Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Deepwater est un divertissement haletant tout autant qu’un avertissement.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
"Deepwater" n'a pas les thématiques finaudes mais il est ce que le cinéma hollywoodien a livré de plus spectaculaire et d'étrangement plastique cette année.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Obs
par Nicolas Schaller
Mark Wahlberg joue le chef électricien et bon père de famille, Kurt Russell porte une grosse moustache. Ils sont les héros ordinaires de ce drame d'action, efficacement mené, à la gloire des prolos qui bossent et se tuent littéralement à la tâche à cause de l'incompétence des patrons et du cynisme de leurs actionnaires.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film catastrophe qui, tout en remplissant de façon spectaculaire, mais sans céder à la surenchère, le cahier des charges, a le mérite de dénoncer sans détours la politique industrielle de la compagnie pétrolière responsable.
Le Figaro
par Etienne Sorin
On croyait le film catastrophe un genre usé jusqu'à la corde, voire surtout bon à produire des films catastrophiques. Peter Berg lui redonne un peu d'âme ; il en connaît les rouages et les limites. Avant tout, il respecte un principe fondamental : retarder au maximum le début des hostilités, tendre comme un arc la partie qui précède le cataclysme.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le film de Peter Berg décrit avec un brio terrifiant la catastrophe pétrolière qui a touché la Louisiane en 2010.
Libération
par Olivier Lamm
De l’archive audio en introduction à la longue scène de conclusion qui ausculte la naissance du traumatisme, "Deepwater" est finalement moins un film catastrophe qu’un plaidoyer pour la classe ouvrière, au premier rang du désastre capitaliste en cours.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Pas très fin, mais vraiment très impressionnant.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le réalisateur américain reconstitue le drame en prenant soin de dessiner des personnages forts, vrais, de l'électricien modeste mais héroïque (Mark Wahlberg) au responsable (Kurt Russell) en passant par le mauvais génie (John Malkovitch). Le film s'en trouve grandi, assumant son genre avec panache et une mise en scène au lyrisme juste.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Nicolas Didier
Le film se veut le contrepoint absolu des blockbusters avec superhéros. Ce qui intéresse le cinéaste n'est pas la destruction à tout-va, mais ses impacts sur l'Homme : sa conscience sociale héritée du cinéma des années 1970 force l'admiration.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Maelig Bois
Sous forme de nouvel hommage à une forme de héros américains, Peter Berg s’attaque à la catastrophe environnementale de la plate-forme Deepwater Horizon avec la même efficacité et empathie que Du Sang et des Larmes. De quoi en ressortir abasourdi.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Fiches du Cinéma
par Cyrille Latour
Un film-catastrophe pyrotechnique, porté par les larges épaules de Mark Wahlberg, mais aussi une reconstitution réaliste, didactique et édifiante.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Quelles que soient la lourdeur et les maladresses de l’ensemble, la force symbolique et figurative de ces images vaut le coup d’œil.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Une fois lancé, le film catastrophe pyrotechnique est plutôt efficace. On est passé à deux doigts du pétard mouillé.
GQ
par Toma Clarac
En opposant de manière caricaturale la lâcheté du grand capital à la bravoure des petites mains à son service, le film essaie d'acheter notre bienveillance. On ne cédera pas (ou très peu) à ces viles manières de blockbuster fauché.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Une vraie marée noire pour un blockbuster signé Peter Berg, qui dénonce l’absence de scrupules de l’industrie pétrolière. Effets pyrotechniques et caméra en mouvement permanent n’empêchent pas l’action de mettre un peu de temps à démarrer.
Le Parisien
par La Rédaction
Un blockbuster pyrotechnique ? Pas vraiment. Puisque la fameuse explosion ne survient qu'après trois quarts d'heure d'explications barbantes sur le fonctionnement d'une plate-forme... Trop tard. Dommage, parce que la seconde partie est haletante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Pierre Eisenreich
(...) malgré un carton final, "Deepwater" passe sous silence les conséquences préjudiciables de la marée noire. Il ne montre rien du désastre écologique, préférant s'en tenir à la mémoire des victimes directes de l'explosion.
L'Express
par Thierry Cheze
Les quarante premières minutes sont interminables. Survient la catastrophe. Et un délire pyrotechnique qui désintègre toute ambition de cinéma au nom de l'efficacité reine.
