Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
38 critiques presse
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
À travers un don d’organe et une transplantation cardiaque, c’est tout un questionnement métaphysique qui opère et qui, porté par des images justes, nous installe, ébranlés, à la frontière du trivial et du sacré.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
On est face à un mélodrame pudique, à l’émotion subtile, "Réparer les Vivants" bouleverse non pas par la tristesse des évènements mais la lumière qui les traversent.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Elle
par Françoise Delbecq
Un film qu'on prend en plein cœur.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Une oeuvre magistrale.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
La beauté du film tient pour beaucoup à cette tonalité continue, ouatée, mélancolique, sonnée ; à cette façon de se positionner juste à la lisière entre le désespoir et la joie, entre la nuit et le matin, entre la vie et la mort, entre le songe et l'éveil.
Libération
par Anne Diatkine
Virtuose, la cinéaste l’est comme son personnage de concertiste, notamment quand elle filme les deux opérations du cœur, l’extraction et la greffe, et ce, sans lasser ni horrifier les spectateurs que la vue des organes palpitants peut faire défaillir.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un film fort et sensible.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Paris Match
par Yannick Vely
Grand roman, magnifique film.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Sud Ouest
par Sophie Avon
Plus délicat qu'un film choral, plus subtil et en même temps plus volontaire, "Réparer les vivants" accomplit ce miracle d'aller de la naissance du jour à celle d'un battement de cœur, d'une mort cérébrale à un réveil physique, et d'un départ amoureux à des retrouvailles d'amantes.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
VSD
par La Rédaction
Supérieurement émouvant, miraculeusement digne, c'est l'un des plus beaux films de l'année.
20 Minutes
par Caroline Vié
On sort bouleversé de "Réparer les vivants", drame poignant de Katell Quillévéré. Ce film choral, adapté d'un best-seller couvert de prix, signé Maylis de Kerangal (Folio), est une réussite.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Alex Masson
La mort rôde mais le film est intensément vivant.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Femme Actuelle
par La rédaction
Servie par une très belle distribution, cette adaptation aborde un thème sensible et poignant, avec pudeur, sur un mode réaliste, quasi documentaire.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Avec son approche que ne renierait pas un David Cronenberg, cinéaste de la chair et du corps, "Réparer les vivants" fait du bien à l'âme.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
LCI
par Marilyne Letertre
Un modèle de finesse, de pudeur et d’émotion qui, s’il ne répare pas votre cœur, le fera invariablement vibrer.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Adapté du roman de Maylis de Kerangal, ce très beau film, émouvant, empli d’humanité, de Katell Quillévéré décrit les étapes morales et chirurgicales d’une greffe de cœur.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
L’adaptation, pas facile, et réussie, du roman bestseller de Maylis de Kerangal : outre la pudeur dans la façon de traiter le sujet sans tomber dans le piège du pathos, une justesse de réalisation et d’interprétation qui lui garde toute sa force.
Ouest France
par La Rédaction
Un grand film humaniste.
Positif
par Jean A. Gili
Katell Quillévéré réussit à diriger un casting composé de comédiens très divers avec sensibilité et justesse d’observation, qualités que l’on trouvait déjà dans les deux premiers films de la cinéaste, "Un poison violent" et "Suzanne".
Première
par Vanina Arrighi de Casanova
Une adaptation du best-seller de Maylis de Kerangal dont Katell Quillévéré tire un grand drame humaniste qui fait du bien.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
La réalisatrice évite surtout le mélodrame sirupeux grâce à une série de scènes très réussies centrées sur les parents de la jeune victime (Emmanuelle Seigner et Kool Shen).
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Transfuge
par Frédéric Mercier
Un film organique, vivace.
Télé 2 semaines
par La rédaction
Une adaptation poignante du roman de Maylis de Kerangal.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Le don d'organe n'est pas le sujet le plus aisé, mais Katell Quillévéré réussit un film sensible et, paradoxalement, solaire, jamais morbide.
