Avis : Avant d'aller dormir - Page 2

"Avant que j'aille dormir" (traduction littérale du titre original - plus précise que le "généraliste" "Avant d'aller dormir", retenu pour l'exploitation en France) : c'est la routine de Christine que l'on donne à voir. Ad nauseam, un bon moment (ça "tire", nettement, "à la ligne"). La jeune femme, victime d'une forme rarissime d'amnésie très incapacitante, doit essayer de se souvenir, le temps d'une journée complète - car, le sommeil venu, elle aura tout oublié de ces heures ! La BA semblait prometteuse. Las ! En fait de "thriller", il 'y a que peu de grain à moudre. Très peu : le nombre réduit de protagonistes laisse une seule fenêtre de "rebondissement", sur le papier. L'histoire, à l'écran, confirme ce ressort unique ! L'intrigue y conduisant étant répétitive et cousue à grosses coutures (en particulier sur l'intervention des deux personnages secondaires, le psy et l'amie, et l'évolution de leur rôle respectif). C'est finalement plutôt un mélo (languissant) - couronné par une scène finale bien sirupeuse. On retrouve Colin Firth et Nicole Kidman en couple (comme dans le récent - et, lui, intéressant, "Les Voies du destin"). Le premier est très mal à l'aise en "Ben", et la deuxième ne sait que pleurnicher (et prendre des coups..) - un "mariage" qui ne fonctionne pas du tout. Un médiocre produit (scénarisé et réalisé) du fils de, Rowan Joffé.

Bon film, très bon suspens jusqu'à la fin! Pourtant je n'aime pas cette actrice et bien là elle joue super bien!

les acteurs sont excellents mais on ne croit pas une minute à cette histoire. Et la fin est d'une mièvrerie totale. A éviter.

Ce n'est pas l'a peine d'aller le voir AVANT d'aller dormir puisqu'on peut -sans problême - dormir PENDANT. Comme l'ont déjà dit les avis précédents, c'est très mauvais et très ennuyeux. La minable fin mièvre ne rattrape même pas cette mauvais soupe.Je ne perdrais pas plus de temps que les 92 trop longues minutes de ce navet. A éviter d'urgence !!!

Affreusement mal filmé, bourré de lourdeurs et interprété sans la moindre subtilité, "Avant d'aller dormir" est le genre de métrage dont on se demande comment il a pu trouver son chemin dans les méandres de la distribution et se présenter devant nos yeux incrédules.

Notre seul espoir à la fin de la projection, que l'on ait tout oublié dés demain matin !

A fuir !

Le fait que l’auteur du roman dont est inspiré ce film se soit lui-même inspiré d’une histoire vraie brise le problème de l’invraisemblance que pose la situation de cette pauvre femme amnésique. Ses pertes de mémoires cycliques ne sont évidemment sans rappeler l’argument qui fit de Memento un petit chef d’œuvre, mais ne voulant pas reprendre l’idée de génie de Nolan pour nous faire partager la perte de repères de son héros, la mise en scène choisie par Rowan Joffe pour illustrer ces troubles ne s’appuie que sur une répétition de certaines des scènes les moins intéressantes du son quotidien. Le doute suscité par ce thriller quant à savoir si Christine se fait manipuler par son mari ou son neurochirurgien disparait bien rapidement, laissant la place à une intrigue sur le pouvoir de l’enfermement qui, dès l’apparition du quatrième personnage incarné par Anne-Marie Duff, va complètement s’égarer dans sa propre confusion. Du début à la fin, Avant d’aller coucher oscille donc entre un suspense avorté par la prévisibilité de son dénouement et, au contraire, dans un sentiment que l’écriture ne mène à rien de concret. Cette impression en demi-mesure de cohérence narrative aboutit à une conclusion qui se permet de, plutôt que de résoudre la moindre question précédemment posée, nous plonge dans la terrible frustration d’avoir perdu notre temps en accordant du temps à ce long-métrage brouillon et inachevé.

