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    Survivre
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    89 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 28 avril 2013
    Alerte générale ! Ce film est sous-estimé, trop, victime d'un consensus critique en sa défaveur. Ce n'est pas "seulement" une histoire catastrophe, le bateau du gars qui coule, comment il survit, comment il va s'en sortir, tout ça tout ça. Niet. Oui, on s'emballera devant l'incroyable reconstitution d'époque, l'ambiance parfaite des 80's, et des souvenirs d'enfance du héros, et surtout devant la reconstitution du naufrage et des conditions climatiques islandaises du passage survivaliste ; pas de fonds verts numériques 3D, du brut, de l’artisanat, de l'art, de l'effet rudement efficace, moderne car supérieur à ce qui se faisait avant le tout numérique, et supérieur au tout ordinateur. On s'emballera sur l'immersion du spectateur dans celle du héros, notamment grâce à un travail sonore incroyable de présence. Non, ce n'est pas tout. Le scénario, hormis cette situation mouillée glaciale, a un début, un milieu, une fin, avec des lignes directrices liées à ses coéquipiers, et ce qu'il estime être son devoir moral, et liées à la recherche explicative de ce miracle, pourquoi lui? Il y a un pourquoi, extraordinaire. Les extraits vidéos du véritable Gulli pendant le générique final mettent en perspective le travail pur d'honnêteté de l'équipe du film, et nous plante son souvenir dans notre petit panthéon personnel des pellicules de l'année, en ce mois de mai. C'est un hommage, à travers celui rendu à ceux qui apportent le poisson dans nos assiettes, à toutes les mains qui font tourner le système, sans qui il n'y aurait rien, et qui éteignent tout le bling-bling spectaculaire hollywoodien ou idéologique du petit journal de canal+ et des merdias de masse. Voilà pourquoi malgré ses évidentes qualités, il ne fait pas de mal, ne sera pas récupéré, n'est pas considéré comme faisant du bien, juste mis sur le côté, en attendant que passe la condescendance qu'on lui porte, alors qu'il mérite infiniment plus de ère ! Allez vous vautrer dans l'obscurité marine de ces beautés islandaises, ça éclaire la droiture, comme un roi adoubant son chevalier.
    septembergirl
    septembergirl

    571 abonnés 1 069 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 octobre 2013
    Un drame islandais, s'inspirant d'une histoire vraie, qui s'avère rapidement fade, gris, terne, et peu prenant. En dépit de son caractère authentique, la réalisation est décousue et peine à dégager une analyse, une réflexion, une émotion, s'attachant seulement à proposer une stricte description de ce fait divers. Un film, au scénario faiblard, qui n'offre que peu d'intérêt !
    chrischambers86
    chrischambers86

    12 315 abonnés 12 191 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 juin 2016
    "The Deep" (survivre) où l'histoire vraie du marin qui a survècu au pire! Un petit point dans l'Ocèan Atlantique-Nord où personne ne pouvait vraiment savoir ce qui se passait la nuit de ce 11 mars 1984! D'après les tests, un homme nu de poids moyen, du fait de la baisse de sa tempèrature, ne peut pas survivre en mer ou en eaux froides plus de 20 à 30 minutes! Comme on s'en doute les hommes en surpoids se refroidissent moins vite que les hommes minces! Survivre aussi longtemps comme l'a fait Guðlaugur Friðþórsson dans l'eau froide est très rare! Certains parlent d'un miracle et d'autres parlent d'une explication scientifique : spoiler: la graisse de phoque!
    Dèdiè aux pêcheurs islandais, ce film doit beaucoup à sa mise en scène à son interprète principal, l'excellent Ólafur Darri Ólafsson! Les Cahiers du Cinèma trouve que Baltasar Kormákur ne fait pas grand-chose de ce mystère mais dans "Survivre", son attention qui parvient à nous happer pour chaque geste de Gulli, dans sa lutte pour la vie, comme dans ses souvenirs, donne à l'oeuvre une belle prèsence humaine! Et tout ça sans effets spèciaux à gogo...
    Benjub
    Benjub

