Mon compte
    Get Out
    Note moyenne
    4,1
    26042 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Get Out ?

    1 185 critiques spectateurs

    5
    176 critiques
    4
    533 critiques
    3
    257 critiques
    2
    113 critiques
    1
    53 critiques
    0
    53 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 19 novembre 2017
    tout est cousu de fil blanc, aucune originalité, des acteurs mauvais... franchement, une perte de temps, surtout pour recevoir une leçon de morale à 2 balles.
    À éviter
    Redzing
    Redzing

    963 abonnés 4 317 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 novembre 2017
    Un jeune homme noir est invité à passer le week-end chez sa nouvelle belle-famille, de riches blancs en apparence très tolérants. Sauf que de petites choses vont faire monter l'inquiétude chez le protagoniste, puis la tension... "Get Out" est une bouffée d'air frais, aussi bien dans le genre horrifique que social. Malgré le fait qu'il s'agisse de son premier film, Jordan Peele maîtrise parfaitement son style. Il amplifie peu à peu l'angoisse grâce à des détails subtils (regards, petits mouvements, alternance entre gros plans troublants et plans larges et froids...), et ce qui démarre comme un week-end légèrement tendu mue en trip cauchemardesque et oppressant. On salue également la BO inquiétante, l'excellente photographie (jeu sur les couleurs jaunes et boisées, scènes de nuit stressantes), et quelques idées de mise en scène très bien trouvées. Par ailleurs, les acteurs sont tous très convaincants. Mais le clou est le fond du film, qui tire à boulets rouge sur le racisme ordinaire, aussi bien que la discrimination positive. Car il ne s'agit pas d'une critique qui enfonce des portes ouvertes en s'attaquant à l'extrême droite ou aux racistes primaires, mais plutôt d'un tacle envers ceux qui se croient bien-pensants et qui cache mal un comportement discriminatoire, ou ceux qui idéalisent les différences jusqu'à ne juger les personnes que par celles-ci. "Get Out" est donc réussi sur le forme comme le fond, et laisse augurer une belle carrière de réalisateur pour Jordan Peele.
    adicte
    adicte

    54 abonnés 700 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 novembre 2017
    Excellent film, qui sort des sentiers battus et qui nous propulse direct dans les pompes du personnage principal, par ailleurs super bien interprété. Très bonne réalisation, bien équilibrée et qui encourage l'empathie du spectateur envers le héros. Un divertissement intelligent et novateur de par son approche qui mérite d'être vu pour frémir d'angoisse et jubiler d'un certain plaisir macabre.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 1 décembre 2017
    Pas vraiment d'accord avec la note générale de ce film. La bande d'annonce me donnait très envie mais gâche un peu le film (toutes les scènes angoissantes y sont présentes). On continue à être déçu avec une intrigue bancale spoiler: (on comprend très rapidement que le personnel de la maison est hypnotisé
    , contribuant à rendre le film long jusqu'à la chute) puis par une fin sortie de nulle part qui apporte certes une autre vision au film mais qui ne me semblait pas vraiment nécessaire.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 208 abonnés 4 030 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 novembre 2017
    Get Out est un film d’horreur sur le racisme qui a cartonné aux Etats-Unis. En effet, le réalisateur va utiliser peur et humour pour mettre au grand jour cette discrimination très ancrée dans la société blanche américaine. Get Out raconte l’histoire d’un couple mixte qui file le parfait amour. A l’occasion d’un week-end chez sa belle-famille, Chris, qui est noir, va découvrir que ses hôtes n’ont pas l’intention de le laisser partir comme ça. Personne ne pourra rester indifférent devant un tel speech. En effet, le film va plus loin que les simples clichés. Il explore des personnalités qui s’imaginent antiracistes, votant d’ailleurs Obama. C’est donc avec toute la subtilité d’un drame social que s’exprime le cauchemar des micro-agressions racistes. Film d’horreur oblige, Get Out va partir loin, déranger le spectateur et le mettre face à sa propre monstruosité.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Charles P.
    Charles P.