"Avant d’Aller Dormir" est l’adaptation du roman éponyme écrit par Steve Watson sorti en 2011. N’ayant pas lu ce roman, je ne pourrais juger la qualité de l’adaptation en elle-même, juste le film en tant que tel. Que raconte "Avant d’Aller Dormir" ? Simple : suite à une agression, une jeune femme souffre d’une forme d’amnésie particulièrement méchante puisqu’elle ne peut se souvenir des choses que pendant une journée, sa mémoire se rebootant automatiquement durant chaque nuit. Heureusement pour elle, son neuropsychiatre l’appelle tous les matins pour lui rappeler qu’elle possède un appareil numérique avec lequel elle se filme chaque fin de soirée pour le lendemain. Sympa non ? Pas si sûr vu qu’elle se voit elle-même se demander de se méfier de tout puisque tout ne tourne pas rond dans son univers…Et oui, quand on lit ça, on pourrait presque croire qu’on va assister à une version Hitchcokienne de "Un jour Sans Fin" : c’est très tentant et on salive déjà d’avance avant le début du générique. Malheureusement, n’est pas Hitchcok qui veut : même si "Avant d’Aller Dormir" est assez bien réalisé et possède un récit un peu anxiogène qui réserve son lot de surprises, on est tout de même loin de la mise en scène et de l’atmosphère extrêmement flippante des films du grand maître du suspense. Non, le vrai souci du film, c’est son rythme : je ne sais pas si c’est pareil dans le bouquin, mais le métrage est assez lent. Le fait de devoir se retaper à chaque matin sur l’écran de l’appareil la même scène que l’on vient de se taper, ça devient rapidement lassant et nous pousse à croire qu’il ne s’agit là que de remplissage pour combler les lacunes du scénario. On a vite l’impression qu’il ne se passe pas grand-chose et que tout arrive vite au niveau de la temporalité (alors qu’il doit bien se passer une bonne quinzaine de jours en définitif !). On pourra aussi regretter que la révélation finale ne vous soit pas surprenante pour le peu que vous avez l’habitude de films dont le concept repose sur « kikafaitkoi » ; ainsi qu’un épilogue ultra larmoyant qui fait un peu trop happy end à mon goût. Par contre, on ne peut rien dire sur l’excellent trio d’acteur qui a été retenu : Kidman, Firth et Strong (même si ce dernier n’apparaît finalement pas beaucoup à l’écran) parviennent à eux trois à soutenir le récit avec brio. Sans être une révolution du genre, "Avant d’Aller Dormir" est un bon petit thriller honnête possédant une idée de base sympathique et peu commune. Quand à Christopher Nolan et son "Memento", ils ne craignent rien et demeurent toujours la référence ultime du genre.

J'ai lu le livre et je l'ai trouvé absolument prenant. J'attendais donc avec impatience l'adaptation au cinéma ! Et j'ai passé un bon moment, mais je suis tout de même un petit peu déçue. Un livre est tellement rempli de détails qu'il est assez difficile de tout retranscrire dans un film. Et connaissant l'intrigue, on savoure un peu moins, ce qui est logique.
Avant d'aller dormir est tout de même un film réussi. Déja, par la prestation du trio Colin Firth/Nicole Kidman/Mark Strong, de très bons acteurs. Ensuite par le scénario, une histoire bien ficelée avec une intrigue prenante. Puis un dénouement comme on ne s'y attend pas. Le réalisateur arrive à piéger les spectateurs et les tenir en haleine. Il y a tout de même de petites incohérences par ci, par là, mais cela reste un très bon thriller. Pour les amateurs de thrillers comme moi, foncez !

Un thriller alletant. Un scénario unique. Un jeu d'acteur performant. Seuls deux suspects, mais la confusion est permanente jusqu'à la fin du film. très efficace.

Déprimant ! Encore l'histoire d'une femme battue .....Sniff !

bon film avec un suspens qui nous envahi tout au long de la recherche de notre héroïne, Nicole kidman toujours aussi convaincante entouré de très bon acteurs.Bonne idée de scénario

Franchement ennuyeux.. On aimerait avoir la touche avance rapide.
Le fond de l'histoire est pas mal neanmoins.

Très bon film! Un thriller qui ne vous quitte pas! Je vous le recommande... De plus, on peut en tirer une très bonne morale... Bonne séance!

Quelques années après le livre, on découvre un film réussi et encore plus prenant que le livre lui-même. Colin Firth et Nicole Kidman signent un thriller mélangeant suspens et angoisse.

Thriller très réussi. Un bon suspense assuré par un trio d’acteurs talentueux.