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Satire jubilatoire, "The Party" est aussi d’une moralité féroce. Il s’agit de la part monstrueuse et faillible de chacun. Une finesse de portraitiste dans des gros plans de têtes et de torses confirme l’humanité des personnages.
Le film de Potter se démarque par son humour affûté et un cynisme constant qui amuse tout autant qu’il dénonce l’hypocrisie de cette élite bien-pensante.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Un huis clos dont le noir et blanc accentue le côté très théâtral, fleurant bon l’humour british, à la fois élégant et rosse, et qui se plaît à mettre à nu les secrets inavoués et le décalage entre la bonne conscience politique affichée et la réalité sociale.
Ils sont sept. Plus un objet qui devient le huitième personnage de ce huis clos rigolo : le revolver apporté par le mari de la belle Marianne, que récupère Kristin Scott Thomas pour un dénouement moqueur qui pousse à revoir immédiatement cette Party, afin de bien en mesurer l’ambiguïté et l’ironie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Une mise en scène dynamique installée au cœur d’un décor épuré et soutenue par les dialogues ciselés des joutes verbales qui fusent sans temps mort protègent le spectateur de tout ennui et donnent un tempo exaltant à cette comédie enlevée.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cinéaste chevronnée, Sally Potter persiste et signe dans son style élégant pour faire passer un message imprégné de ses thèmes féministes, ici exposés avec un ton délicieusement acide.
Si l'héroïne fait son Godot, les comédiens n'attendent pas l'Arlésienne pour se déchirer sous nos yeux avec un humour et une subtilité toute britannique.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
On peut reconnaître une habileté d’écriture, cherchant à ménager un rythme particulier pour chacun des interprètes. Mais cet effort d’orchestration du dialogue devient vite mécanique et se trouve désamorcé par un arrosage automatique à l’acide qui vire au jeu de massacre gratuit.
En dépit de l’affiche relevée qu’elle est parvenue à réunir, la réalisatrice ne parvient pas vraiment à créer le tourbillon qui eut pu donner à cette métaphore – plus ou moins convaincante – une vraie saveur. En dépit de la tension, des péripéties, des réparties, le spectateur reste souvent étranger à ce qui se joue devant lui.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le ton est sec et ironique, les acteurs sont au diapason. Mais le film vire à la farce burlesque sur fond de malaisie et d'adultère et se noie sous un flot de mots.
On a beau vouloir faire genre en filmant en noir et blanc pseudo stylé, et en terminant l’histoire sur un coup de théâtre facile et gratuit (même pas un twist), c’est pitoyable.
Hystérie de l’interprétation, pauvreté des dialogues, incohérence du noir et blanc, ratage du dénouement : "The Party" condense tous les affreux tics du cinéma indé sans imagination.
La critique complète est disponible sur le site Première
Positif
Satire jubilatoire, "The Party" est aussi d’une moralité féroce. Il s’agit de la part monstrueuse et faillible de chacun. Une finesse de portraitiste dans des gros plans de têtes et de torses confirme l’humanité des personnages.
20 Minutes
La réalisatrice d’Orlando mord à belles dents dans les mœurs politiciennes pour ce huis clos tourné en plein Brexit.
Critikat.com
Le film de Potter se démarque par son humour affûté et un cynisme constant qui amuse tout autant qu’il dénonce l’hypocrisie de cette élite bien-pensante.
Le Dauphiné Libéré
Un huis clos dont le noir et blanc accentue le côté très théâtral, fleurant bon l’humour british, à la fois élégant et rosse, et qui se plaît à mettre à nu les secrets inavoués et le décalage entre la bonne conscience politique affichée et la réalité sociale.
Le Parisien
Un dîner très croustillant.
Les Fiches du Cinéma
Un film d’une cruauté et d’une drôlerie revigorantes.
Paris Match
Sally Potter signe un jeu de massacre jubilatoire dans l'Angleterre d'avant le Brexit.
Télérama
Ils sont sept. Plus un objet qui devient le huitième personnage de ce huis clos rigolo : le revolver apporté par le mari de la belle Marianne, que récupère Kristin Scott Thomas pour un dénouement moqueur qui pousse à revoir immédiatement cette Party, afin de bien en mesurer l’ambiguïté et l’ironie.
aVoir-aLire.com
Une mise en scène dynamique installée au cœur d’un décor épuré et soutenue par les dialogues ciselés des joutes verbales qui fusent sans temps mort protègent le spectateur de tout ennui et donnent un tempo exaltant à cette comédie enlevée.
CinemaTeaser
Une comédie en huis-clos, aussi concise que précise...
Franceinfo Culture
Cinéaste chevronnée, Sally Potter persiste et signe dans son style élégant pour faire passer un message imprégné de ses thèmes féministes, ici exposés avec un ton délicieusement acide.
L'Obs
Reste un film intéressant, parfois même passionnant par à-coups, mais inabouti. C’est dommage.
Le Figaro
Un vaudeville britannique qui vaut surtout pour ses acteurs. Et le petit coupde théâtre final, amusant.
Rolling Stone
Si l'héroïne fait son Godot, les comédiens n'attendent pas l'Arlésienne pour se déchirer sous nos yeux avec un humour et une subtilité toute britannique.
Voici
Un huis clos théâtral en noir et blanc entre stupeur, hystérie et pointe d'humour.
Cahiers du Cinéma
On peut reconnaître une habileté d’écriture, cherchant à ménager un rythme particulier pour chacun des interprètes. Mais cet effort d’orchestration du dialogue devient vite mécanique et se trouve désamorcé par un arrosage automatique à l’acide qui vire au jeu de massacre gratuit.
La Croix
En dépit de l’affiche relevée qu’elle est parvenue à réunir, la réalisatrice ne parvient pas vraiment à créer le tourbillon qui eut pu donner à cette métaphore – plus ou moins convaincante – une vraie saveur. En dépit de la tension, des péripéties, des réparties, le spectateur reste souvent étranger à ce qui se joue devant lui.
La Voix du Nord
Cynisme et cruauté. Rien ne fonctionne. Ni le talent des acteurs cabotins, ni le noir et blanc incongru, ni la théâtralité assumée. Plouf.
Le Monde
Malgré de bonnes répliques, on a l’impression que le talent ici mobilisé est un peu gaspillé.
Studio Ciné Live
Le ton est sec et ironique, les acteurs sont au diapason. Mais le film vire à la farce burlesque sur fond de malaisie et d'adultère et se noie sous un flot de mots.
Les Inrockuptibles
On a beau vouloir faire genre en filmant en noir et blanc pseudo stylé, et en terminant l’histoire sur un coup de théâtre facile et gratuit (même pas un twist), c’est pitoyable.
Libération
Jadis plus hardie, Sally Potter use et abuse des ressorts de la satire en huis clos. Déprimant de platitude.
Première
Hystérie de l’interprétation, pauvreté des dialogues, incohérence du noir et blanc, ratage du dénouement : "The Party" condense tous les affreux tics du cinéma indé sans imagination.