    40 abonnés 597 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 novembre 2013
    Une histoire de base intéressante mais qui aurait pu être mieux traitée et de façon différente. Dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 avril 2013
    "Survivre" est un film désarçonnant qui cache bien son jeu sous les oripeaux d'une mise en scène simple et d'une narration ultra-classique.
    Seulement voilà, le film est une bombe à retardement. Il faut en attendre la finalité pour capter toute l'émotion qui se cache sous le personnage un peu benêt de Gulli, et la puissance qui se trouve dans ce qu'il lui arrive. "Survivre" ne fait pas que dépeindre l'exploit d'un spoiler: suite sur Plog Magazine, les Critiques des Ours (lien ci dessous)
    dai72
    dai72

    127 abonnés 2 131 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 octobre 2014
    Un drame islandais tiré de faits réels qui s'avère peu passionnant à regarder au final. J'avais lu de bonnes choses sur ce film et je me suis laissé tenter, espérant quelque chose d'original. Il y a des moments inédits mais ça manque de vie, de dynamisme dans l'ensemble. Souvent en manque de lumière, ce film ne captive pas vraiment et oublie les émotions des familles, des proches !!
    Thierry M
    Thierry M

    137 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 avril 2013
    Belle performance, mais on reste un peu sur sa fain.
    iceman7582
    iceman7582

    41 abonnés 1 157 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 novembre 2014
    Un film tiré d'une histoire vrai, donc qui donne forcement a réfléchir... Le scénario est pas mal du tout mais comme c'est lent! C'est bien dommage car cela gâche complètement le film. De même le jeu des acteurs est mou et va de paire avec une mise en scène mollassonne. Bref, malgré une bonne idée de départ, on s'ennui fermement devant ce film...
    defleppard
    defleppard

    324 abonnés 3 265 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 octobre 2013
    Histoire vraie d'un naufrage. Réalisation fade comme l'est, lîle du départ du bateau. 2 étoiles.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 mai 2013
    Formidable conte bicéphale, vertigineux et pertinent sur la survie, le courage et la mort, Survivre est un film islandais coup de poing qui vaut vraiment le coup d'oeil.
    La première partie, dominée par la nuit, est tantôt d'un réalisme narratif très efficace et tantôt d'une poésie mystérieuse... Sans tenter d'expliquer quoi que ce soit, cette première partie nous fait vivre sensuellement, sensistivement et "cruellement" le combat pour la vie que mène notre protagoniste islandais, Gulli, dans les eaux glacées au large des côtes islandaises.
    La deuxième partie, dominée par le jour, révèle l'autre dimension de l'histoire vraie et sensationnelle de Survivre, du côté du "sensationnel" justement : les scientifiques tentent de ... La suite sur Plog Magazine, les critiques des ours : lien ci-dessous.
    Christoblog
    Christoblog

    756 abonnés 1 623 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 mai 2013
    Drôle de projet que de porter à l'écran l'aventure de ce marin islandais, seul rescapé d'un naufrage, qui parvint en 1984 à survivre dans l'eau glacée pendant 6 heures, en contradiction totale avec toutes les constatations scientifiques.

    Un peu dubitatif avant le début du film, j'ai été complètement happé par sa justesse de ton. La première partie montre les difficiles... la suite ici :
    apotheme
    apotheme

    106 abonnés 2 023 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 février 2014
    Film tiré d'une histoire vrai pas mal qui nous démontre l'incroyable destiné d'un homme voué à mourir dans une eau à 5 degré.
    wesleybodin
    wesleybodin

    1 034 abonnés 3 864 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 avril 2013
    (...) Film à deux vitesses, Survivre passe d’une œuvre intensément riche et poétique à une banalité déconcertante. Le plaisir initial en prend un sacré coup. L’inverse eut été plus appréciable.
    Jorik V
    Jorik V

    1 215 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 août 2022
    A l’instar, par exemple, des films catastrophes et spécialement avec catastrophes naturelles (« San Andreas », Volcano », ...) ou des thrillers en huis-clos (« Cube », « Phone Game »), le genre du survival s’est vu adjoindre un sous-genre rare mais précieux, en l’occurrence le survival animalier. Ce type de films égrène ses avatars deux ou trois fois dans l’année sur le grand écran (et bien plus si l’on tient compte des direct to video et des plateformes de streaming). On doit avouer que la plupart du temps ce sont des bestioles aquatiques qui tiennent la dragée haute et malmènent les humains. On pense notamment aux crocodiles ou alligators (du marrant « Lake Placid » en passant par les excellents « Solitaire » et « Crawl »), des piranhas comme dans le film éponyme ou encore et surtout le requin avec un nombre assez important de films dont les dernières personnifications furent « En eaux troubles » et « Instant de survie ». Ici, une fois n’est pas coutume, c’est le seigneur des animaux qui tient la vedette et va faire vivre un enfer aux protagonistes. Un lion sanguinaire et très énervé par les braconniers qui ont tué sa famille, parce que oui, c’est toujours mieux d’ajouter un sous-texte écolo et pro-nature. Surtout en ce moment.

