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La tendresse infinie qui se dégage du film n’a rien de pusillanime.À en juger la décision assez mystérieuse d’Ancine, l’agence nationale du cinéma brésilienne, d’interdire à ses employés la projection du film, l’amour et la gentillesse dont est empreint le travail de Karim Aïnouz constituent même une arme puissante. On ne voit que ça comme explication. L’humanisme.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Bouleversant, ce récit s'étend sur plus de cinquante ans et voit alterner les moments sombres, joyeux, violents ou déchirants. Il rend un hommage vibrant et coloré à toutes les femmes aux « vies invisibles ».
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
[...] une splendeur plastique, car le film est incroyablement beau, sa lumière (signée de la grande Hélène Louvart), ses couleurs, ses cadres et textures, et toujours à la limite de la faute de goût que le mélo exige, dans la crudité des humeurs et l’excès coloré.
La critique complète est disponible sur le site Libération
La banalité du sexisme qui ponctue le récit est une des forces de cet ambitieux mélodrame, justement couronné du prix Un certain regard, à Cannes, cette année.
Superbe récit en forme de mélo que le cinéaste brésilien Karim Aïnouz (dont le père est kabyle) réalise avec une ampleur éblouissante, traduisant la beauté tellurique de son pays entremêlée à sa dimension sociale.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Si cette histoire de sœurs émeut tant, c’est parce que les sentiments les plus vifs suscités par le film émanent plutôt de la dépendance invisible, quasi inconsciente et à contretemps, qui relie ces deux destins.
Prix Un Certain Regard du dernier Festival de Cannes, cette réussite est une nouvelle preuve, après « Bacurau », « Gabriel et la Montagne » et « les Bonnes Manières », de l’état de grâce du cinéma brésilien, menacé par la politique anti-culturelle de Bolsonaro.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Récompensé par le prix Un certain regard au dernier Festival de Cannes, ce long-métrage de Karim Aïnouz illustre la force d’un lien indestructible entre deux sœurs. Les visages de ces deux sœurs incarnées par des comédiennes charismatiques ne sont pas près de quitter nos mémoires
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Avec ce mélodrame haut en couleurs, Karim Aïnouz dresse une épopée ambitieuse autant qu’intime, et dresse d’évidents parallèles avec le Brésil contemporain.
Toute leur vie, deux soeurs n'abandonneront pas l'espoir de se retrouver et de vivre leur rêve. Elles ne sont pas filmées comme des martyres mais comme des puissances menottées. Dans le Brésil conservateur de Bolsonaro, ce mélodrame féministe, aussi virulent dans sa dénonciation du patriarcat que porteur d'espoir dans la forte résilience de ces deux sœurs, ne pouvait pas mieux tomber.
Avec La Vie invisible d’Euridice Gusmao, Karim Aïnouz porte un regard juste et lyrique sur la condition féminine dans le Brésil des années 1950 et 1960.
La photographie magnifique d’Hélène Louvart saisit cette quête comme autant de percées dans une ville aux teintes fauves, toute de reflets enivrants, où le désir de vivre semble rejaillir partout sur les murs. C’est au coeur de cette dimension plastique que Karim Aïnouz installe leur relation imaginaire, cet amour frustré, sculpté dans la glaise du souvenir, où chacune finit par percevoir en l’absente ce qu’elle aurait pu devenir.
Il y a de belles choses dans l'histoire de ces deux soeurs (...). Mais le poids du machisme, du patriarcat (...) va sans cesse contrarier leur vie et les séparer. Mais aussi, malheureusement, charger la barque du mélo jusqu'au trop6plein.
BIBA
Sous ses airs "classiques", cette fresque familiale est un superbe mélo rebelle et féministe.
Bande à part
Entre telenovela et mélo de la plus belle eau, et sur plusieurs décennies : une réussite absolue.
Culturopoing.com
La tendresse infinie qui se dégage du film n’a rien de pusillanime.À en juger la décision assez mystérieuse d’Ancine, l’agence nationale du cinéma brésilienne, d’interdire à ses employés la projection du film, l’amour et la gentillesse dont est empreint le travail de Karim Aïnouz constituent même une arme puissante. On ne voit que ça comme explication. L’humanisme.
Le Parisien
Bouleversant, ce récit s'étend sur plus de cinquante ans et voit alterner les moments sombres, joyeux, violents ou déchirants. Il rend un hommage vibrant et coloré à toutes les femmes aux « vies invisibles ».
