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lmc-3
270 abonnés
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4,5
Publiée le 5 octobre 2018
Belle surprise que ce film fantastique; Appréciant rarement un film à son casting, Jack Black et Cate Blanchett offrent une première étoile et demi; les trois étoiles restantes? L'histoire originale, l'ambiance générale, les personnages principaux comme secondaires très attachants, la beauté générale du film dans les décors éclairages et costumes malgré des effets spéciaux moyens, le rythme constant, l'implication générale du spectateur, l'opposition du sérieux et du burlesque, le tout pour un film qui ne laisse indifférent.
NB: attention cependant aux parents ayants l'intention d'y conduire leurs enfants, ce film est une réalisation plutôt sombre qui si adaptée pour un jeune public déjà assez âgé, peut se révéler impressionnant pour les plus petits qui par exemple ont été traumatisés dans ma salle durant la projection et dont-une famille a même eu à la quitter avant la fin du film.
Voilà une petite histoire fantastique qui se passe aux USA en 1955. Cela parle de magie, de surnaturel. Je m'attendais à mieux, à plus amusant, à plus drôle, à plus spectaculaire cependant l'ensemble est quand même divertissant et sympa.
Ce film réalisé par Eli Roth est un honnête divertissement pour toute la famille... L'histoire nous embarque dans un univers de mages et de tics tacs d'horloge... C'est bien fait, bien joué, manque juste un scénario plus écrit et une fin moins expéditive...
J’étais assez intrigué de découvrir le film « La prophétie de l’horloge ». La bande annonce avait l’air amusante mais c’est surtout la présence d’Eli Roth derrière la caméra qui a suscité ma curiosité. Sans le détester, je ne suis pas spécialement fan pour autant de ce cinéaste mais après des films comme « Hostel », « Cabin fever » ou « Knock knock », j’étais curieux de voir le résultat sur un film dit tout public.
Dès le début, j’ai été pris par ce scénario écrit par Eric Kripke, d’après le roman « La pendule d’Halloween » de John Bellairs. Mélangeant de façon assez habile la comédie et le fantastique, on est devant un divertissement de plutôt bonne facture pour ce genre. Habitué à plus de légèreté, on retrouve vite la patte du réalisateur lorsque l’épouvante pointe le bout de son nez et c’est peut-être ça qui le différencie un peu de la concurrence. Pour un public adulte, cela reste gentil mais pour un public plus jeune, il y a quand même quelques passages qui doivent bien donner la chair de poule. Du coup, tout le monde en a pour son compte avec cette histoire facile d’accès qui donne même envie de découvrir la saga littéraire d’origine. Plusieurs éléments sont prévisible mais je me suis en tout cas laissé prendre au jeu de cet univers. Si vers la fin, le film accuse quelques lenteurs, j’ai vraiment beaucoup aimé cette recette qui nous fait passer du rire à l’épouvante sans créer de grandes cassures dans le récit.
Devant la caméra, le trio principal fonctionne très bien. J’avais quelques craintes concernant Jack Black (Jonathan Barnavelt) car je ne suis pas toujours fan de son humour mais l’acteur évolue comme un poisson dans l’eau dans ce monde. Il cabotine comme toujours et a tendance à être dans l’excès sur ses mimiques de visages mais je l’ai trouvé plutôt canalisé dans son interprétation dans l’ensemble. Son personnage en devient même très sympathique au même titre que celui de Cate Blanchett (Florence Zimmerman) qui apporte beaucoup de fraîcheur. Pétillante, la comédienne semble s’amuser et prendre du plaisir. J’ai apprécié la tendresse qu’elle dégage vis à vis de son rôle. Pour les compléter, on retrouve le jeune Owen Vaccaro (Lewis Barnavelt). Je n’ai pas forcément été convaincu par son jeu que je trouve un poil trop juste mais ça ne gâche en rien mon plaisir. Je pense même que les jeunes spectateurs peuvent facilement s’identifier à lui, ce qui n’est pas plus mal, mais j’aurais quand même aimé voir par moment quelque chose de plus consistant, de moins simple à l’écran avec plus de caractère. Son personnage manque sans doute aussi un peu de profondeur pour le rendre davantage intéressant.
