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    Miss
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    Jorik V
    Jorik V

    1 265 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 novembre 2020
    Il est clair que « Miss » ne plaira pas aux partisans de la Manif pour tous, aux allergiques à la théorie du genre et même aux intolérants de tous bords. Pour son second film, près de dix ans après le succès du sympathique « La Cage dorée », Ruben Alves nous convie à une ode à la tolérance et à la différence avec son personnage principal masculin rêvant de devenir Miss France. D’ailleurs le film semble avoir eu le soutien du fameux comité puisqu’on entre également dans les coulisses du concours et qu’on y voit la participation de Sylvie Tellier, ce qui n’est pas sans intérêt vu l’institution qu’est cette compétition (et au passage on y écorche le côté ringard et sexiste que peut revêtir l’événement). On ne peut pas dire que le film soit une comédie (le rire y est rare), ni vraiment un drame (en dépit de quelques moments touchants) et pas non plus un mélange des deux. On est plutôt face à un film léger et grave à la fois, sur l’acceptation de soi, qui lorgne fortement vers les feel-good movies américains.



    Le long-métrage n’est pas exempt de défauts mais se révèle sympathique, frais et plein de bonnes ondes. Il jongle constamment entre les clichés et les lieux communs, les effleure parfois, mais parvient à ne pas tomber la tête la première dedans. Et, avec un tel sujet, on se doute que cela n’a pas dû être facile tout le temps. Les rebondissements sont également prévisibles tout comme l’enchaînement de certaines situations. On ne peut pas dire que « Miss » nous surprenne mais en tout cas il nous ravit durant près de deux heures. La chose qui fonctionne le moins est sans conteste les séquences émotion censées faire vibrer nos cœurs et couler nos larmes : elles sont trop préfabriquées et tire-larmes et elles n’auront véritablement d’effets que pour les cœurs d’artichaut. Ceci mis de côté, on s’attache à cette galerie de personnages haute en couleurs.



    En effet, les seconds rôles sont particulièrement soignés. Pascale Arbillot, trop rare en tête d’affiche, est royale dans le rôle de la coach des miss. Isabelle Nanty en baba-cool, certes déjà maintes fois vue dans de type de prestations, fait le boulot mais c’est surtout de Thibault de Montalembert qui est mémorable en travesti prostitué vieillissant. Encore au-dessus, la couronne est sans conteste à décerner à Alexandre Wetter dans le rôle principal. Il est totalement bluffant en jeune homme androgyne voulant assumer sa part de féminité. L’acteur semblait fait pour l’incarner et sa beauté naturelle en femme comme en homme est troublante et tout à fait en accord avec le rôle. On y croit comme ses partenaires dans le film et c’est perturbant. De plus, Alves colle sa mise en scène à celle d’un concours de miss, glamour et très esthétique, ce qui nous ravit les pupilles. La fin tente de surprendre mais sans vraiment y parvenir, néanmoins les idées véhiculées et la bonne humeur de l’ensemble emportent le morceau. A voir pour se faire du bien et passer un bon moment entre sourire et notions d’ouverture d’esprit.



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    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 044 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 novembre 2020
    J'avoue ne pas trop comprendre le projet de Miss. J'ai bien cru au départ que j'allais haïr le film tant tout ça sonne faux. La séquence d'ouverture avec les gamins qui disent ce qu'ils veulent faire plus tard ou lorsqu'on suit Nanty qui va récupérer le loyer des chambres de bonne qu'elle loue qui sert à nous présenter les personnages, je trouve ça laid, artificiel et assez vain.

    En fait immédiatement je n'y crois pas à ces gens. Le fait de réunir une belle bande de marginaux, ça s'est déjà fait plein de fois, notamment chez Almodovar, qui semble filmer les prostitués, travestis et transsexuels avec beaucoup plus d'amour et d'humanité que ne le fait là Ruben Alvès.

    Ici le seul personnage un peu vivant c'est celui de Lola, travesti prostitué vieillissant. Il apporte un peu de fraîcheur, il fait des blagues, là où le héros passe un peu son temps à tirer la gueule.

    Mais au fil du temps, une fois que le film est lancé sur ses rails et enchaîne les passages obligés des films du genre, je trouve ça un peu mieux. Disons qu'on n'est pas surpris, on voit ce qu'on est venu voir, un homme qui se présente à Miss France, avec son lot d'obstacles, de fausses ruptures... un vrai mélodrame dans tout ce que ça a de plus médiocre.