Libération
[...] une splendeur plastique, car le film est incroyablement beau, sa lumière (signée de la grande Hélène Louvart), ses couleurs, ses cadres et textures, et toujours à la limite de la faute de goût que le mélo exige, dans la crudité des humeurs et l’excès coloré.
Positif
La banalité du sexisme qui ponctue le récit est une des forces de cet ambitieux mélodrame, justement couronné du prix Un certain regard, à Cannes, cette année.
Sud Ouest
Superbe récit en forme de mélo que le cinéaste brésilien Karim Aïnouz (dont le père est kabyle) réalise avec une ampleur éblouissante, traduisant la beauté tellurique de son pays entremêlée à sa dimension sociale.
Voici
Un magnifique mélo puissamment féministe.
Cahiers du Cinéma
Si cette histoire de sœurs émeut tant, c’est parce que les sentiments les plus vifs suscités par le film émanent plutôt de la dépendance invisible, quasi inconsciente et à contretemps, qui relie ces deux destins.
CinemaTeaser
Du très grand cinéma, charnel, habité et engagé.
Critikat.com
Le mélodrame acquiert ici une dimension puissamment féministe en s’ancrant dans un quotidien scruté à la loupe.
Femme Actuelle
Des images baignées d'une grande beauté mélancolique.
Franceinfo Culture
Autant de composantes que Karim Aïnouz harmonise dans un grand récit aux différents niveaux de lecture, historique et sociétale. Émouvant.
L'Obs
Prix Un Certain Regard du dernier Festival de Cannes, cette réussite est une nouvelle preuve, après « Bacurau », « Gabriel et la Montagne » et « les Bonnes Manières », de l’état de grâce du cinéma brésilien, menacé par la politique anti-culturelle de Bolsonaro.
La Croix
Prix « Un certain regard » au Festival de Cannes, ce film restitue la splendeur esthétique du mélodrame hollywoodien pour mieux le subvertir.
Le Figaro
Récompensé par le prix Un certain regard au dernier Festival de Cannes, ce long-métrage de Karim Aïnouz illustre la force d’un lien indestructible entre deux sœurs. Les visages de ces deux sœurs incarnées par des comédiennes charismatiques ne sont pas près de quitter nos mémoires
Le Journal du Dimanche
Coup de coeur pour ce mélodrame déchirant qui évoque la condition de la femme, le temps qui passe et les rendez-vous manqués.
Les Fiches du Cinéma
Avec ce mélodrame haut en couleurs, Karim Aïnouz dresse une épopée ambitieuse autant qu’intime, et dresse d’évidents parallèles avec le Brésil contemporain.
Les Inrockuptibles
Toute leur vie, deux soeurs n'abandonneront pas l'espoir de se retrouver et de vivre leur rêve. Elles ne sont pas filmées comme des martyres mais comme des puissances menottées. Dans le Brésil conservateur de Bolsonaro, ce mélodrame féministe, aussi virulent dans sa dénonciation du patriarcat que porteur d'espoir dans la forte résilience de ces deux sœurs, ne pouvait pas mieux tomber.
Rolling Stone
Un récit d'une réalité et d’une cruauté cinglantes.
Transfuge
Avec La Vie invisible d’Euridice Gusmao, Karim Aïnouz porte un regard juste et lyrique sur la condition féminine dans le Brésil des années 1950 et 1960.
Télérama
À travers cette fresque, un vibrant hommage aux femmes asservies « invisibles ».
aVoir-aLire.com
Un très grand film, indispensable dans le contexte brésilien actuel.
Le Monde
La photographie magnifique d’Hélène Louvart saisit cette quête comme autant de percées dans une ville aux teintes fauves, toute de reflets enivrants, où le désir de vivre semble rejaillir partout sur les murs. C’est au coeur de cette dimension plastique que Karim Aïnouz installe leur relation imaginaire, cet amour frustré, sculpté dans la glaise du souvenir, où chacune finit par percevoir en l’absente ce qu’elle aurait pu devenir.
Paris Match
Un mélo brésilien stylisé et feutré [...].
Première
Les deux actrices avancent dans cette intimité douloureuse sans jamais s’excuser de porter haut les émotions de leur personnage. Un ravissement.
Ouest France
Il y a de belles choses dans l'histoire de ces deux soeurs (...). Mais le poids du machisme, du patriarcat (...) va sans cesse contrarier leur vie et les séparer. Mais aussi, malheureusement, charger la barque du mélo jusqu'au trop6plein.