    De voir Baltazar Kormakur à la mise en scène est une excellente nouvelle car le cinéaste d’origine islandaise s’est fait une spécialité des films de survie en milieu hostile, de son moyen « Everest » pour les hautes altitudes à « A la dérive » pour les interminables étendues marines, l’homme s’y connaît et la savane, il n’en fait qu’une bouchée de sa caméra. D’ailleurs, immersive et mobile au possible, ses images nous plongent parfaitement dans l’action et sur le terrain. Il enchaine bon nombre de plans-séquence bien troussés et loin d’être accessoires permettant une totale immersion dans le drame et dans l’action. « Beast » est qui plus est très rythmé tandis que l’introduction du trauma (plutôt classique) et des personnages (plutôt originaux) est bien amenée, directe et factuelle. Alors d’où vient le problème majeur de cette série B de luxe portée par un Idris Elba investi et convaincu? D’abord et surtout dans un trop-plein d’invraisemblances qui va aller grandissant durant la projection jusqu’à un final certes impressionnant et beau, presque poétique, mais complètement improbable qui tutoierai le ridicule s’il n’était pas si visuellement éclatant. Et lorsque trop de comportements qui ferait hurler n’importe quel spectateur même le plus tolérant s’empile, ça devient gênant pour la crédibilité du long-métrage. D’autant plus que le lion en question, tout en effets visuels n’est pas toujours réussi non plus. Ce qui fait que notre attention tout comme la tension sont à ça de décrocher. En somme, une série B sympathique et alimentaire que le manque de réalisme tire vers le bas.

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    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 039 abonnés 4 100 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 décembre 2021
    Réalisateur depuis 21 ans quand il proposa en 2001 avec « 101, Reykjavik », un drame existentiel sur le désœuvrement et l’amour impossible avec Victoria Abril, Baltasar Kormakur marie avec bonheur films de divertissement (il travaille alternativement à Hollywood et en Islande) et films plus personnels. Avec « Survivre » en 2012, il s’intéresse à l’histoire insolite de Guolaugur Frioborsson, marin islandais qui suite au naufrage de son bateau de pêche, le 11 mai 1984 , réussit à rejoindre le port de Heimaey d’où il était parti après être resté six heures dans une eau à 5°C puis avoir parcouru 6 kilomètres pour finir en marchant 2 kilomètres sur de la lave séchée. Utilisant un style quasi documentaire, Baltasar Kormakur comme Pierre Loti plus de cent ans avant lui, rend parfaitement compte des conditions extrêmes de la pêche dans cette contrée hostile où l’homme restera toujours à sa véritable dimension face à la nature. Les moyens techniques ont certes évolué mais les conditions de vie sur terre comme sur mer paraissent marquer les hommes toujours aussi durement, l’alcool tenant le plus souvent lieu de réconfort illusoire. Quand son bateau coule brutalement, Gulli (Olafur Darri Olfasson) est le seul à pouvoir rester plus de vingt minutes dans une eau glacée. Sa corpulence et la couche graisseuse qui entoure son corps constituant une grande part de l’explication de ce qui sera considéré comme un exploit une fois le drame passé. Kormakur et son formidable acteur que sa caméra ne quitte pratiquement jamais sont en parfaite osmose pour rendre compte de cette aventure dramatique examinée sous tous ces aspects. Notamment celui plus difficile qu’attendu du retour dans le petit port qui verra Gulli après être passé par la phase « rat de laboratoire » s’évertuer à mener la nouvelle vie qu’il s’était rêvée quand seul au milieu de l’océan avec les seules mouettes pour compagnes, il priait que Dieu lui accorde encore un jour de vie supplémentaire . Un film que le réalisateur filme avec la tonalité adaptée à chacune des étapes de ce drame poignant.
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