    Mais ça passe... Jamais sublimé par la mise en scène, se prenant souvent bien trop au sérieux, notamment dans son discours féministe, le film arrive malgré tout à avoir quelques beaux moments de sincérité et quelques répliques qui font sourire qui aident à faire passer le tout.

    En fait je pense que le film souffre d'être comme tous les autres et de ne pas oser se détacher des codes, ne pas oser proposer autre chose, ne pas oser ne pas y aller à fond. Je veux dire qu'un mec travesti qui se présent à Miss France en soi c'est drôle. Le concours de Miss étant la ringardise absolue, voir quelqu'un faire exploser les codes de l'intérieur ça aurait eu quelque chose de jouissif, mais le problème c'est que ça n'ose pas être méchant. On fait bien quelques blagues sur les indiens, mais rien de plus... et vu que Alexandre Wetter joue toujours la larme à l’œil on a l'impression qu'il va se briser en mille morceaux à la moindre remarque, empêchant ainsi de rire.

    Pire encore, on vient de présenter le concours de Miss comme étant un truc progressiste qui a des choses à dire et qui sait évoluer grâce aux bonnes personnes... Mouais... j'en sais rien et je m'en fous, je ne suis pas le public de ce genre de choses, mais je suis sceptique. On se tape même un plan avec une ancienne Miss France qui applaudit l'audace... le comble du ridicule.

    En fait c'est comme la comédie sur l'eurovision sortie sur Netflix, il fallait aller jusqu'au bout du délire. On parle d'un concours ringard, on ne prend pas ça au sérieux et on y va à fond.

    Sans parler du personnage même de Wetter qui est incohérent au possible. Au début il est super confiant en lui lorsqu'il passe les sélections régionales et puis après mentalement il s'effondre sans trop que l'on sache pourquoi... il a plein d'abonnés sur instagram... il a fait quoi pour ?

    et surtout il abandonne juste avant la fin... on ne sait pas pourquoi non plus...

    ça plus la fragilité du personnage ça rend le personnage peu intéressant et pénible à suivre...

    Mais bon passé les 10 premières minutes et une fois le film lancé, ça se regarde sans trop de déplaisir (ni trop d'intérêt vu que c'est calibré).
    Yannick S
    Yannick S

    4 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 novembre 2020
    Je mets 5 étoiles car c'est un joli petit film feel-good, bravo aux acteurs. Certes lu'ivets du concours Miss France comporte des différences face à la réalité mais bon c'est une fiction et c'est vrai que j'ai du mal à croire ce mélange de personnages se côtoyer réellement ds la vie réelle, ils sont tellement différents mais cela laisse rêveur.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    346 abonnés 1 772 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 novembre 2020
    J’ai trouvé cette comédie pas mal. J’avais une appréhension car la thématique n’est pas du tout évidente à traiter, et on peut facilement tomber dans l’excès. Malheureusement quelqu’une de mes craintes à ce sujet a été confirmée, cependant un équilibre se fait avec d’autre passages superbement bien réussit. Cette comédie va oser aborder le féminisme, l’acceptation de soi, et la tolérance vis-à-vis de ceux que la société considère « différent ». Le message est positif et il faut le souligner. Ce qui compte ce n’est pas la manière dont l’extérieur nous perçois, mais ce que l’on veut véritablement être. Cependant, cela n’empêche pas quelques lourdeurs avec certains plans qui insiste un peu trop pour qu’on comprenne la volonté du réalisateur. Surtout que le film porte beaucoup de revendication, mais parfois elles vont se télescoper et devenir confuses. L’échange entre Pascale Arbillot et Isabelle Nanty en est un peu la symbolique. Elles vont lancer une problématique forte sur la confrontation des idéologies, mais finalement rien n’est résolu. À force de vouloir du positivisme, on tombe dans la facilité scénaristique pour que tout soit bien. C’est un peu le revers de la médaille. Toutefois, l’émotion passe grâce à Alexandre Wetter. Sa prestation est fantastique. On le sent s’épanouir. J’ai aussi énormément apprécié le casting secondaire qui apporte une véritable force. Déjà par Pascale Arbillot et Isabelle Nanty, qui sont comme deux mères de substitution avec des rôles sérieux. De leur côté Moussa Mansaly et Hedi Bouchenafa vont insuffler beaucoup de légèreté. Ils m’ont énormément fait rire.
    LeFilCine
    LeFilCine

