Derniers Avis : The Good criminal - Page 10

On aime retrouver Liam Neeson et Kate Walsh se donner la réplique. Le scénario est un peu attendu et fait écho aux autres films où on retrouve Neeson : lutte d'un homme contre tous pour prouver son honneur. Finalement peu de moments de surprise.

La filmographie de Liam Neeson (aussi triste soit-elle ces dernières années), se suit et se ressemble, cela en est même devenu « un meme » sur internet. Après la grotesque franchise Taken (2008/2012/2014) et un nombre non considérable de bouses en tout genre, avec notamment Le Territoire des Loups (2012), Non-Stop (2014) ou encore Sang froid (2019), on le retrouve une énième fois dans un film d'action (à 68ans, il serait temps que papy Neeson raccroche les gants car cela va réellement finir par devenir gênant).

"Honest Thief" pour son titre d'origine se voit affublé d'un nouveau titre anglais pour sa sortie... française. Un procédé totalement c*n mais qui est (hélas) une habitude dans notre contrée. Alors que nous aurions pu prendre exemple sur nos cousins les québécois qui l'ont tout simplement appelé "Un honnête voleur" (à savoir, la traduction littérale).

Bref, là n'est pas le problème, le souci réside clairement dans le film en lui-même. Réalisé par Mark Williams, plus habitué à produire des films (notamment Le casse du siècle - 2007) qu'à en réaliser (c'est son deuxième film), il essaie tant bien que mal de mettre en scène un polar d'action, sauf que ce dernier s'avère tellement prévisible avec ses personnages stéréotypés, que l'on s'emm’erde relativement vite.

The Good Criminal (2020) narre l'histoire d'un célèbre braqueur multirécidiviste qui décide de se rendre auprès des autorités afin de lui garantir un deal en sa faveur (aménagement de sa peine, notamment). Sauf que le FBI en aura décidé autrement...

On fera abstraction de l'agent du FDI qui trimballe sans cesse son caniche de grand-mère et encore moins la participation (inutile) futile de Robert Patrick. Le reste du casting ne sera qu'un amalgame de clichés et de personnages archétypaux. Face à eux, on retrouve un Liam Neeson égale à lui-même, entre sa tête de chien battu et son combat pour la vérité (quelle originalité !), on a relativement vite fait le tour du film... et de trouver le temps long.

En l'absence d'une quelconque émotion ou ne serait-ce qu'une once de tension, le film nous entraîne irrémédiablement dans les limbes d'Hypnos (le dieu grec du sommeil).

Et comme si tout cela n'était pas déjà suffisant, il faut aussi souligner la qualité exécrable de la photo (je ne sais pas quelle caméra a été utilisée pour les plans de nuit, mais la photo est dég’eulasse, tous les blancs sont cramés !). Sans parler des SFX (mention spéciale à l'explosion de la maison), digne d'une production Asylum... Tout juste digne d'une exploitation DTV ou SVOD.

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c'est bête à dire mais je me suis détendue de voir ce film. des comme ça on en voit plein à la télé. le côté "honnête et redresseurs des torts" ça fait du bien. haopy end assuré

Oh la la, quelle catastrophe. Déjà il y a un gros problème au départ au niveau du scénario: un grand braqueur de banque légendaire qui veut rendre 9 millions de dollars parce qu'il rencontre l'amour. Il a passé une partie de sa vie à braquer des banques, la police n'a aucune idée de son identité donc il pourrait en profiter mais non il décide de se dénoncer. Mais bon passons.

Ensuite, il y a un gros problème de rythme et de mise en scène. Le film ne démarre vraiment qu'au bout de 20mn, une fois que tous les personnages sont présentés, de manière très maladroites. Les effets spéciaux sont catastrophiques, dignes d'un téléfilm, vous allez rire quand vous allez voir la maison exploser.

Le pire c'est de se demander que fait Liam Neeson ici. Il n'y croit même pas. Ça doit être un de ses pires films. A vouloir faire des copies Taken où il rejoue le mec invulnérable il se loupe. Le reste du casting est complètement raté, de l'actrice de série B qui joue sa copine aux flics du FBI. Mention spéciale à Jai Courtney, qui joue comme un pied, un véritable acteur de ****** qui pourri tous les films auxquels il participe (die hard, terminator)...

Bref ne perdez pas votre temps et ne risquez pas votre santé pour aller voir ce film. Même un samedi soir sur son canapé ça reste médiocre.

Liam Neeson est toujours le bonne acteur que l'on aime voir dans ce genre de polar action triller, un film de plus qui occupera bientôt nos soirée de confinement pour l'hiver. rien d'extraordinaire mais rien non plus de dramatique, cela reste un bon moment de cinéma avec de bon ripou du FBI comme on en voit peu...poussé à la caricature parfois mais The Good Criminal est là heureusement pour faire passer la pilule.

Pas terrible. Le scénario est très pauvre, l'action peu présente, le casting médiocre hormis Liam Neeson et sa partenaire. Les effets spéciaux digne d'un Téléfilm cf spoiler: explosion de la maison.

Mais j'insiste sur le scénario. 1/ Le héros à un objectif : Ok. 2/ Mais il n'y a spoiler: aucune crise ni de climax !
. On ne ressent jamais de tension.

Polar de série B à l'ancienne avec Liam Neeson, toujours très juste et qui tient la forme malgré ses 68 ans !! Un excellent divertissement, assez classique mais bien joué et bien rythmé, je n'ai pas vu le temps passer.

Liam Neeson acteur est la raison d’être de ce film. C’est une histoire invraisemblable et molle, mais l’acteur la rend crédible, haletante, émouvante ––un braqueur de banque du genre gentil (on n’imagine pas cet acteur incarner un rôle de méchant) se repent, suite à un coup de foudre, ce qui n’empêche pas les méchants de courir les rues, même au FBI. C’est donc une histoire d’amour et de "seconde chance dans la vie", après être (ou avant d’être) une histoire de gendarmes et de voleurs. On ne s’ennuie pas une seconde grâce à Liam Neeson, excellent acteur, et c’est lui et la direction d’acteurs que l’on note ––parmi les autres acteurs, ceux qui jouent les agents du FBI sont tous intéressants, et l’actrice Kate Walsh (dont "le braqueur" n’aime pas les biscuits diététiques ni la tapisserie jaune) apporte de la drôlerie dans le drame. A.G.