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    Talking About Trees
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    3,9
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    27 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 décembre 2019
    D'une grande poésie ! Ce film fait réfléchir à la chance que nous avons dans notre accès à la culture.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 décembre 2019
    Le film est magnifique, j'ai passé mon meilleur moment de cinema de 2019. Ces 4 vieux monsieur sont formidables !
    velocio
    velocio

    1 208 abonnés 3 051 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 décembre 2019
    Ibrahim Shaddad, Suleiman Ibrahim, Manar Al-Hilo et Altayeb Mahdi sont 4 papys qui font de la résistance dans leur pays, le Soudan. Un pays qui, depuis la fin du colonialisme, alterne moments de démocratie et épisodes de dictature. Un pays où le cinéma, le vrai, celui qui se voit à plusieurs, a disparu, la faute aux politiciens et aux imams. Les 4 papys sont d'une génération qui a fait des études de cinéma en URSS, dans les années 70, et ils aimeraient relancer le cinéma dans leur pays. Heureusement que l'humour ne leur fait pas défaut car comment arriver à leur fin face à une administration hyper kafkaïenne ? Et à quelle heure commencer un film projeté en plein air quand on compte à proximité 6 mosquées dotées de haut-parleurs très puissants et qui se succèdent dans le temps pour chacune des 5 prières quotidiennes obligatoires ? Dommage, toutefois, que la réalisation de ce film soit un peu trop plan-plan !
    François G
    François G

    1 abonné 9 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 décembre 2019
    Un film qui nous transporte tout en subtilité dans la lutte pour la liberté, celle de l'âme à laquelle chacun aspire.
    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    82 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 décembre 2019
    Lors de l’édition 2019 du Festival de Berlin, Talking about trees a remporté deux prix : celui du meilleur documentaire et celui du public. Cette première réalisation pour le cinéma de Suhaib Gasmelbari ne manque pas de charme. Le cinéaste soudanais quarantenaire met en scène quatre autres cinéastes également soudanais mais appartenant à la génération précédente. Ce quatuor d’amis parcourt le pays en van et projette d’organiser une vraie projection à Khartoum, capitale d’un pays dont l’industrie cinématographique est moribonde depuis de trop nombreuses années. Critique complète sur incineveritasblog.wordpress.com/2019/12/23/talking-about-trees/
    Loïck G.
    Loïck G.

    306 abonnés 1 642 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 décembre 2019
    Le cinéma qui fait son cinéma et le raconte à travers un historique chargé, voilà l’un des sens de ce film très instructif et éloquent sur la manière de conduire la petite et la grande histoire. Un film du patrimoine cinématographique soudanais relégué dans les souvenirs de quelques pionniers aujourd’hui vieillis sous le harnais et fatigués par des années de lutte contre un pouvoir alternant dictature et démocratie. Aujourd’hui ils projettent toujours de façon itinérante, en plein air, des films autorisés par l’administration. C’est-à-dire le pouvoir politique, intrusion que le réalisateur met très bien en lumière quand il s’agit d’évoquer un projet encore plus ambitieux : faire revivre un soir une ancienne salle de cinéma au nom prédestiné La Révolution. Le processus qui se met en place suit la logique d’un scénario conforme à l’aventure de tous ces pouvoirs , qui ont toujours pesé sur la conduite à tenir des soudanais. Le cinéma en ligne de mire, et on comprend pourquoi. Mais la personnalité africaine tranquille appliquée à ce récit rend tout possible et merveilleux, même quand le muezzin officie au moment d’un discours … Les scènes drôles et amusantes ne manquent pas. Un film passionnant pour le cinéphile, pour l’historien du cinéma, pour le passionné de l’Histoire du monde et le spectateur amateur de film vrai . Tout le monde peut le voir !
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    Ufuk K
    Ufuk K

    475 abonnés 1 414 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 décembre 2019
    " talking about trees" primé au dernier festival de Berlin est un documentaire tout juste correct. En effet j'ai trouvé le sujet pas assez intéressant pour réellement adhère à cette histoire, je me suis ennuyé parfois surtout au début où l'humour permet de dénoncer le régime islamique totalitaire qui sévit au Soudan avec une dernière partie nettement plus intéressante et instructive.
    mem94mem
    mem94mem

    98 abonnés 567 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 22 décembre 2019
    Je me suis rapidement ennuyé. Beaucoup trop minimaliste et sans aucun rythme. L'humour ne fait jamais mouche. Dans les documentaires le montage est essentiel, ici il est complètement raté.Les images sont belles, mais cela ne suffit pas.
    Yves G.
    Yves G.