20 Minutes
Deepwater est un divertissement haletant tout autant qu’un avertissement.
CinemaTeaser
"Deepwater" n'a pas les thématiques finaudes mais il est ce que le cinéma hollywoodien a livré de plus spectaculaire et d'étrangement plastique cette année.
L'Obs
Mark Wahlberg joue le chef électricien et bon père de famille, Kurt Russell porte une grosse moustache. Ils sont les héros ordinaires de ce drame d'action, efficacement mené, à la gloire des prolos qui bossent et se tuent littéralement à la tâche à cause de l'incompétence des patrons et du cynisme de leurs actionnaires.
Le Dauphiné Libéré
Un film catastrophe qui, tout en remplissant de façon spectaculaire, mais sans céder à la surenchère, le cahier des charges, a le mérite de dénoncer sans détours la politique industrielle de la compagnie pétrolière responsable.
Le Figaro
On croyait le film catastrophe un genre usé jusqu'à la corde, voire surtout bon à produire des films catastrophiques. Peter Berg lui redonne un peu d'âme ; il en connaît les rouages et les limites. Avant tout, il respecte un principe fondamental : retarder au maximum le début des hostilités, tendre comme un arc la partie qui précède le cataclysme.
Le Monde
Le film de Peter Berg décrit avec un brio terrifiant la catastrophe pétrolière qui a touché la Louisiane en 2010.
Libération
De l’archive audio en introduction à la longue scène de conclusion qui ausculte la naissance du traumatisme, "Deepwater" est finalement moins un film catastrophe qu’un plaidoyer pour la classe ouvrière, au premier rang du désastre capitaliste en cours.
Ouest France
Pas très fin, mais vraiment très impressionnant.
Sud Ouest
Le réalisateur américain reconstitue le drame en prenant soin de dessiner des personnages forts, vrais, de l'électricien modeste mais héroïque (Mark Wahlberg) au responsable (Kurt Russell) en passant par le mauvais génie (John Malkovitch). Le film s'en trouve grandi, assumant son genre avec panache et une mise en scène au lyrisme juste.
Télérama
Le film se veut le contrepoint absolu des blockbusters avec superhéros. Ce qui intéresse le cinéaste n'est pas la destruction à tout-va, mais ses impacts sur l'Homme : sa conscience sociale héritée du cinéma des années 1970 force l'admiration.
aVoir-aLire.com
Sous forme de nouvel hommage à une forme de héros américains, Peter Berg s’attaque à la catastrophe environnementale de la plate-forme Deepwater Horizon avec la même efficacité et empathie que Du Sang et des Larmes. De quoi en ressortir abasourdi.
Les Fiches du Cinéma
Un film-catastrophe pyrotechnique, porté par les larges épaules de Mark Wahlberg, mais aussi une reconstitution réaliste, didactique et édifiante.
Les Inrockuptibles
Quelles que soient la lourdeur et les maladresses de l’ensemble, la force symbolique et figurative de ces images vaut le coup d’œil.
Studio Ciné Live
Une fois lancé, le film catastrophe pyrotechnique est plutôt efficace. On est passé à deux doigts du pétard mouillé.
GQ
En opposant de manière caricaturale la lâcheté du grand capital à la bravoure des petites mains à son service, le film essaie d'acheter notre bienveillance. On ne cédera pas (ou très peu) à ces viles manières de blockbuster fauché.
Le Journal du Dimanche
Une vraie marée noire pour un blockbuster signé Peter Berg, qui dénonce l’absence de scrupules de l’industrie pétrolière. Effets pyrotechniques et caméra en mouvement permanent n’empêchent pas l’action de mettre un peu de temps à démarrer.
Le Parisien
Un blockbuster pyrotechnique ? Pas vraiment. Puisque la fameuse explosion ne survient qu'après trois quarts d'heure d'explications barbantes sur le fonctionnement d'une plate-forme... Trop tard. Dommage, parce que la seconde partie est haletante.
Positif
(...) malgré un carton final, "Deepwater" passe sous silence les conséquences préjudiciables de la marée noire. Il ne montre rien du désastre écologique, préférant s'en tenir à la mémoire des victimes directes de l'explosion.
L'Express
Les quarante premières minutes sont interminables. Survient la catastrophe. Et un délire pyrotechnique qui désintègre toute ambition de cinéma au nom de l'efficacité reine.