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Un visiteur
4,5
Publiée le 13 mars 2012
film très émouvant, mené d'une main de maître! On s'y croit, on a peur, on est dedans jusqu'à la fin! En plus de ça; un casting irréprochable avec le très bon geoffrey rush, l'immense Colin Firth et l'indétrônable Helena Bonham Carter!
The King's Speech : Un film magistral avec un scénario (et sujet) original, touchant, intéressant, important, servie par une réalisation simple, et pourtant puissante de par son symbolisme, en effet une réalisation simple même si l'on traite d'un homme important, ça n'en reste pas moins un homme comme pense Logue. Mais pour ce destin exceptionnel la réalisation n'aurait-elle du pas être moins classique ? Enfin des acteurs parfaits (cf. Colin Firth et Geoffrey Rush) !
On regrettera quelques instants de longueurs de relâchement d'intensité mais qui sont vite rattrapés
tous ces reconpances son tres tres tres tres bien merite pour ce film c'est un veritable chef doeuvre,une explosion de ce film (tres tres tres emouvant,magnifique,eblouisant,petillant,eticelant,et boulvercant) c'est un veritable chef doeuvre.
C'est un sujet tres intéressant et qui a donné lieu à un scénario bien mené et cohérent meme si parfois on doute des intentions du roi... Ca aurait pu etre davantage captivant mais c'est loin d'être ennuyant. Et bien sur c'est remarquablement interprété ! Les 3 acteurs principaux méritaient un Oscar... Une réussite donc !!
Film émouvant et qui se regarde avec intérêt. Scénario, mise en scène et jeu des acteurs impeccables. Mais, le drame personnel du duc d'York aurait, me semble-t-il, pu prendre plus d'acuité si le contexte social avait été plus manifeste. Or, le vide autour des deux personnages principaux a pour effet de résumer la ligne directrice de ce film au seul bégaiement dramatique d'un homme. On est donc à la fois ému et ... étrangement insatisfait.
Un métrage intimiste et passionnant à suivre mettant en scène le méconnu Roi Georges VI, père d'Elisabeth II et surtout atteint d'un particulièrement handicapant bégaiement. Le film tourne autour de la touchante rencontre entre notre éminent protagoniste principal et son orthophoniste, sauveur inattendu et sortant très clairement des sentiers battus. L'alchimie entre les deux est une évidence à l'écran et l'émotion le bataille à l'humour pendant presque deux heures. Au delà des parfaites interprétations de chacun, le scénario (réel et méconnu jusque là) s'avère très étonnant et nous accroche immédiatement et ce jusqu'au final. Un très bon moment en somme que je reverrai à l'occasion avec plaisir.
Triomphe annoncé aux Oscars 2011, "Le Discours d’un Roi" s’est donné les moyens de plaire à l’Académie. Le sujet est à la fois classique (l’accession au trône de Georges VI) et audacieux (l’histoire peu connue de son bégaiement et de ses cours pour y remédier), une musique grandiloquente (signée du français Alexandre Desplat), un charme britannique toujours aussi classieux (une fois encore, la VO est à privilégier pour apprécier les nuances de l’interprétation) et un casting d’acteur "ayant la carte". Je n’ai pourtant pas été aussi emballé que les critiques (et visiblement le public) par ce film dont certains défauts sont étrangement ignorés, à commencer par sa mise en scène tout sauf révolutionnaire (et se permettant quelques facilités comme l’utilisation de la 7e symphonie de Beethoven pour appuyer la force du discours final) et sa photographie trop glaciale. Résultat, le film pêche par son rythme irrégulier, les moments dramatiques (la mort de Georges V, les confrontations entre Georges VI et son frère, la découverte du Roi concernant les diplômes de Logue…) semblant s’éterniser surtout au vu de l’efficacité des séquences plus légères où le futur souverain et son médecin apprennent à s’apprivoiser (voir la scène des insultes) lors des séances mémorables. Idem concernant le manque de subtilité dans le traitement de certains personnages tels que Edouard VIII et Wallis Simpson, auxquels les scénaristes ne trouvent visiblement aucune excuse (et qui éludent les sympathies hitlériennes du furtif souverain) ou encore Winston Churchill qui se voit dresser une couronne pour son flair et sa clairvoyance au vu du conflit à venir. Pour le reste, force est de reconnaître que l’histoire du combat personnel de ce Prince contre son handicap et de son accession au trône non désirée est portée par des acteurs éblouissants avec un Colin Firth magnifique en Roi bègue et complexé (qui ne devrait pas voir l’Oscar lui échapper cette fois), un Goeffrey Rush à la fois amusant et touchant en médecin aux méthodes atypiques, une exceptionnelle Helena Bonham Carter en épouse aussi dévouée à son mari qu’attaché au protocole sans oublier Guy Pearce, Michael Gambon ou encore Timothy Spall. La réussite du film repose à mon sens davantage sur leurs épaules que sur la mise en scène austère de Tom Hooper. A moins que l’académisme du sujet m’ait un peu refroidi. Quoi qu’il en soit, "Le discours d’un Roi" est incontestablement un film réussi à la fois grave et léger qui aurait pu se montrer moins académique.
