Note moyenne
2,7
16 titres de presse
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L'Express
Face à un Ian McKellen impérial, Helen Mirren retrouve enfin un rôle intéressant après sa traversée dans un désert de mauvais films (Anna de Luc Besson en étant l'apogée). Il n'est jamais trop tard pour rebondir.
Le Point
Variation brillante sur le genre du film d'arnaque.
Positif
Équation : un scénario "bien ficelé", une réalisation soignée jusque dans ses moindres détails (belle direction artistique) et un duo d'acteurs jubilatoire qui justifie à lui seul le déplacement.
20 Minutes
Helen Mirren et Ian McKellen sont si délectables quand ils jouent au chat et à la souris que le scénario un brin tarabiscoté de cette histoire d’arnaque devient un enchantement.
CinemaTeaser
Ce thriller du troisième âge rigolo mais caricatural se regarde sans déplaisir et sans risquer une méningite.
Le Journal du Dimanche
Un jeu du chat et de la souris où les faux-semblants volent en éclats et où les complots sont ourdis de longue date. Dommage que le dénouement soit si démonstratif.
Les Fiches du Cinéma
Adapté d’un roman de N. Searle, cet imbroglio de duplicités, souvent invraisemblable, vaut surtout par la présence de ses deux remarquables interprètes, Ian McKellen et Helen Mirren, irrésistibles dans la peau de deux monstres de calcul et de séduction.
Libération
"L’Art du mensonge" reste coincé dans un petit artisanat à la musique sympathique, mais aux rouages bien trop voyants.
Première
On ne va rien vous spoiler, bien sûr, sauf que l’on peut prendre un certain plaisir à ces rebondissements, finalement plutôt rigolos malgré la noirceur intrinsèque du sujet.
Voici
Un thriller pas si pépère, sympathique, avec quelques rebondissements, qui vaut surtout pour son duo d'acteurs.
L'Obs
Le réalisateur de « Dr Kinsey » s’enlise dans une intrigue pâteuse à triple fond dont on devine les méandres à l’avance. Le petit plaisir, c’est de voir Ian McKellen et Helen Mirren se donner la réplique. En vrais faux-culs, ils sont parfaits.
Le Monde
Mais cette adaptation d’un roman de Nicholas Searle lorgne du côté de John Le Carré et se perd dans le temps et l’espace, entre guerre et paix, entre Londres et Berlin, au point de démentir toutes les promesses de son générique.
Le Parisien
Avec son scénario rocambolesque, le film américano-canadien de Bill Condon peine à convaincre.
Les Inrockuptibles
"L’Art du mensonge" a tout du dinosaure. (...) Hélas, l’animal en question ressemble davantage à un vieux crocodile arthritique qu’à un fier vélociraptor.
Le Figaro
Sur le vieil air de «je ne suis pas qui vous croyez», Condon ne renouvelle guère le genre et pioche dans la panoplie complète, avec petit-fils trop fouineur, banquier véreux et secret bien enfoui. Bon nanar du dimanche soir.
Télérama
On s’attendait à un film d’arnaque bien ficelé et porté par deux cadors britanniques. Or ce jeu de dupes entre un vieil escroc antipathique et une riche veuve se met en place très mollement, alors qu’il est évident, dès le début, que le rapport de force va s’inverser.