Télérama
par Louis Guichard
La cinéaste a la bonne idée de mettre l'accent sur la différence d'âge entre celui (jeune) qui meurt et celle (mûre) qui pourra revivre : le don d'or-gane s'effectue à l'aveugle, indifférent à la raison, à la logique.
Voici
par La rédaction
L'adaptation par la réalisatrice de Suzanne du best-seller de Maylis de Kerangal, restitue bien ce que le don d'organe contient de clinique et d'onirique.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Sans les affects du pathos, ni la démagogie d’une leçon de vie lourdement dispensée, la réalisatrice de Suzanne et Un Poison violent, libre de ses choix, nous achemine vers la lumière, là où d’autres auraient lourdement insisté sur les noirceurs de la perte.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Louis Séguin
"Réparer les vivants" ne cesse de se régénérer pour le mieux, greffant aux bons sentiments la course contre la montre pour conserver l’organe. Et quand arrive l’opération proprement dite, c’est comme si l’on accédait, enfin, aux coulisses anatomiques de tout mélodrame.
L'Express
par Eric Libiot
Un jeune que la vie abandonne; une femme qui attend une greffe d'organe. Le film est précis, mais manque de souffle romanesque.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Emmanuelle Seigner (la mère de l’adolescent), Bouli Lanners et Anne Dorval se montrent à leur avantage. Pour le reste, ce que propose "Réparer les vivants" se distingue peu de ce qu’ont à offrir les séries télévisées, tant par la thématique héritée de la tradition du drame hospitalier que par une mécanique scénaristique trop exposée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par La Rédaction
Ce qui est proprement insaisissable, c’est la somme vertigineuse des affects mêlés. Tahar Rahim est presque empêché par la douleur des autres. Il lui manque la distance virtuose qui permettait au personnage romanesque de tenir bon dans ces échanges entre la mort et la vie. Mais c’était de la littérature.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Noémie Luciani
Katell Quillévéré adapte avec poésie, mais de manière trop dispersée, le roman de Kerangal.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Katell Quillévéré témoigne d'un redoutable talent pour la direction d'acteurs, ainsi que d'un sens au fond très sec de la mise en scène, qui lui permet de sauvegarder la dignité de ses personnages et de n'exprimer que ce que nous appelons de la bienveillance. C'est ce qui empêche à chaque seconde le film de devenir banal et larmoyant. C'était risqué, la chute n'est jamais loin, mais l'opération est réussie.
Chronic'art.com
par Jérôme Momcilovic
Il est pour le moins étonnant que le film, passé cette première partie abominable, finisse tout de même par produire une relative émotion. Il lui aura fallu pour ça faire le saut de l’ange au-dessus du pli qui le fait basculer, sans préavis, de l’histoire du donneur à celle de la receveuse.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
par Josué Morel
Là où le film aurait gagné à se resserrer autour d’un pur principe d’action (la circulation d’un cœur comme moteur de la fiction), Katell Quillévéré tricote son petit mélo choral, en revenant en arrière et en multipliant les digressions, plutôt que d’avancer en tressant les personnages les uns aux autres.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
le récit rebondit d’un personnage à l’autre de la manière la plus conventionnelle qui soit. L’on se prend alors à regretter le souffle romanesque, les folles embardées, la fièvre cinématographique, tout ce qui poussait "Suzanne", son film précédent, vers le haut. Déjà rentrée dans le rang, K. Quillévéré ?
La Septième Obsession
par Claire Micallef
Cette version appliquée et fidèle du roman, dans un bleu ouaté un brin téléfilmesque, traversée de quelques originalités formelles, reste néanmoins trop formatée et calibrée pour pleinement emporter.
