Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Le film oscille entre un pragmatisme hyperréaliste et une poésie quasi fantastique, toujours dans un déchaînement de violence sonore et visuel.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site de L'Express
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) La bonne surprise vient d'Islande. "Survivre" est inspiré de faits authentiques (...) que le film enregistre sans effets de manche ni trémolos, tendu et modeste comme l'est son personnage principal (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Isabelle Regnier
Autant dire que "Survivre" est un film qui donne froid dans le dos, et ce d'autant plus qu'il joue à plein la carte du naturalisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Paris Match
par Alain Spira
Particulièrement bien filmée, cette tragédie se déroule autant dans les flots que dans la tête du naufragé.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Hubert Niogret
Émotion et étonnement surgissent de cette narration qui se veut à la hauteur de son objet, sans manipulation ni complaisance.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Jérémie Couston
A l'opposé de l'héroïsme hollywoodien, le cinéaste islandais Baltasar Kormákur ("Jar City") reconstitue la performance sans effets spéciaux.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Le film ne fait pas grand-chose de ce mystère, c'est dommage, mais il vaut quand même le détour, au moins pour un plan.
Critikat.com
par Estelle Bayon
Survivre, voilà tout l’enjeu de ce film [...] qui est à son meilleur lorsqu’il reste au plus près de ce corps empâté bravant la nature hostile pour subsister par-delà la mort de ses camarades.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Arnaud Schwartz
La mise en scène assez plate, le récit linéaire du naufrage ne flattent pas le sens esthétique du spectateur, mais "Survivre" est aussi un hommage aux habitants de ces îles volcaniques (...).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Romain Tourbillon
Tiré d'une histoire vraie, “Survivre” se construit en trois parties, passant de la chronique au film de survie, puis au documentaire. Étrange...
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La rédaction
Quand le miraculé devient la proie des scientifiques, le film se banalise et bégaie. Le scénario reprend les multiples examens dont il a été l'objet. Et les images d'archives se font plus plus instructives que celles que fabrique le cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Première
par Gérard Delorme
De loin la plus intéressante, la première partie reconstitue fidèlement les conditions de vie des pêcheurs islandais (...) jusqu'au naufrage de leur chalutier. (...) La suite (...) se perd en explications.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Marie-Elisabeth Rouchy
La démarche, passionnante lorsqu’elle s’attache au seul personnage de Gulli, s’enlise un peu dès lors que [Baltasar Kormákur] souhaite élargir son propos à tous les pêcheurs islandais.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Si le précédent film de Kormákur, "Contrebande", frisait l’overdose de rebondissements, celui-ci est presque trop simple. (...) Ça se laisse regarder, c’est sûr ; le héros, grand benêt, est attachant, mais c’est tout.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
CinemaTeaser
Le film oscille entre un pragmatisme hyperréaliste et une poésie quasi fantastique, toujours dans un déchaînement de violence sonore et visuel.
L'Express
Voir le site de L'Express
L'Obs
(...) La bonne surprise vient d'Islande. "Survivre" est inspiré de faits authentiques (...) que le film enregistre sans effets de manche ni trémolos, tendu et modeste comme l'est son personnage principal (...).
Le Monde
Autant dire que "Survivre" est un film qui donne froid dans le dos, et ce d'autant plus qu'il joue à plein la carte du naturalisme.
Paris Match
Particulièrement bien filmée, cette tragédie se déroule autant dans les flots que dans la tête du naufragé.
Positif
Émotion et étonnement surgissent de cette narration qui se veut à la hauteur de son objet, sans manipulation ni complaisance.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
A l'opposé de l'héroïsme hollywoodien, le cinéaste islandais Baltasar Kormákur ("Jar City") reconstitue la performance sans effets spéciaux.
Cahiers du Cinéma
Le film ne fait pas grand-chose de ce mystère, c'est dommage, mais il vaut quand même le détour, au moins pour un plan.
Critikat.com
Survivre, voilà tout l’enjeu de ce film [...] qui est à son meilleur lorsqu’il reste au plus près de ce corps empâté bravant la nature hostile pour subsister par-delà la mort de ses camarades.
La Croix
La mise en scène assez plate, le récit linéaire du naufrage ne flattent pas le sens esthétique du spectateur, mais "Survivre" est aussi un hommage aux habitants de ces îles volcaniques (...).
Les Fiches du Cinéma
Tiré d'une histoire vraie, “Survivre” se construit en trois parties, passant de la chronique au film de survie, puis au documentaire. Étrange...
Ouest France
Quand le miraculé devient la proie des scientifiques, le film se banalise et bégaie. Le scénario reprend les multiples examens dont il a été l'objet. Et les images d'archives se font plus plus instructives que celles que fabrique le cinéma.
Première
De loin la plus intéressante, la première partie reconstitue fidèlement les conditions de vie des pêcheurs islandais (...) jusqu'au naufrage de leur chalutier. (...) La suite (...) se perd en explications.
TéléCinéObs
La démarche, passionnante lorsqu’elle s’attache au seul personnage de Gulli, s’enlise un peu dès lors que [Baltasar Kormákur] souhaite élargir son propos à tous les pêcheurs islandais.
Les Inrockuptibles
Si le précédent film de Kormákur, "Contrebande", frisait l’overdose de rebondissements, celui-ci est presque trop simple. (...) Ça se laisse regarder, c’est sûr ; le héros, grand benêt, est attachant, mais c’est tout.