    175 abonnés 575 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 novembre 2020
    On l’a attendu le nouveau film de Ruben Alves ! Depuis sa présentation au festival de comédie de l’Alpe d’Huez en janvier 2020, le long-métrage suscitait une très belle attente et bruissait de commentaires forts élogieux. Sa sortie reportée deux fois, il a juste eu le temps de paraître en salles avant le second confinement. Et le résultat va au-delà des attentes ! C’est tout simplement l’un des meilleurs films français de l’année. Il y avait pourtant dans le scénario deux thématiques difficiles à porter à l’écran : celui des miss, qui peut vite tourner à la raillerie et à la critique facile. Et celui des individus transgenres, sujet évidemment sensible et rarement traité au cinéma. Ruben Alves et ses co-scénaristes s’en tirent à merveille. Le récit ne verse jamais dans la caricature, présentant ses personnages tels qu’ils sont, avec un regard très tendre sur chacun d’eux. Plusieurs seconds rôles crèvent l’écran. D’abord Isabelle Nanty, poignante en maman de substitution un peu dépassée par les évènements. Puis Pascale Arbillot, parfaite en directrice du comité Miss France, dure et humaine à la fois, dans un très beau rôle. Et enfin Thibault de Montalembert, réalisant une interprétation assez stupéfiante d’une vieille prostituée du bois de Boulogne, personnage au combien marquant et attachant. Cette belle galerie de personnages secondaires ne serait rien sans la prestation formidable d’Alexandre Wetter, la révélation su long-métrage, crédible de bout en bout et terriblement talentueux. Ajouter à cela une bande originale d’excellente facture, le film de Ruben Alves est le rayon de soleil du cinéma français de cette fin d’année 2020.
    Alexandre Cacheux
    Alexandre Cacheux

    56 abonnés 534 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 novembre 2020
    Encore un film français réussi ! Miss est un vrai délire, du scénario à son interprétation en passant par sa réalisation. Sur un rythme trépidant et dans une avalanche de rires, Miss déroule son histoire improbable avec force et conviction. Avec beaucoup de tendresse, le réalisateur dessine un milieu interlope sans omettre la dureté et les côtés sombres de cette communauté malgré elle. Si le dernier quart du film perd de son souffle, le tout est une œuvre forte, originale et qui s'imprime fortement dans les souvenirs du spectateur.
    Manon
    Manon

    2 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 novembre 2020
    J'ai été bouleversée par ce film, le scénario et les chemins empruntés par les personnages donnent à voir une grande force.
    Le jeu d'Alexandre Wetter est magnifique.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 347 abonnés 4 137 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 novembre 2020
    C’est après avoir accompagné une personne de son entourage dans sa transition que Ruben Alves décide d’en faire le sujet de son nouveau film. La question est alors de trouver le moyen de parler d’une personne transgenre au grand public. La comédie est un bon moyen et les Miss France sont si populaires que le sujet pourrait enfin toucher le plus grand nombre. Le personnage d’Alexandre Wetter a toujours rêvé d’être élu Miss France. Après avoir perdu toute confiance en lui suite au décès de ses parents, il erre désormais avec ses colocataires de tout âge et tout milieu, sous le toit d’une maman mégère au grand coeur qui fait régner l’ordre et la bonne transaction des loyers, personnage joué par Isabelle Nanty. Soutenu par sa meilleure amie travestie et plus toute fraîche, incroyable performance de Thibault de Montalembert, le jeune homme décide de se lancer dans la course folle des élections. Ce concours est pourtant souvent critiqué par rapport à l’image et les stéréotypes qu’il véhicule sur les femmes défilants en maillots de bain. Faire gagner un transgenre serait alors un coup de pied dans la vieille tradition de la représentativité. “Miss” est une comédie légère qui ne pourra absolument pas avancer sans cliché. Néanmoins, chaque personnage parvient à nous toucher par sa sincérité et son audace. Les valeurs humaines sont toujours au centre de l’intrigue et Ruben Alves réussi le pari d’une comédie populaire sur la féminisation assumée d’un homme.
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    Aubert T.
    Aubert T.

    123 abonnés 137 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 novembre 2020
    Pourtant ça commence plutôt bien, pendant les 40 premières minutes : dialogues, situations, on pense que ça va rester piquant et qu'on tient enfin une tragi-comédie originale. Hélas non : ensuite, on prend l'autoroute avec des situations prévisibles et débiles. Il n'y a pas grand chose à sauver de ce feel-good movie mal pensé, mal écrit et globalement ennuyeux. Dommage, il y avait là un vrai sujet à traiter.
    Cinememories
    Cinememories

    478 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 novembre 2020
    Le sens moral du collectif, on l’a vu porté dans un élan de camaraderie dans « La Cage Dorée » de Ruben Alves. Aujourd’hui, pour son second long-métrage, il nous revient avec ressort plus intimiste et social, décrivant ainsi l’environnement dans lequel les femmes évoluent. Il ne s’agit pas d’un concept arbitraire ni redondant, car il reste toujours une couche à rajouter sur le discours de la modernité, tout en dénonçant le subconscient patriarcal du quotidien. Et si son support exploite le revers de la médiatisation à travers l’élection de Miss France, son sujet s’attardera sur l’androgynie et toutes les barrières que la société impose dans la forme. En souhaitant briser les codes, il parvient à faire naître une comédie touchante et séduisante, car notamment portée par un casting incroyablement efficace et pertinent.