    11 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 novembre 2017
    très enthousiaste au début du film; bons acteurs, bonne ambiance, et bonne musique.
    L'installation de l'intrigue est pas mal faite mais un peu maladroite tant on voit la chose venir.
    Puis commence la lingue descente en qualité du film avec un manque de profondeur, un scénario cousu d'avance, tout autant que les rebondissements.
    Je trouve le film simpliste et décevant car il part bien pour aller de mal en pire.
    Avec le recule, je me demande presque si ce n'est pas en faite une fine parodie de film d'horreur....
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 1 novembre 2017
    La première chose à savoir sur ce film est qu'il ne s'agit pas d'un film d'horreur (même si quelques scènes un peu gore surviennent dans le dernier quart d'heure du film) ni d'un film d'angoisse ou d'un thriller. On éprouve pas spécialement de peur à le regarder, à choisir je dirais que le sujet est traité sous l'angle de l'humour grinçant (j'ai failli écrire humour noir mais après avoir vu ce film on choisit plus soigneusement ses mots).
    Le scénario est très original ; en effet il traite des rapport entre Blancs et Noirs aux Etats-Unis, non pas de manière classique comme dans les références du genre, ex. "Le Majordome" (Lee Daniels, 2013) mais en parlant d'une société bourgeoise (fictive ?) de Blancs qui se passionnent pour Jesse Owens, Barack Obama entre autres figures afro-américaines historiques, au point de s'identifier à eux. spoiler: L'un des membres de la communauté annonce la clef du film en disant que : "Le Noir est à la mode."
    Je ne sais pas si de tels groupuscules existent, mais ils sont vraisemblables dans un pays qui a toujours du mal à assumer ses discours et ses positions dans les rapports intercommunautaires.
    Passé cet élément original, malheureusement, l'exercice de style souffre de quelques défauts. Les ficelles sont assez grosses et on voit arriver les "surprises" de loin. Personnellement, je ne suis pas tombé de mon fauteuil. Le film m'a fait rire plusieurs fois cela dit et il ne me laissera donc pas un mauvais souvenir.
    benitoberlon
    benitoberlon

    45 abonnés 970 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 octobre 2017
    Pour moi, le meilleur film de 2017. On se laisse prendre par ce film, avec 2 niveaux de lecture : d'un coté, le film d"horreur/épouvante", de l'autre une satire sociale et raciale parfaitement réalisée. J'ai adoré, je me suis laissé prendre, et j'y ai pris beaucoup de plaisir! SI vous hésitez encore pour le voir, ne le faites plus, ceci est un ordre!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 25 octobre 2017
    Ne vous fiez pas qu' à sa bande annonce hypnotisante et plutôt déroutante, Get out, géniale première réalisation du comedien Jordan Peele fait autant office de thriller traitant du mal être sociale de bon nombres d'afro-americains que de comédie noire faussement surnaturelle mené à un rythme dense et s'enfonçant au fur et à mesure que la conclusion approche dans un subtil et profond malaise auquel l'écriture comico-douce/amer et le jeune acteur Daniel Kaluuya apportent ce qu'il faut de regard exorbitant sur le sujet traité ici.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 janvier 2018
    Ce film est génial ! Il arrive à mélanger humour (subtil) avec horreur. Et le résultat est incroyable ; le film tient la route.
    Tout est bon dans ce film :
    -le scénario : malin, nouveau ;
    -la réalisation : très bien filmé, bien cadré ;
    -on ne s’ennuie jamais, ça passe vite ;
    -les acteurs : zéro fausse note, crédible, pas d’erreur de casting ;
    -la musique : elle augmente la tension, elle est bien placée, elle est très bonne ;
    -l’ambiance : très malsaine, surtout lors du bingo. Cette scène est vraiment horrible. Celle d’intro l’est également notamment grâce à la musique joyeuse en fond ;
    -la tension : très réussite, présente du début à la fin.
    Bravo à Jordan Peele pour son premier film en tant que réalisateur. Le succès de Get Out est mérité.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 22 octobre 2017
    Comment est-ce possible qu'un film aussi nul soit aussi bien noté?
    Clichés et stéréotypes minables tout au long du scénario, qui est d'une absurdité....
    Malheureusement impossible de donner mon avis sans "spoiler", mais un résumé de l'intrigue de quelques phrases m'aurait évité de gâcher autant de temps à regarder une telle daube.
    Je n'en reviens toujours pas... Comment peut-on faire un film pareil??
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 18 octobre 2017
    Get Out est un très bon film qui provoque des sensations fortes de part son ambiance maîtrisée à la perfection et de l'angoisse qu'il peut y avoir dans les conversations entre le personnage principal et toutes les autres personnes dans la maison. Car oui, le film ce passe dans un seul lieu et ce n'est pas un problème car l'intérêt principal du film est de créer des émotions grâce aux interactions et découvertes du personnage principal. On nous met constamment dans un sentiment de gène et de malaise par tous les propos portés sur les Afro-américains. Même les forces de l'ordre ne nous procure aucune sécurité et on se croirait seul. Get out n'est pas vraiment un film d'horreur par l'absence de gore et de violence extrême, ce serait plus un genre de film "suspens" .
    jean04100 ..
    jean04100 ..

