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elriad
432 abonnés
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4,0
Publiée le 26 juin 2017
Voici un pays doublement touché, d'abord par le nazisme puis par le communisme. Varsovie, une ville qui a vu l'un des plus funestes ghettos juifs. C'est la chute de ce zoo qui a permis de révéler le destin de ce couple, de formidables héros ordinaires. Et c'est à cet épisode que le film rend hommage. Il existe nombre de films sur le sujet. "La bataille de Varsovie" couvre amplement l’extraordinaire héroïsme des résistants du ghetto, comme l'on retrouve ce merveilleux docteur Korczak, qui s'est sacrifié pour s'occuper d'un orphelinat dans le très émouvant film en noir et blanc de Andrzej Wajda. Quand aux films sur la résistance, ils sont suffisamment nombreux.Un film réussi, émouvant, où la tension bien présente ne cède en rien à la facilité du pathos.
J'ai vu un film... qui m'a bouleversé par la teneur de cette histoire des hommes qui s'imbrique dans l'Histoire des Hommes. On découvre un épisode de cette période tragique de la seconde guerre mondiale, dans le zoo de Varsovie, où un homme et sa femme endossent le rôle de "juste des Nations" pour sauver des juifs enfermés dans le ghetto de Varsovie, avant qu'ils soient envoyer dans le camps de la mort. On y croise le Dr Korczak et ses orphelins. La reconstitution est minutieuse, et les détails fins... Il s'agit d'une histoire basée sur des faits réels, Le casting est vraiment bien. Jessica Chastain est à la fois fragile et volontaire, Johan Heldenbergh que je découvrais et Daniel Brühl vraiment ambivalent. Au final, c'est un excellent film sur un thème abordé, au moins dans un premier temps, au travers du regard des animaux et de la barbarie des Hommes.
Magnifique film, beau, touchant, fort. À voir sans hésitation. Il raconte d'une belle façon l'engagement d'une famille pour sauver des personnes juives du ghetto de Varsovie. Et comment leur amour des animaux va permettre de sauver de nombreux Gilles et femmes, et enfants.
La Femme Du Gardien De Zoo raconte l'histoire vraie d'un couple qui gère un zoo jusqu'à ce que les nazis arrivent à Varsovie et qui font des ses personnes ordinaires des héros puisqu'ils ont sauvé environ 300 juifs du ghetto de Varsovie. Quelques scènes présentes dans ce film montre l'inhumanité des Nazis par le biais des animaux mais aussi des Hommes . Le sujet a été plusieurs fois utilisé mais sur ces personnages je ne pense pas . Si on ne connait pas l'histoire de ce couple ,on attend la fin avec impatience qui d'ailleurs arrive très vite malgré la durée du film . Le scénario est très bons mais comporte un peu de faciliter (c'est une histoire vraie donc ça pardonne presque entièrement) ,15 - 30 minutes de plus aurait sûrement permis de s'étendre sur quelques points et d'éviter ses petites faiblesse scénaristique. Chastain ,Brulh ,Heldenberg ,... sont très explicites donc convaincants. Un drame autant de la deuxième guerre mondiale relatant une histoire vraie !
J'avais déjà trouvé Jessica Chastain touchante dans la couleur des sentiments essayant de s'insérer en vain dans un cercle de pestes haïssables se prenant d'amitié pour millie et sa fameuse tarte et là je la découvre avec un accent polonais dans sa rôle ) sa mesure. Âme sensible s’abstenir quand les animaux se font abattre. terrible de voir un aigle succomber au tir du nazi et lorsque ma sensiblerie me pousse à fermer les yeux , je me dis qu'il s'agit d'une fiction.
Réalisation bâclée, voire très bâclée, La Femme du Gardien de zoo se fait piéger par le trop plein d'émotion que le film a voulu transmettre en oubliant les fondamentaux : une bande originale forte et puissante, des acteurs investis ce qui n'est pas le cas ni de Jessica Chastain ni de Daniel Brühl, dont on se demande encore quand est-ce qu'il va quitter ces rôles sous côtés de représentants du 3ème Reich. C'est bien dommage car l'histoire réelle aurait pu offrir une vraie émotion, avec un vraie réalisation mais ce n'est pas du tout le cas.
La Femme Du Gardien De Zoo aurait mérité bien mieux qu’une sortie directe en vidéo tant il est réussi. Le film de Niki Caro n’a pas à rougir face aux autres films sur l’Holocauste auquel il apporte une touche féminine plutôt rare avec cette héroïne courageuse que l’on croit sorti d’une fiction mais qui a pourtant véritablement existé. Très souvent émouvant par son sujet mais aussi souvent tendu, on ne verra pas le temps passer devant ce récit tragique magnifiquement interprété qui devrait en plus séduire les amoureux des animaux grâce à son bestiaire craquant. [lire la critique complète sur FreakinGeek.com]
une reconstitution d'un drame historique terrible sur un épisode de la Pologne, pas si souvent évoquée au cinéma. même s'il manque un côté palpitant, dans sa seconde partie, le récit s'accélère et s'intensifie. un témoignage forcément important, qui rend hommage à des anonymes solidaires, courageux résistants, sur un ton juste et illuminé par J. Chastain.