    Alex, le joyeux des festivités, nous embarque dans les propres pas de son interprète Alexandre Wetter. Il incarne une parfaite mixité entre la robustesse des hommes et l’élégance d’une femme. Ce que l’on peut comprendre chez lui comme une ambiguïté de genre n’est pas vraiment au rendez-vous. Le film part du simple fait de vouloir se forger une identité, par le biais d’une mentalité bienveillante et libératrice. Là où l’on prend le temps d’y réfléchir, c’est aux côtés d’une Lola (Thibault de Montalembert) survoltée et fière de l’être. Il en résulte la force de l’âge et de l’expérience, comme source d’inspiration et de motivation. Le rêve d’enfant n’est pas si innocent, une fois que l’on prend pleinement conscience des possibilités, à ne pas confondre avec opportunités. L’enjeu est avant tout basé sur une reconstruction mentale, comme vient souvent souligner Yolande (Isabelle Nanty) et sa famille symbolisant minorité et indépendance. Malheureusement, cet aspect marginal n’est que très peu exploité, afin de mieux mettre en avant la définition d’une femme, selon les critères des Miss.

    Elégance, prestance et féminité seraient les piliers fondamentaux d’une femme. Le souci étant qu’on en attend uniquement un point de vue extérieur et qui mise essentiellement sur les apparences. La vétérane et figure de reine des Miss, Amanda (Pascale Arbillot), incarne bien la scission des codes moraux d’une émission qui surexploite le corps des femmes, au nom de la pérennité du business et de la surconsommation. Entre militante engagée et apôtre de son héritage, elle mène le front contre certaines bêtises humaines, dont on ne peut que signaler, à défaut de pleinement triompher. Ce que chaque participante y gagnerait, ce serait gloire et influence, mais le détour qu’on nous fait prendre au côté d’Alex témoigne d’un sentiment malhonnêteté, que l’on édulcore de nouveau, au service de son ascension féminine. Il se sent plus fort en assumant sa féminité et c’est également ce qui le rend attachant, dans sa démarche lyrique et prudente.

    Toutefois, certains points sont survolés alors qu’on y a bien fait trempette et c’est bien dommage de rencontrer quelques impasses. La concurrence des Miss offrait de belles opportunités de creuser encore plus le portrait d’une femme moderne ou plus encore. Et finalement, « Miss » épouse un peu trop le feel-good movie qu’il en devient parfois naïf, car ne prend pas le risque d’exposer ses personnages dans un environnement plus tranchant. Il nous incite pourtant à déguster le plaisir dans sa forme la plus pure et se permet simplement d’arrondir les angles, à l’image du tucking. Le film est à prendre pour ce qu’il suppose être, un fragment d’humanité qui fera du bien au spectateur, le temps d’un défilé et de relooking, sondant avant tout l’âme et l’esprit des reclus.
    Anonyme M
    Anonyme M