    1 337 abonnés 3 331 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 décembre 2019
    Quatre sexagénaires se battent pour faire revivre le cinéma au Soudan. Ibrahim Shaddad, Suleiman Ibrahim, Manar Al-Hilo et Altayeb Mahdi ont consacré leur vie au septième art. Ils ont fondé le "Sudanese Film Group" (SFG) pour le faire vivre dans un pays qui lui a tourné le dos, par la faute des imams et du piratage. À bord d'un minivan Volkswagen à bout de souffle, ils sillonnent le pays pour organiser des projections en plein air. Dans la banlieue de Khartoum, ils veulent rouvrir une salle, mais se heurtent à une bureaucratie kafkaïenne.

    Les cinéastes aiment parler de cinéma. La nostalgie des salles d'antan, le désarroi devant leur fermeture est un sujet qui a inspiré beaucoup d'oeuvres de fiction ou de documentaires. Tout le monde pensera à "Cinema Paradiso", que j'avais vu en projection officielle à Cannes en 1989 (il faut bien frimer de temps en temps) ou à "Splendor" de Ettore Scola, contemporain du film de Giuseppe Tornatore, dont il reproduisait la même recette avec beaucoup moins de succès. Sorti début 2019, "Kabullywood" racontait les tentatives de quatre jeunes cinéphiles de rouvrir un cinéma dans la capitale afghane.

    Le quatuor de "Talking about trees" est la version senior des quatre jeunes Afghans de "Kabullywood". Une sorte de "Buena Vista Social Club" sans musique.

    La persévérance de ces quatre gentils papys, leur humilité et leur sens de l'humour font immanquablement mouche. Il est impossible de ne pas les trouver sympathiques. Ils sont la mémoire du cinéma soudanais, formé dans les années soixante-dix à Moscou. Ils sont la mémoire de leur pays qui a connu, depuis l'indépendance une histoire chaotique, alternant de courtes période démocratie et de longues dictatures.

    Mais leur histoire est racontée par Suhaib Gasmelbari - un réalisateur soudanais formé en France - avec un minimalisme qui la rend bien vite ennuyeuse. Le réalisateur a pris le parti de refuser tout sensationnalisme. Il filme quelques plans d'une poignante beauté : un drap blanc dans la nuit sur lequel est projeté "Les Temps modernes" de Chaplin, un chameau déambulant dans les allées désertes d'un cinéma en plein air... Mais une succession de beaux plans ne suffit pas à donner chair à un film.

    Le film a été tourné à la fin du long règne de Omar el Bechir, au moment de sa énième réélection avec 94.5 % des suffrages. Depuis lors, la rue a renversé le pouvoir. Et le cinéma La révolution" a pu rouvrir.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 18 décembre 2019
    L'espoir, l'humilité, l'humour.. la Résistance à l'état pur.
    Un film magnifique, à voir absolument!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 17 décembre 2019
    Un très beau film évoquant la situation du cinéma au Soudan. Les personnages sont attachants et plein d'énergie. J'ai beaucoup aimé.
    Olivier Barlet
    Olivier Barlet

    270 abonnés 384 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 décembre 2019
    Si le film rencontre un tel succès en festivals et réjouit tant les spectateurs, ce n'est cependant pas seulement à cause de la vitalité et la ténacité de ces vieux routards, comme pouvaient l'être les musiciens du Buena Vista Social Club. Cela tient aussi au dispositif que le film met en place. (...) Voici donc un documentaire qui retourne aux sources : comme dans Nanook l'esquimau de Flaherty (1922), la construction ludique du réel permet de toucher à l'essentiel et de mieux ressentir les enjeux. (...) Ce sont ces permanents clins d'œil, cet ancrage dans l'Histoire, cet humour décapant, cette bonhomie face à l'adversité, cette joyeuse solidarité, cette impressionnante dignité et cette détermination sans faille qui font de ces vieux cinéastes et partant du film lui-même une scène politique autant qu'une extraordinaire métaphore de la force de l'art face à la barbarie. (lire l'intégralité de la critique sur le site d'Africultures)
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