Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Florent Guézengar
Le film de Mika Kaurismäki reste honnête et appliqué, se frayant un chemin prudent entre un académisme timide et quelques audaces ratées.
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Ce portrait de la reine Christine de Suède fait la part belle à son anticonformisme et aux intrigues de pouvoir, mais perd de son intérêt quand il se focalise sur ses seules amours lesbiennes.
Télérama
par Frédéric Strauss
Mika Kaurismäki, qui porte à l'écran une pièce du Canadien Michel Marc Bouchard, défend la précision historique de cette reconstitution. Le charme y opère grâce à la Suédoise Malin Buska, qui interprète sans complexe le rôle de Christine, plus de quatre-vingts ans après sa compatriote, Greta Garbo.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Clément Graminiès
Il est à parier que le réalisateur misait sur la force de son sujet pour convaincre. Le résultat prouve malheureusement tout le contraire
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par Corentin Lê
Comme un manuel d’histoire lu en diagonale, le film s’attarde sur la vie de Christine de Suède de manière très partielle : en plus de faire frémir les historiens, “La Reine-garçon” enchaîne les maladresses et égarements narratifs dispensables.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le résultat est décevant, l’accent lourdement mis sur la liaison saphique de la reine avec sa dame d’honneur ne parvenant pas à gommer l’académisme de la mise en scène.
Cahiers du Cinéma
Le film de Mika Kaurismäki reste honnête et appliqué, se frayant un chemin prudent entre un académisme timide et quelques audaces ratées.
Studio Ciné Live
Ce portrait de la reine Christine de Suède fait la part belle à son anticonformisme et aux intrigues de pouvoir, mais perd de son intérêt quand il se focalise sur ses seules amours lesbiennes.
Télérama
Mika Kaurismäki, qui porte à l'écran une pièce du Canadien Michel Marc Bouchard, défend la précision historique de cette reconstitution. Le charme y opère grâce à la Suédoise Malin Buska, qui interprète sans complexe le rôle de Christine, plus de quatre-vingts ans après sa compatriote, Greta Garbo.
Critikat.com
Il est à parier que le réalisateur misait sur la force de son sujet pour convaincre. Le résultat prouve malheureusement tout le contraire
Les Fiches du Cinéma
Comme un manuel d’histoire lu en diagonale, le film s’attarde sur la vie de Christine de Suède de manière très partielle : en plus de faire frémir les historiens, “La Reine-garçon” enchaîne les maladresses et égarements narratifs dispensables.
Le Monde
Le résultat est décevant, l’accent lourdement mis sur la liaison saphique de la reine avec sa dame d’honneur ne parvenant pas à gommer l’académisme de la mise en scène.