Avis : Le Garçon et le Héron - Page 2

L’introduction du fantastique est totalement une antithèse de son univers poétique.
Je n’ai vraiment pas du tout aimé ce récit qui part dans tous les sens.
On a toujours le dessin qui est superbe mais cette fois les personnages sont moyens. Moins cependant que la musique qui est sirupeuse et franchement laide.
Dernier point aussi. Pourquoi le jeune qui semble avoir 11-12 a la voix d’un jeune homme de 18 ans…….

Première expérience d’un film Miyazaki au cinéma pour moi et un ressenti mitigé à l’arrivée. Je reconnais le travail titanesque que le film a dû nécessiter pour offrir de si belles images. C’est tellement magnifique qu’on hésite à cligner des yeux pour ne pas en rater une miette. Mais à côté de ça, l’histoire ne m’a pas transportée. J’aime les films d’animations mais je n’ai jamais été vraiment sensible à ceux du Studio Ghibli.

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Il fallait bien que je finisse par aller voir un film de ce réalisateur japonais que beaucoup encensent même si les films d'animation n'entrent que très, très rarement dans mes préférences personnelles. Je suis donc allé voir "Le garçon et le héron". Résultat : les films d'animation, ce n'est vraiment pas pour moi ! Là où beaucoup voient de la poésie et de la profondeur dans l'histoire racontée, désolé, mais je n'ai vu que de la niaiserie et je me suis profondément ennuyé. Et puis, qui peut m'expliquer pourquoi, dans ce film japonais, les personnages principaux font penser à des européens ou à des américains et non à des habitants du pays du soleil levant ?

Au cinéma, cet automne, il se passe un phénomène étonnant avec la prolifération d’œuvres réalisées par des octogénaires, et pas des moindres : Bellocchio, Scorsese, Loach, Allen, Arcand, Schroeder, R. Scott, Miyazaki, ... Avec une question qui revient inévitablement : sont-ce des films testamentaires ? En ce qui concerne le maître japonais de l'animation, Le garçon et le héron, tous les exégètes vous le diront, ressemble à un film-somme de sa carrière, avec un fort symbolisme de ses personnages et des événements marquants de son existence. Mais ce que l'on espère d'un long-métrage de Miyazaki tient toujours en quelques mots : de la magie, de l'enchantement et de l'émotion. Le contrat sera sans doute rempli pour certains mais pas pour tous, y compris parmi les admirateurs les plus fervents du cinéaste. Après un début réaliste très prenant, le film dérive ensuite vers un monde fantastique et merveilleux, comme une version particulière d'Alice au pays des merveilles, qui semble quelque peu opaque et aux péripéties imprévisibles. Visuellement, c'est somptueux mais narrativement moins convaincant, même si apparaissent très lisiblement des thématiques familières : l'enfance, l'apprentissage, la maternité, la mort, la transmission, etc. L'on navigue en permanence au sein d'un bestiaire envahissant dans lequel les oiseaux de malheur abondent. Le regret est de ne pas être touché profondément et durablement par cette fantaisie sérieuse qui oscille entre l'optimisme et le pessimisme. Le garçon et le héron est digne d'admiration mais l'exaltation n'est pas à la hauteur des attentes.

Variation sur le deuil, la création et la transmission, voyages dans un inconscient personnel et collectif, allées et venues temporelles, parcours initiatique, métaphores diverses… Cet opus de Miyazaki n’est pas le plus simple à appréhender. Et pas sûr qu’il soit particulièrement réussi. On est évidemment toujours séduit par la beauté des dessins (luxe de détails, nuances de couleurs), régulièrement charmé et amusé par un mélange unique de poésie et d’humour, embarqué avec curiosité dans un tourbillon imaginaire… Mais, cette fois-ci, les personnages peinent à éveiller l’empathie, tandis que les enjeux dramatiques se diluent dans un foisonnement narratif complexe, qui laisse perplexe. Le film, peut-être trop ambitieux et mal ordonné, laisse l’impression d’un fourre-tout d’idées intéressantes et de trouvailles visuelles, malheureusement trop peu développées ou trop dispersées pour former un tout cohérent et convaincant.

Une bonne grosse déception en tant qu’amatrice de l’œuvre de Myasaki… Une première partie lente et contemplative avec des personnages laids et bâclés, l’intégration de l’animation dans le décor est grossière .. un héros de 10 ans avec une voix d’homme de 18 ans, une longue…très longue errance dans les mondes parallèles avec un grand oncle coiffé comme dragon ball Z et des perruches carnivores … Aucune poésie, histoire décousue, protagonistes dénués d empathie, intrigue confuse... je ne comprends malheureusement pas ce film, je n’en vois pas l’interêt et j’en suis bien triste.

Merci à Allociné pour l'avant première ! Une pièce maitresse signé du grand Hayo. Histoire touchante, personnages attachants, animation magnifique (chaque plan est une beauté !). Belle bande son. Tous les ingrédients sont la. Je pense qu'il faut plusieurs visionnages pour bien comprendre le film. Et par contre, cela surpasse les chefs d’œuvre Mononoké et Chihiro

Très lent, le film ne démarre jamais vraiment, peut-être des références en Asie mais l'histoire est incompréhensible. Même l'univers manque de magie, quelle déception après le chateau dans le ciel ou le voyage de Chihiro.