Quoiqu’il en soit, la réalisation d’Eli Roth m’a vraiment bluffé. Il n’y a rien de vraiment percutant mais j’ai beaucoup aimé ce mélange de style. On a la légèreté du divertissement familial, la magie du fantastique et juste ce qu’il faut en épouvante pour que son long métrage puisse nous happer durant notre projection. Après, tout n’est pas parfait, il y a quand même des petites maladresses mais rien de bien méchant. J’ai aimé le fait que le film soit très coloré avec quelques touches sombres mais cela n’empêche pas d’avoir quelques effets visuels pas vraiment au point à mes yeux (la scène finale avec les citrouilles me piquent encore un peu les yeux même si le côté épisode de la série « Chair de poule » peut faire sourire). Les costumes sont efficaces et un grand soin est apporté aux différents maquillages. Celui de Kyle MacLachlan (Isaac Izard) s’intègre bien dans ce film. Un énorme travail à été fait également au niveau des décors que je trouve très bon. La maison de Jonathan devient d’ailleurs un personnage à part entière qui prend vie dans tous les sens du terme. Etre décorateur pour ce genre de long métrage, ça doit être assez plaisant je pense surtout que c’est bien mis en avant avec une bonne photographie. La bande originale composée par Nathan Barr joue bien le jeu aussi même si j’aurais aimé quelques musiques un peu plus marquante. Cela manque d’un thème musical vraiment fort qui puisse marquer nos esprits.
Pour résumer, « La prophétie de l’horloge » fut pour moi une bonne surprise. On a tous les ingrédients pour s’amuser et même si tout n’est pas parfait et/ou novateur, il y a une ambiance propre à ce film qui fait que je me suis laissé prendre au jeu. C’est un film tout public avec quelques passages surprenant qui peuvent marquer les plus jeunes qui nous invite à des suites que je verrais certainement si elles devaient voir le jour. Toutes mes peurs se sont vite envolées en tout cas vis à vis de ce projet et c’est un divertissement que j’ai vraiment trouvé très bon dans son genre.
Suffirait-il de s’appeler Eli Roth pour avoir du succès ? On se souvient bien (malheureusement) de Hostel ; on se souvient bien de Inglourious Basterds. On se souvient aussi de Death Wish de cette année, et la rage qu’il nous avait communiquée d’évoluer dans un monde entourés d’abrutis et de criminels. Mais on oubliera La Trilogie de l’Horloge. On oubliera aussi l’excellent casting (Black Jack Cate Blanchett) –un vrai gâchis puisqu’ils n’ont rien d’original à produire. Ce n’est pas si mauvais ; ce n’est pas si bon ; ce n’est pas si horrifique ; ce n’est pas si magique ; ce n’est pas si drôle. Il y a pourtant quelques scènes originales qui, mieux réalisées, auraient pu nous posséder ou nous décoiffer. On aurait pu développer davantage autour du « bizarre », mot-clé du film. On s’ennuie dans ce film, à se demander si l’on va aller au bout ; il n’y a aucune émotion, même chez le gamin bizarre, qui finit par nous irriter. Il n’y a bien sûr aucune leçon, aucun sujet, à méditer, quoi qu’on en dise. Les effets spéciaux sont bien léchés, OK, mais ce n’est plus un critère aujourd’hui (on est habitué). En revanche, la bande-son (c’est toujours soigné dans les films américains) est un personnage à part entière, qui respire et palpite comme un cœur. Il est probable que le film soit pour les moins de 10 ans exclusivement, ce qui ne veut pas dire que ce soit recommandé.
Pauvre Eli Roth, le voir ramer autant ces derniers années à s'essayer à tous les genres pour mieux échouer commence sérieusement à ressembler à du désespoir, son dernier fait d'armes, le pitoyable remake de "Death Wish", paraissait même laisser augurer un chant du cygne au vu de sa médiocrité (bon, il faut reconnaître que le coma dans lequel Bruce Willis était plongé n'aidait pas non plus...). Mais le bonhomme a de la ressource et quoi de mieux qu'une adaptation d'un premier bouquin d'une saga littéraire fantastique pour enfants afin de se refaire et de minimiser les risques d'un nouvel échec ? Il faut dire que, là, Roth a fait fort pour mettre toutes les chances de son côté : Spielberg à la production (ça permet d'accoler un joli logo Amblin nostalgique à l'affaire), Eric "Supernatural" Kripke à l'écriture, un budget conséquent, Jack Black & Cate Blanchett dans les premiers rôles (plus un guest de luxe en grand méchant), ... L'affaire semblait être réglée comme une pendule (haha...) pour aboutir sur un divertissement familial de qualité... et puis non, en fait, s'il n'a rien de réellement honteux, "La Prophétie de l'horloge" fait vraiment l'effet d'un petit pet de souris dans la liste interminable des films de ce genre en ne trouvant absolument rien à faire d'original avec son univers...