    58 abonnés 1 649 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 mars 2022
    ce film montre parfaitement tout ce qui ne va pas avec la société d'aujourd'hui sur les incompréhensions des personnes transgenres. le sujet n'est pas travaillé une seconde ils ne ce sont pas renseigné une seconde sur le sujet. POURQUOI un homme qui fait miss France est obligé de se déguiser en femme ?? ???? ils n'on rien compris ça s'en ressent dès le début avec les enfants qui ce moque de son rêve jusqu'à la famille des année plus tard. même des fatalité comme tu ne sera jamais une vraie femme. la pire insulte a ne surtout pas faire. a ce moment là, le film ne peut pas être pris au sérieux une seconde et ont en est qu'à 18 minutes. ils ont marginalisé les personnages.......sur un film visant a créer une ouverture d'esprits. la mère qui fait un scandale honteux sur les miss France. la femme qui les reçois raconte comme quoi de toute façon une femme est toujours prise pour une(....CENCURE...) super.......moralité zéro. le coup je me sens plus fort en femme mais je ne veux pas en être une mais alors c'est tellement montrer qu'elle ne l'assume pas. le cas extrêmement rare pris pour une généralité. ce qui est a des milliards de kilomètres loin d'être le cas. des remarques passable du style: au moins t'était normal avant. le coup fatal CE MET NUE DEVANT TOUT LE MONDE !!!!! il y a un moment ou il faut dire STOP. moralité zéro. surtout que le fait qu'elle se déshabille et qu'elle jette l'éponge, fou a l'eau la motivation de base qui était d'être miss France en étant (un homme) entre guillemet vu que ce n'est pas très clair sa situation. et cette situation pas clair est encore plus accentué quand l'acteur est androgyne mais pas transgenre. bon en même temps quelle transgenre va accepter un rôle pareil ? en même temps, quand un sujet très sérieux qui peux être responsable d'une guerre civile essaye d'être tourné en comique, ça ne peux que mal finir.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 novembre 2020
    Miss est un film brillant pour son intelligence et son dynamisme. Dans tous les points, le film m'a marqué, de l'humour à l'émotion. Franchement c'est un film qui faut aller voir parce que c'est une réalité dans notre société qui est triste. Ruben Alves a pris énormément de responsabilités et de risques en faisant son film. C'est un pari réussi avec beaucoup d'honneur. Ce n'est pas qu'une simple comédie, c'est un film à qui on doit pas mal de gloire et beaucoup de récompenses. C'est frais, c'est drôle, c'est émouvant, une bonne maîtrise du film de la part de Ruben Alves. C'est un film assumé avec beaucoup de valeurs et qu'on aime brillamment. Avec beaucoup de justesse et une qualité magique ! J'ai beaucoup adoré l'histoire très profonde et très vivante. Le courage est le maître mot dans ce film. C'est un beau film plein d'humanité. On vit avec ce film plein d'admiration. Un sujet de la société auquel faut faire attention. Ruben Alves a bien mené très finement. Miss assume toute sa splendeur et son courage. C'est une question de liberté et de choix ce qu'on affronte dans le film. Alexandre Wetter est juste incroyable, son interprétation est fou, il est très brillant sur tous les points comme pour les autres acteurs. Ceci représente un vrai chef d'œuvre très bien mise en scène pour son spectacle et pour sa vrai réalité.
    Narnet
    Narnet

    27 abonnés 166 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 août 2023
    Dernier film vu avant le reconfinement ... Un peu long à démarrer, mais sinon, très beau film, avec de grands moments d'émotion. À voir, quand les cinémas rouvriront ...
    flo
    flo

    3 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 octobre 2020
    Super moment comme nous en avons encore trop rarement au cinéma.
    Palme d'or à Alex welter et Thibault de Montalembert.
    Ils sont époustouflants.
    garnierix
    garnierix

    228 abonnés 447 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 octobre 2020
    Ce film est un festival de bons mots, d’excellents acteurs et de bonnes scènes bien réalisées. Avec une très belle originalité à la base. Mais quand, plus tard, il ne vous revient que le moins bon, alors qu’on a accroché si fort dès le début, c’est qu’il y a un problème. Un problème avec soi-même ou avec le film. C’est le cas avec ce Miss, cet Alex qui n’est sublime qu’en femme. C’est le cas avec tous les personnages, haut en couleurs, trop haut. C’est le cas avec les répliques, léchées, excessivement léchées. C’est le cas avec le suspense, puissant, puis qui s’auto-détruit en gâchant des opportunités (par exemple Miss PACA découvre le pot aux roses et le rebouche). C’est le cas avec la fin du film, le bout du tunnel, que l’on voit lumineux, mais où finalement ça déraille. Pourtant, le film avait un sacré potentiel : au centre, un garçon qui dit "je me sens plus fort en femme" ; et tout autour les autres, l’auberge espagnole, une arche de Noé ––du boxeur qui dit "le combat se gagne avant de monter sur le ring" ––à la faiseuse de misses-caniches-de-concours qui dit "ne sois pas victime des codes, il faut faire avec" ––en passant par une poignée de personnages qui ont tous un bon truc à dire, truculent si possible, la Lola en tête (qui a "les hormones en popcorn" pour un rien). Forcément, tout le monde a son mot à dire quand il s’agit de "devenir quelqu’un", et pas de "devenir personne" ––à commencer par Amanda Lear, dont la prestation ne dure malheureusement que le temps d’une pub Schweppes "what did you expect?", et lui ressemble. Ce film est donc prenant, hilarant, émouvant, mais énervant ––surtout la fin (même si certains la trouveront géniale). Pour toutes ces raisons, c’est un film à voir. A.G.
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