Le premier vrai très grand film de l'année... Attendu ce film est tout bonnement magnifique. Excellent scénario dont le montage intelligent arase le temps entre 1925 et 1939 pour raconter le destin d'un roi qui est d'abord celui un homme. Histoire vraie du père de Elizabeth II où il s'avère que des "handicaps" vont gêner la vie publique d'un prince. Pour se soigner le prince d'York voit un orthophoniste original avec qui il va se créer un lien plus fort. A noter le casting parfait au premier lieu le duo Colin Firth-Geoffrey Rush tout simplmeent épatant. La mise en scène est tout aussi réussie, parfois très discrète parfoisplus inventive pour créer la sensation de solitude du roi. Après un premier film remarqué Tom Hooper persiste et signe.
Troisième long-métrage (seulement) pour Tom Hooper qui signe ici sans nul doute LA révélation de ce début d'année, en transposant sur grand écran une histoire méconnue du grand public, celle du roi George VI (le père de l'actuelle Reine Élisabeth), qui n'était pas prédestiné à devenir roi puisque cela devait être son frère aîné (Edward VII, qui refusa le trône pour se marier avec une femme qui était loin d'être du goût de tout le monde). Le Discours d'un roi (2011) nous entraîne en plein coeur des années 30, juste avant que l'Angleterre n'entre dans la Seconde Guerre Mondiale. On y découvre alors un George VI extrêmement angoissé à l'idée de faire ses allocutions en public, ce dernier étant atteint d'un sérieux handicape : le bégaiement ! Une tare qui le pousse à consulter bon nombre de spécialistes mais rien n'y fait, leur méthodes toutes plus saugrenues les unes que les autres ne parviendront jamais à y remédier, sauf un, un australien installé à Londres et aux méthodes peu orthodoxes. Un thérapeute au franc parlé et qui ne se rabaissera jamais devant son "altesse royale", ce qui aura le don de laisser perplexe ce dernier ainsi que son entourage. Tom Hooper fait très fort avec ce biopic passionnant (de 120 minutes) à travers lequel Colin Firth nous livre une performance d'acteur mémorable (et extrêmement juste) d'un bègue devenu roi malgré lui. Le pouvoir et la persuasion ne pouvant donner confiance de la part d'un roi bègue, ce dernier va devoir se battre contre son démon, face à lui, Lionel Logue (brillamment interprété par l'hilarant Geoffrey Rush) devra tout mettre en oeuvre pour sauver la réputation du nouveau roi. Helena Bonham Carter, Guy Pearce & Timothy Spall complètent la distribution, au grès d'une magnifique reconstitution (cela va des décors aux costumes, en passant par la B.O composée par Alexandre Desplat). En seulement trois films, Tom Hooper s'impose comme un cinéaste à suivre de près et ses nombreuses nominations sont là pour le prouver : 7 aux Golden Globes, dont 1 récompense pour Colin Firth (Meilleur Acteur), ainsi que 12 nominations aux Oscars (dont celui du Meilleur Film et du Meilleur Acteur).
Un film à oscars (multiples !) qui frise la perfection. Tout tourne autour de personnages très forts : un roi qui doit assumer son rôle malgré lui et vaincre son bégaiement (Colin Firth absolument éblouissant), sa femme qui le soutient contre vents et marées et un orthophoniste aux méthodes peu orthodoxe qui n'a que faire de l'étiquette. Le tout bien écrit et parfaitement orchestré. A voir absolument !
Un grand bravo à Colin Firth, on souffre vraiment avec son personnage, on ressent ses émotions de manière viscérale, l'intensité du discours de la fin, doublé par la 7ème de Beethoven est je peux le dire un chez d'oeuvre. Voir le destin d'un tel Homme qui a su faire son devoir malgré des incompatibilités chroniques face à sa fonction, faire résister moralement son peuple face à la barbarie Nazie, là ou son frère ainé a fui. L'intensité du film augmente plus la guerre avec l'allemagne apprcohe, je regrette simplment que cette guerre soit passée au second plant, malgré cela c'est un très grand film avec de très grans acteurs et une BO fabuleuse, foncez le voir!
Selon moi, ce film est le film de la consécration pour Clin Firth. La reconstituons de la Grande-Bretagne est sublime et la musique d’Alexandre Desplat nous emporte dans cette sublime histoire. Emouvant, troublant et vérité. On a de la peine et de la joie envers son combattant qui devient roi de son état. Le discours de ce roi est la gloire du cinéma d’auteur de cette année.
Académique dans sa forme, respectueux de la gente nobiliaire britannique, l'œuvre est remarquable par plusieurs facettes : des dialogues ciselés et regorgeant d'humour insulaire, un casting royal et une direction d'acteurs sans atermoiement. La condition royale, peu enviable dans le fond avec ses contraintes et son inhumanité, sous-tend parfaitement le récit. Une belle réussite sans bémol.