À la mort de ses parents en 1955, le petit Lewis part vivre chez son oncle excentrique qu'il n'a jamais connu. Dans son manoir étrange où tout paraît prendre vie, il découvre un monde insoupçonné de magie et l'existence d'une terrible menace en relation avec une mystérieuse horloge dissimulée dans la maison...
Tout n'est cependant pas de la faute d'Eli Roth sur ce coup. Le film bénéficie d'une patte esthétique indéniable où le réalisateur s'amuse souvent avec le cinéma de cette époque et déploie une belle imagerie à travers les décors et les créatures horrifico-enfantines qui les peuplent. Cette générosité visuelle dont fait preuve Roth est même la principale qualité de cette "Prophétie de l'Horloge". Évidemment, à bien y regarder, tout n'est pas si original que ça, le réalisateur emprunte beaucoup à droite et à gauche (de "Harry Potter" aux mondes burtoniens) pour construire cet univers à l'écran mais celui-ci tient plutôt bien la route. En réalité, le problème vient surtout du script très fainéant d'Eric Kripke qui lui aussi se contente de recycler tous les passages obligés de ce genre d'intrigue mais de manière bien plus fragrante. Malgré quelques fulgurances (le méchant et ses motivations sont plutôt bien pensés), le récit de "La Prophétie de l'Horloge" paraît être en pilote automatique la quasi-totalité de sa durée en empilant tous les ressorts connus et archi-connus des films fantastiques familiaux récents pour, au final, n'offrir aucune surprise. Si on voudrait le caricaturer en en donnant sa recette simpliste, on pourrait résumer le film à un "Harry Potter" version cours à domicile avec une bonne cuillerée d'un "Chair de Poule" vue par Tim Burton et une bonne louche d'humour très mal dosé (que le maladroit Roth n'arrive bien sûr pas à gérer avec son tempo comique habituel désastreux). Peut-être pire que tout, on ne peut pas s'empêcher de relever de multiples incohérences et facilités dans le déroulement de l'histoire (pourquoi, notamment, les bons mages n'ont-ils pas essayé de détruire les objets dangereux comme le grimoire et la clé plus tôt s'ils représentaient une telle menace ?), un univers certes très fantaiste demande tout de même une certaine logique pour être un minimum crédible ! Heureusement la dynamique du duo Jack Black/Cate Blanchett en très grande forme permet de rompre la monotonie de l'ensemble (on passera poliment sur la prestation du jeune Owen Vaccaro, il a certes la tête de l'emploi mais son jeu...) et leurs joutes verbales apportent un surplus de rythme qui permet de sauver certaines séquences de l'ennui total.
Rien de bien transcendant donc, malgré des qualités plastiques et un duo séduisant de comédiens, "La Prophétie de l'Horloge" mange tellement à tous les râteliers du genre auquel il appartient qu'il en devient vite un produit lambda et oubliable. Le film aura au moins permis de donner un second souffle à la carrière d'Eli Roth au niveau du box-office US mais on n'en réclamera pas un deuxième épisode pour autant...
Ce conte fantastique familial est orchestré avec brio par un jack black impérial dans se type de film et une cate blanchett méconnaissable. Ce duo ne se supporte pas dans le film et s’envoie des vannes plus drôles les unes que les autres. Le petit garçon gardé par son oncle ( jack black) est attachant et sera au centre de l’histoire. Le must du genre pour cette année 2018.
un très bon film fantastique avec des bons effets spéciaux, des belles images et belles images avec son joli côté magique puis un peu horrifique aussi. une très belle histoire ainsi que des acteurs parfaits. tout est bon pour en faire un joli conte de magie et d'horreur. j'ai très bien apprécié ce film dont les 1H45 se sont déroulées comme sur des roulettes.