Ce film était attendu, depuis déjà quelques années.
Pour ma part également, étant un discret amateur des films des studio Ghibli, dont ceux du grand Hayao Miyazaki, je l'attendais de pied ferme mais avec une légère appréhension. Miyazaki ayant toujours créé des films complexes et un poil chaotiques, surtout dans ses derniers travaux (moins pour le vent se lève mais le Voyage de Chihiro et le château ambulant en sont d'excellents exemples) qui malgré cela demeurent des films excellents.
Malheureusement, cette apprehension s'est avéré justifiée.
Le film se perd dans son besoin de vouloir trop en montrer, l'histoire est confuse, on nous balance de nouvelles idées, de nouvelles intrigues qui sont peu approfondies voire rapidement abandonnée. Les relations entre les personnages ne sont pas développées et pourtant soudainement tout le monde aime tout le monde.
La plupart des gens trouvent le film long, étonnement j'ai moins eu ce ressenti.
Je reste néanmoins déçu, je n'ai même pas eu l'impression de voir un Miyazaki père, le film m'a bien plus fait penser aux contes de Terremer de Miyazaki fils, décevant.

Une immense déception. Une première partie on ne peut plus convaincante laisse place à une longue, très longue errance dans les mondes parallèles. Personnages multiples, dénués d empathie, intrigue confuse... Difficile de s intéresser un tant soit peu à ce personnage principal d une froideur déconcertante.

Énorme déception
Les dessins sont toujours aussi magnifiques mais l'histoire part dans tous les sens : très lente à démarrer puis déstructurée avec des personnages moches bref passez votre chemin ou retournez voir Porto Rossi ou kiki mais pas lui !

Cette fable est portée par la renommée et l attente surprise de Myazaki. Autant j' ai aimé ces précédentes œuvres mais avec Mahito et son heron, je ne suis pas rentré dans le film. Certe il y a un gros progrès sur l image, les textures, les couleurs, mais les personnages principaux ne sont pas attachants. le passage espace temps dans différents univers avec le maître du château sent le déjà vu, et rend le déroulement brouillon. En gros on a une Alice aux pays du multivers à la sauce Myazaki. Pour les avoir comparés à la sortie de Suzume comme quoi Makoto Shinkai était le disciple de Myazaki, je pense que le maître a été largement dépassé sur tout les plans d un animé Nippon par son soit disant élève.

J'ai mis 1,5 étoile uniquement pour les dessins toujours magnifiques. Au niveau de l'histoire trop d'incohérences, de délires de l'auteur. Il y a des questions sans réponse ( spoiler: on ne voit pas l'importance d'avoir trouvé le livre de sa mère, pourquoi le héron veut l'emmener au début du film puis quand le héros veut entrer dans le monde du héron, il fait tout pour le repousser, le passage sur le décollage des petits personnages blancs n'a aucun intérêt et encore moins l'attaque des pélicans
). Bref, vous l'aurez compris je n'ai pas du tout accroché à ce nouveau Ghibli. Mon fils de 10 ans, qui est plutôt fan de ces dessins animés n'a pas aimé non plus le trouvant trop décalé.

Le dernier chef-d'œuvre d'animation de Hayao Miyazaki, "Le Garçon et le Héron," nous transporte dans un univers magique où la beauté réside dans la simplicité de la vie et de la nature. Ce film captivant est une ode à l'enfance, à la découverte, et à l'émerveillement.

L'histoire suit Mahito, un jeune garçon de 11 ans, qui doit quitter Tokyo après la tragique disparition de sa mère dans un incendie. Il s'installe avec son père dans un vieux manoir situé au cœur de la campagne, dans le village où sa mère a grandi. C'est là qu'il fait la rencontre d'un héron cendré, une créature majestueuse qui devient peu à peu son guide et son compagnon de voyage dans ce nouvel environnement.

"Le Garçon et le Héron" se démarque par sa simplicité et sa subtilité. Il explore les thèmes de la perte, de la guérison, de la reconnexion avec la nature, et de la curiosité insatiable de l'enfance. Mahito, en suivant le héron et en se laissant guider par lui, découvre progressivement la richesse du monde qui l'entoure et s'émerveille face aux mystères de la vie.

La réalisation de Miyazaki est d'une beauté époustouflante, capturant avec grâce les paysages de campagne, les saisons qui passent, et la magie des rencontres inattendues. L'animation est d'une qualité exceptionnelle, et chaque plan est imprégné de détails qui suscitent l'émerveillement.

Ce film est un hommage à l'enfance, à l'innocence, et à la capacité de redécouvrir le monde à travers les yeux d'un enfant. Il rappelle aux spectateurs l'importance de la connexion avec la nature, de l'exploration, et de la recherche de sens dans un monde parfois complexe.

"Le Garçon et le Héron" est une œuvre qui transcende les générations et qui nous rappelle que, même dans les moments les plus sombres de la vie, il y a de la lumière et de la beauté à découvrir. C'est une invitation à ralentir, à s'émerveiller, et à se laisser guider par la nature et la curiosité. Une expérience cinématographique enchanteresse qui réchauffera le cœur de tous les amoureux de l'animation et de l'imaginaire.

Très mauvais...Pas d'histoire, mal dessiné. Sans intérêt et rien à voir avec les précédents. Passez votre chemin