    8 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 octobre 2017
    Je l'ai vu y a 2 jours et j'ai adoré, j'adore le thriller psychologique angoissant , un peu horrifique, c'est pas souvent que je suis autant dans un film, j'étais scotché, d'ailleurs, c'est pas souvent que je met une telle note sur allociné, trés bon scénario,trés bonnes idées,j'adore ce style
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 15 octobre 2017
    Pour moi ce film est un jolie cou d'épée dans l'eau ! les acteurs (trices) sont tous bon et l'idée de base sans être d'une grande originalité reste quand même assez bien vu . Hélas ,j'ai trouvé le tout très maladroit . Trop d'incohérences et les quelques twists (bon ,mais quand même prévisible...) sont , je trouve assez mal apportés .La réalisation et les plans caméras sont quant à eux assez réussis .
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 13 octobre 2017
    Le pauvre Aimé Césaire, un menu rhapsode que je goûte peu par ailleurs, se trouve souvent cité à tort et à travers, dès qu’il s’agit de prôner la tolérance et le respect interracial. À notre tour, piochons donc sans vergogne du côté de « La Tragédie du roi Christophe » pour ouvrir cette critique : « S’il y a une chose qui m’irrite, c’est d’entendre nos philanthropes clamer, dans le meilleur esprit sans doute, que tous les hommes sont des hommes et qu’il n’y a ni Blancs ni Noirs. »

    À la lecture du synopsis de « Get Out », une parodie horrifique de la comédie sociale « Devine qui vient dîner ? », nous pouvions craindre que le film ne se résume à une démarche commerciale opportuniste, avide de s’accaparer la montée en puissance du mouvement militant « Black Lives Matter » et de faire fructifier le retour de la question raciale dans les années post-Obama, tout en soufflant sur les braises des événements de Charlottesville. Sans chasser d’un revers de main cette éventualité, le cinéma américain n’ayant cure d’exposer une interprétation immédiate et outrée de son Histoire, force est de reconnaître que le réalisateur Jordan Peele évite divers écueils et propose ici une série B tout à fait convenable.

    « Get Out » contourne en premier lieu le lourd pensum antiraciste auquel son sujet ne l’invitait que trop : la rencontre entre Chris, un jeune photographe noir, et les parents blancs de Rose, sa « girl next door » idéale. De manière assez surprenante aujourd’hui, mais davantage compréhensible si on a été initié aux charmes de la blaxploitation des années 1970, Jordan Peele développe au contraire un discours racialiste qui se fout allégrement de la gueule des pincettes bienpensantes saisies par la gent WASP devant un homme de couleur. Et c’est alors tout un cinéma apprêté qui se trouve ridiculisé, avec sa politique des quotas, sa manière de s’accaparer et de traduire fallacieusement les stéréotypes et le langage des « minorités », son multiculturalisme de facade et son fantasme d’un certain métissage. Tout le début du film moque ainsi le naturel contraint des parents Armitage (oui, les mânes de Lovecraft habitent le lieu), dissimulant leur gêne de recevoir un noir avec des allusions lourdes et diverses circonlocutions émaillées d’emprunts langagiers (« my man ») qui frôlent constamment les pires stéréotypes sans avoir l’air d’y toucher. En proie à une logorrhée maladroite, Dean Armitage, le pater familias, déplore de n’avoir pu voter pour un troisième mandat d’Obama, évoque la frustration de son grand-père après avoir été supplanté par Jesse Owens lors des Jeux Olympiques de Berlin en 1936, tout en s’égarant dans une obsessionnelle métaphore filée sur le parasitage de la forêt par des chevreuils. Cette manière de brasser les vignettes d’Epinal de la « culture noire » et de danser constamment sur la ligne rouge du politiquement correct constitue en définitive le véritable racisme dénoncé dans cette première partie très sociale, au comique acerbe. Ce retour constant à la couleur de peau de Chris évacue en fait une problématique sociétale, celle de la difficulté à accepter un bohême orphelin dans une famille démocrate de la haute-bourgeoisie - laquelle, avec ses références culturelles égrenées à la va-vite comme des mécanismes de défense, ses souvenirs de voyage convenus, et ses deux domestiques noirs forcément conservés par reconnaissance familiale, apparaît comme une parodie outre-Atlantique de nos bobos parisiens. Ainsi, aucun intérêt n’est montré pour l’activité artistique du photographe Chris, le jeune frère Jeremy Armitage préférant parler sport et performances physiques. Le raout annuel organisé par les Armitage pousse ensuite jusqu’à l’outrance le racisme mondain, dans un mélange de répulsion et de fascination, une invitée fantasmant par exemple les performances sexuelles de l’éphèbe. Il en résulte un sentiment d’étrangeté et de gêne contenue, aussi bien dans la famille que chez le noir invité, qui ne demande qu’à exploser. Pour ce faire, et c’est la bonne idée de Jordan Peele, « Get Out » bascule soudainement du cinéma social dans le film d’horreur, notamment grâce à la séance d’hypnose pratiquée sur Chris par la mère psychiatre. Cette tentative manifeste de captation du jeune mâle noir, d’acculturation occidentale forcée, met à nu les intentions hostiles de la famille. Fini alors la politesse, les rires gênés, les réponses compassées ; il s’agit pour Chris de tomber le masque et de réveiller sa vraie nature ! « Debout et libre » !