Adaptation du roman La pendule d'Halloween de John Bellairs., La prophétie de l’horloge est un curieux film fantastique dans lequel Lewis Barnavelt, un jeune orphelin de dix ans, vient vivre dans le manoir de son oncle Jonathan, interprété par Jack Black (Disjoncté, King Kong, Les voyages de Gulliver), qui semble tout aussi imprégné de magie qu’hanté par une inquiétante pendule. Sa voisine Madame Zimmerman, jouée par Cate Blanchett (Le Seigneur des Anneaux, Babel, Cendrillon), est magicienne tout comme lui et les piques qu’ils s’envoient comme s’ils étaient un vieux couple apporte un ton humoristique assez sympathique au tout.
L’intrigue repose sur les secrets cachés par la demeure, notamment avec l’histoire de l’ancien propriétaire de l’horloge Isaac Izard, joué par le charismatique Kyle MacLachlan (Dune, Twin Peaks), qui cherchait à provoquer l’Apocalypse avant d’être terrassé. L’univers fantastique rappelle assez fortement celui d’Harry Potter bien au-delà du domaine, entre les cadres animés, le lion ailé en feuillage, le grimoire renfermant une clé spéciale et les jolis effets spéciaux pour les sortilèges. Le mystère est très bien gardé grâce à des plans très suggestifs, comme celui où Jonathan regarde à travers la gueule du monstre qui ouvre un passage.
Le réalisateur Eli Roth (Hostel, Knock knock) conserve parfaitement sa patte artistique horrifique avec de nombreux éléments glauques qui montrent que ce n’est pas un film à mettre sous les yeux des enfants. On trouve ainsi des citrouilles d’Halloween au regard effrayant, des personnages fabriqués dont l’aspect et le regard font froid dans le dos, spoiler: un Isaac zombifié, les violentes convulsions de sa femme, sans oublier une ambiance parfois très sombre et pesante. Un bon film fantastique qui se démarque par sa réalisation de qualité !
un film fantastique assez moyen malgré un bon Jack Black le film ne décolle vraiment jamais et l'histoire reste très simpliste. quelques bons effets spéciaux tout de même.
Beau film , à voir en famille , effets spéciaux en tout genre , un manoir bien sûr avec une horloge diabolique , à détruire avant qu'elle remonte le temps , un méchant revenu des morts , un petit garçon orphelin héros.
un film sans réelles surprises , je peux pas dire qu'il était mauvais et je peux pas dire qu'il était génial , j'ai juste passé un bon moment au ciné , les acteurs étaient crédibles , a vrai dire on s'y attache même .l'Histoire et le scénario nous laisse quelques rebondissements surprenant même . Les effets spéciaux sont sympa et l'humour aussi . un film pour toute la famille
très bon, film original et parfois drôle ! attention cependant aux jeunes enfants, scènes parfois qui peuvent surprendre les plus petits. sinon j'ai passé un très bon moment
Tic, Tac: c’est parti pour 1h46 d’humour qui ne fait pas rire et d’horrifique qui ne fait pas peur. Beaucoup de débauches visuelles, certes, mais finalement un peu vaines face à une histoire sans réel intérêt ou surtout sans aucune originalité. On pense beaucoup à Tim Burton qui aurait pu porter un tel projet, mais dans les mains du réalisateur E.Roth c’est omettre toute poésie ou d’imaginaire foisonnant. La fin ne déroge pas à la règle de l’absurde et du mielleux dans les rouages. Absolument inoffensif, on espère que “La Prophétie de l’Horloge“ aura au moins un effet sur les enfants innocents qu’on pense en être la cible. Les acteurs sont étonnamment plutôt bons: J.Black en fait des tonnes comme d'habitude, C.Blanchett en impose toujours malgré un univers où on l’attend moins, et le jeune O.Vaccaro est relativement convaincant en dépit de sa petite carrure. Reste donc une histoire qui ne remettra pas les pendules à zéro dans le fantastique, mais qui vous fera, malgré le brouhaha ambiant, rappeler que votre montre aussi à un tic-tac qui s’exprime quand le temps passe.
Mélange entre Harry Potter et Le Monde de Narnia, La Prophétie de l'horloge est un divertissement honnête, sans prises de tête, devant lequel on passe un bon moment. Réalisé par Eli Roth (habituellement metteur en scène de films d'horreur plutôt gore), le film est distrayant et est porté par un duo d'acteur qui fonctionne plutôt bien : Cate Blanchett et Jack Black. L'histoire est plaisante à suivre et les effets spéciaux ne sont pas trop mal réussis. Pour son premier film non horrifique, force est de constater qu'Eli Roth s'en sort plutôt bien et fait de La Prophétie de l'horloge un petit film sympathique.