Le Figaro
par La Rédaction
La greffe ne prend pas. Adapté du best-seller éponyme de Maylis de Kerangal, le film de Katell Quillévéré hésite sans cesse entre documentaire et mélo. Le film inondé de musique et de bons sentiments, gêne. Tristesse de voir une réalisatrice intéressante boire ainsi la tasse.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Bande à part
À travers un don d’organe et une transplantation cardiaque, c’est tout un questionnement métaphysique qui opère et qui, porté par des images justes, nous installe, ébranlés, à la frontière du trivial et du sacré.
Culturopoing.com
On est face à un mélodrame pudique, à l’émotion subtile, "Réparer les Vivants" bouleverse non pas par la tristesse des évènements mais la lumière qui les traversent.
Elle
Un film qu'on prend en plein cœur.
Le Parisien
Une oeuvre magistrale.
Les Fiches du Cinéma
La beauté du film tient pour beaucoup à cette tonalité continue, ouatée, mélancolique, sonnée ; à cette façon de se positionner juste à la lisière entre le désespoir et la joie, entre la nuit et le matin, entre la vie et la mort, entre le songe et l'éveil.
Libération
Virtuose, la cinéaste l’est comme son personnage de concertiste, notamment quand elle filme les deux opérations du cœur, l’extraction et la greffe, et ce, sans lasser ni horrifier les spectateurs que la vue des organes palpitants peut faire défaillir.
Ouest France
Un film fort et sensible.
Paris Match
Grand roman, magnifique film.
Sud Ouest
Plus délicat qu'un film choral, plus subtil et en même temps plus volontaire, "Réparer les vivants" accomplit ce miracle d'aller de la naissance du jour à celle d'un battement de cœur, d'une mort cérébrale à un réveil physique, et d'un départ amoureux à des retrouvailles d'amantes.
VSD
Supérieurement émouvant, miraculeusement digne, c'est l'un des plus beaux films de l'année.
20 Minutes
On sort bouleversé de "Réparer les vivants", drame poignant de Katell Quillévéré. Ce film choral, adapté d'un best-seller couvert de prix, signé Maylis de Kerangal (Folio), est une réussite.
CinemaTeaser
La mort rôde mais le film est intensément vivant.
Femme Actuelle
Servie par une très belle distribution, cette adaptation aborde un thème sensible et poignant, avec pudeur, sur un mode réaliste, quasi documentaire.
Franceinfo Culture
Avec son approche que ne renierait pas un David Cronenberg, cinéaste de la chair et du corps, "Réparer les vivants" fait du bien à l'âme.
LCI
Un modèle de finesse, de pudeur et d’émotion qui, s’il ne répare pas votre cœur, le fera invariablement vibrer.
La Croix
Adapté du roman de Maylis de Kerangal, ce très beau film, émouvant, empli d’humanité, de Katell Quillévéré décrit les étapes morales et chirurgicales d’une greffe de cœur.
Le Dauphiné Libéré
L’adaptation, pas facile, et réussie, du roman bestseller de Maylis de Kerangal : outre la pudeur dans la façon de traiter le sujet sans tomber dans le piège du pathos, une justesse de réalisation et d’interprétation qui lui garde toute sa force.
Ouest France
Un grand film humaniste.
Positif
Katell Quillévéré réussit à diriger un casting composé de comédiens très divers avec sensibilité et justesse d’observation, qualités que l’on trouvait déjà dans les deux premiers films de la cinéaste, "Un poison violent" et "Suzanne".
Première
Une adaptation du best-seller de Maylis de Kerangal dont Katell Quillévéré tire un grand drame humaniste qui fait du bien.
Studio Ciné Live
La réalisatrice évite surtout le mélodrame sirupeux grâce à une série de scènes très réussies centrées sur les parents de la jeune victime (Emmanuelle Seigner et Kool Shen).
Transfuge
Un film organique, vivace.
Télé 2 semaines
Une adaptation poignante du roman de Maylis de Kerangal.
Télé 7 Jours
Le don d'organe n'est pas le sujet le plus aisé, mais Katell Quillévéré réussit un film sensible et, paradoxalement, solaire, jamais morbide.