    spoiler: La deuxième partie du film, sciemment grand-guignolesque, sonne l’hallali de la comédie de mœurs pour virer de manière folle dans un jeu de massacre réjouissant. Le twist, attendu depuis le prologue, puis amené au gré d’indices habilement disséminés (le refus du contrôle policier, le goût immodéré des parents pour les câlins…), autorise une réévaluation plus légère de la première partie. L’intérêt fébrile porté aux « qualités noires » de Chris s’explique ainsi par le sombre projet fomenté par la famille Armitage : se servir de lui comme d’un hôte, le vendre aux enchères afin d’offrir son corps et ses attributs physiques aux riches invités de la garden-party. Les deux domestiques noirs aux comportements étranges abritent ainsi les grands-parents Armitage et c’est un photographe aveugle qui désire maintenant les yeux de Chris. La « Coagula Procedure », assimiler l’intelligence de l’homme blanc dans le physique d’un black, incarne à merveille l’intention politique et le fantasme très contemporains d’un métissage forcé. La véritable nature des WASP révélée, Chris ne pourra lutter à armes égales qu’en opposant la sienne. Dans des séquences qui rappellent fortement le déchaînement de barbarie auquel se livre Jim à la fin de « 28 jours plus tard », le jeune homme se mue en bête (la métaphore filée, on vous dit…) pour éliminer un à un les membres du clan familial. Mais ce qui sauvera davantage encore Chris, c’est d’avoir conservé un lien mobile avec son meilleur ami, le douanier Rod Williams. Cette préservation d’un langage, de codes de reconnaissance, d’un héritage en somme, lui permet de résister aux désirs de zombification de la famille Armitage. N’oublions pas également que si le héros parvient à s’échapper de la cellule d’endoctrinement par la télévision, c’est grâce au coton arraché des accoudoirs d’un fauteuil et fiché dans ses oreilles pour ne pas entendre le chant des sirènes blanches. En un plan, Jordan Peele en remontre à plus de deux heures de larmiche sur l’esclavage dans « Amistad » !

    Le premier long-métrage de l’humoriste (distingué dans la série à sketchs « Key & Peele) s’affirme donc comme une réussite inattendue, pleine de qualités. Comme en témoigne le plan-séquence liminaire, la mise en scène est plutôt sérieuse et appliquée. Les différentes références aux thrillers et aux films d’horreur (« Shining », « Halloween », « La Nuit des morts-vivants », « Massacre à la tronçonneuse », …) sont incorporées à l’ensemble sans la lourdeur du cinéma autoréférentiel, le film s’inscrivant sans ambages dans une lignée tout en cherchant à y trouver une place singulière. La direction d’acteurs, de seconds rôles particulièrement, s’avère correcte : Caleb Landry Jones s’affirme comme une des étoiles montantes du cinéma américain intelligent après ses quelques apparitions dans la saison 03 de « Twin Peaks » et LilRel Howery insuffle par petites touches une veine comique appréciable, spoiler: notamment lors de la séquence où il contacte Rose au téléphone.


    Sans avoir la prétention cinématographique de réaliser autre chose qu’une honnête série B, Jordan Peele présente néanmoins une tragi-comédie cathartique qui laisse présager du meilleur pour la suite de sa carrière. Il ne reste plus à souhaiter qu’à l’instar de Chris, spoiler: plongé dans la « Sunken Place » de l’hypnose
    , il ne suive pas les sirènes commerciales jusqu’à contempler de loin, médusé, ses réalisations originales récupérées par une autre doxa "blanche" qui règne en maître sur Hollywood…
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top