourche la cause animale, inattaquable, avec les gros sabots d’un manichéisme pataud.
L'Obs
Si vous allez voir ce film, munissez-vous de votre âme d’enfant, accessoire obligatoire.
La Voix du Nord
Les messages s’accumulent mais l’imagerie d’un autre temps et l’incapacité à changer de braquet rendent l’ensemble un peu trop plat. Dommage, les reliefs sont magnifiques.
Le Dauphiné Libéré
Un bienveillant récit initiatique vintage, simple et candide, destiné aux enfants.
Les Fiches du Cinéma
Après "Belle et Sébastien", Nicolas Vanier adapte à nouveau, avec "Poly", un feuilleton de Cécile Aubry, et plonge dans la reconstitution nostalgique, sympathique, et sans relief des années yéyé. Les plus de 10 ans resteront sur leur faim. Carnivores s’abstenir.
Ouest France
Des aventures de jeunesse pleines de bons sentiments.
Première
Le résultat se révèle trop calibré, dans sa reconstitution d’une époque, et trop maladroit, dans l’écriture de ses personnages, pour convaincre.
Télérama
Le film bringuebale entre personnages poussiéreux, tels ces gendarmes échappés du Gendarme de Saint-Tropez, et anachronismes grossiers, quand les enfants d’un village des années 1960 se convertissent au végétarisme.