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0,5
Publiée le 4 août 2021
J'y suis allé dans ce film sans trop m'attendre a quelque chose et j'ai eu exactement ce que j'attendais c'est a dire rien. J'aurais probablement même eu une meilleure expérience en regardant un écran noir pendant deux heures en mangeant mon popcorn. Ce film manque de presque tout ce dont un film a besoin. Dire qu'il avait un rythme lent serait un peu exagéré car il n'y avait pas de rythme du tout il s'est traîné en longueur sans direction et rien ne se passe dans cette histoire en plus c'est plus qu'ennuyeux. Il y a tellement de choses stupides comme nourrir les cochons avec les ordures du ghetto. Ou une autre scène idiote vers la fin du film où Lutz oblige Rys à enfermer sa mère après qu'ils aient traversé le tunnel cela vous ramènerait à la porte défoncée en une minute. Pourquoi Lutz se donnerait-il la peine de découvrir combien de Juifs se sont échappés par le zoo quelle importance à ce moment-là. La guerre était terminée tout ce qui intéressait un Nazi à ce stade était de partir. Pour moi regarder ce film a certainement été ma plus grande perte de temps depuis plusieurs années...
«The Zookeeper’s Wife» est inspiré par la grande guerre, mais pas la première, la seconde, celle qui a pour toile de fond l’Holocauste. Le film se situe dans la lignée de «La liste de Schindler». Il ne s’agit pas, bien sûr, d’une œuvre aussi réussie. Mais ce film de Nick Caro n’en est pas moins intense et poignant. Il s’inspire de faits véridiques. C’est le ventre noué et la larme à l’œil qu’on suit pendant deux heures l’histoire héroïque de Jan Zabinski, gardien d'un zoo de Varsovie, et de sa femme Antonina, à qui quelques centaines de juifs emprisonnés dans le ghetto de Varsovie doivent la vie.
Avec ce contexte et le lieu où se déroule l'histoire, je pensais peut-être naïvement que Niki Caro s'intéresserait au sort des animaux trop souvent oubliés lors des guerres et des grandes tragédies humaines. Ce n'est finalement pas le cas et le sort de ces derniers est rapidement réglé pour ne pas dire expédié alors que les premières minutes offrent quelques jolies scènes. La réalisatrice s'intéresse en fait à une histoire vraie celle d'un couple qui a aidé de très nombreux juifs en les cachant puis en les faisant quitter la ville de Varsovie occupée par les nazis. L'intrigue est centrée sur la vie au zoo qui sert de cache et sur les nombreux va-et-vient de Jan qui prend beaucoup de risques, mais sans que cela se ressente à l'écran. C'est un peu ce qui est dommage avec ce film qui ne rentre jamais dans les détails avec la réalisatrice qui se contente du minimum et se limite à faire un drame et non pas par exemple une sorte de thriller avec du suspens et de la tension alors qu'il y avait tout pour vu la situation et les actes du couple. On ne connaît pas les ficelles de l'organisation ni l'avancée du conflit malgré que Jan soit parmi les "résistants" tandis que l'envie de Lutz Heck de faire revivre une espèce disparue est à peine effleurée. Beaucoup d'éléments sous-développés seulement, il faut prendre le film tel qu'il est, c'est-à-dire un mélodrame qui rend hommage à des personnes héroïques et non pas un énième film de guerre qui met en avant des atrocités. En gros, cela aurait pu être bien mieux, mais c'est quand même un bon film.
LA LECON DE PIANO. Le jour de la bête ou comment Hitler pour sa pureté germanique a permis de sauver des humains. Eteindre une espèce pour en créer une plus noble. La liste de Zabinski, entre agir et cas de conscience. Un devoir pour une leçon un peu trop romancé.
Une belle histoire sur le sauvetage de plusieurs centaines de juifs, tirés du ghetto de Varsovie, cachés puis sauvés par une famille s'occupant d'un zoo. Ce zoo va d'ailleurs servir de couverture et de cachette pour les juifs. Porté par la délicieuse Jessica Chastain, ce film tient bien le spectateur en haleine et on ne peut que respecter cette famille qui a pris de gros risques pour sauver d'autres être humains. Dommage que la fin tombe un peu trop dans le « mielleux » à mon goût et qu'il y ait quelques petites choses qui me paraissent un peu illogiques, mais bon, passons. Dans l'ensemble, c'est un bel hommage à ces personnes, touchant.
Oeuvre émouvante et bien interprétée, avec la belle Jessica Chastain en tête et les excellents Johan Heldenbergh et Daniel Brühl. L'histoire touchante et véridique de ce film se déroule lors de la Seconde Guerre Mondiale et relate le sort de milliers de Juifs dans le ghetto de Varsovie. Film un peu trop mélo à mon goût mais qui vaut le coup d'oeil.