Télérama
La cinéaste a la bonne idée de mettre l'accent sur la différence d'âge entre celui (jeune) qui meurt et celle (mûre) qui pourra revivre : le don d'or-gane s'effectue à l'aveugle, indifférent à la raison, à la logique.
Voici
L'adaptation par la réalisatrice de Suzanne du best-seller de Maylis de Kerangal, restitue bien ce que le don d'organe contient de clinique et d'onirique.
aVoir-aLire.com
Sans les affects du pathos, ni la démagogie d’une leçon de vie lourdement dispensée, la réalisatrice de Suzanne et Un Poison violent, libre de ses choix, nous achemine vers la lumière, là où d’autres auraient lourdement insisté sur les noirceurs de la perte.
Cahiers du Cinéma
"Réparer les vivants" ne cesse de se régénérer pour le mieux, greffant aux bons sentiments la course contre la montre pour conserver l’organe. Et quand arrive l’opération proprement dite, c’est comme si l’on accédait, enfin, aux coulisses anatomiques de tout mélodrame.
L'Express
Un jeune que la vie abandonne; une femme qui attend une greffe d'organe. Le film est précis, mais manque de souffle romanesque.
L'Obs
Emmanuelle Seigner (la mère de l’adolescent), Bouli Lanners et Anne Dorval se montrent à leur avantage. Pour le reste, ce que propose "Réparer les vivants" se distingue peu de ce qu’ont à offrir les séries télévisées, tant par la thématique héritée de la tradition du drame hospitalier que par une mécanique scénaristique trop exposée.
Le Journal du Dimanche
Ce qui est proprement insaisissable, c’est la somme vertigineuse des affects mêlés. Tahar Rahim est presque empêché par la douleur des autres. Il lui manque la distance virtuose qui permettait au personnage romanesque de tenir bon dans ces échanges entre la mort et la vie. Mais c’était de la littérature.
Le Monde
Katell Quillévéré adapte avec poésie, mais de manière trop dispersée, le roman de Kerangal.
Les Inrockuptibles
Katell Quillévéré témoigne d'un redoutable talent pour la direction d'acteurs, ainsi que d'un sens au fond très sec de la mise en scène, qui lui permet de sauvegarder la dignité de ses personnages et de n'exprimer que ce que nous appelons de la bienveillance. C'est ce qui empêche à chaque seconde le film de devenir banal et larmoyant. C'était risqué, la chute n'est jamais loin, mais l'opération est réussie.
Chronic'art.com
Il est pour le moins étonnant que le film, passé cette première partie abominable, finisse tout de même par produire une relative émotion. Il lui aura fallu pour ça faire le saut de l’ange au-dessus du pli qui le fait basculer, sans préavis, de l’histoire du donneur à celle de la receveuse.
Critikat.com
Là où le film aurait gagné à se resserrer autour d’un pur principe d’action (la circulation d’un cœur comme moteur de la fiction), Katell Quillévéré tricote son petit mélo choral, en revenant en arrière et en multipliant les digressions, plutôt que d’avancer en tressant les personnages les uns aux autres.
La Voix du Nord
le récit rebondit d’un personnage à l’autre de la manière la plus conventionnelle qui soit. L’on se prend alors à regretter le souffle romanesque, les folles embardées, la fièvre cinématographique, tout ce qui poussait "Suzanne", son film précédent, vers le haut. Déjà rentrée dans le rang, K. Quillévéré ?
La Septième Obsession
Cette version appliquée et fidèle du roman, dans un bleu ouaté un brin téléfilmesque, traversée de quelques originalités formelles, reste néanmoins trop formatée et calibrée pour pleinement emporter.
Le Figaro
La greffe ne prend pas. Adapté du best-seller éponyme de Maylis de Kerangal, le film de Katell Quillévéré hésite sans cesse entre documentaire et mélo. Le film inondé de musique et de bons sentiments, gêne. Tristesse de voir une réalisatrice intéressante boire ainsi la tasse.