Avis : The Descendants - Page 3

The descendants est un beau film , émouvant et super bien joué par George Clooney
Les décors de Hawaï et les musiques sont belle , beaucoup de tristesse ressort du film et un peu d'humour
Bref un beau film a voir

George Clooney aux oscars pour ce film.
Mais c'est une blague !!
Ce film est super chiant.
Dommage pour George Clooney

Un "film de route" familial et tendre. Il faut dire que la musique blues et country participe à l'ambiance très légère et mélancolique de l'histoire de cette famille.

À la base, ça ne me disait rien du tout, mais bon vu qu'il est nommé aux Oscars et que je suis influençable, et que je suis curieux, il fallait le voir pour dire que ses futurs prix aux Oscars auront été volés. Le coup de la famille en dépression qui va traverser ça ensemble, avec des musiques un peu mélancolique, c'est du déjà vu. Avant même de voir le film on sait déjà tout, ce film ne propose rien que ne sache pas à l'avance. Et c'est dommage, c'est cousu de fil blanc, c'est ultra prévisible, l'intrigue est banale.
L'intrigue justement se décompose sur plusieurs niveau, un niveau financier, un niveau amoureux et un niveau familial, mais le truc c'est qu'à la fin comme souvent les trois sont reliés, et c'est juste dommage, pourquoi faut-il que tout soit connecté ? Bon c'est plus facile pour le spectateur qui n'a pas envie de replacer tout dans son contexte propre de créer un seul contexte, mais à par ça.
Le film est trop convenu pour être honnête je pense. C'est ce genre de film spleen, mélancolie qui me fait royalement chier, parce que justement c'est toujours la même chose, et là Payne ne propose rien en terme d'idées scénaristique, de mise en scène, ou autre. Et la fin qui se veut belle, avec cette famille unie, et tout la symbolique qui va avec, je ne peux pas y croire.
On parle de la prestation de Clooney, mais bon il fait ce qu'on lui demande, il n'est immense, il fait son boulot, s'il le faisait autrement il serait mauvais.
Bon le film a quelques points positifs, c'est que la musique n'est pas omniprésente, par exemple il y a un moment pas mal, lorsque Clooney annonce une nouvelle à sa fille à la piscine, mais bon c'est plombé par la fille qui plonge sous l'eau, et là on retombe dans un cliché de la pire espèce, et je n'y crois pas. Le film réussi à proposer un personnage de mec complètement con, qui est malheureusement assez plausible, même s'il en rajoute des couches.
En fait c'est chiant, c'est complètement convenu et c'est dommage, le mec s'amuse à filmer Hawaï, la face off, on va dire, et oui je voulais bien voir ça, mais là si ce n'est de voir de la brume, et paysages beau, mais qui ne font pas forcément carte postale, j'aime ça, surtout que la photo ne semble pas avoir été trafiquée, ou bien éclairée à mort, c'est de la lumière naturelle la plupart du temps, donc l'environnement y était, mais j'ai l'impression que justement c'est ce genre de petite originalité, face à la production actuelle qui va faire crier la presse, les Oscars au génie, alors que bon, c'est pas grand chose finalement, il ne propose pas de vision du cinéma intéressante. C'est juste un mélo pas trop mauvais, mais de loin pas extraordinaire, ça occupera lorsqu'il passera à la télé la ménagère, qui va pleurer avec le beau George, mais sans plus.
Je pense que ça manque cruellement de prise de risque, le risque de proposer quelque chose de plus violent, de plus sec, parce que bon là Clooney c'est un peu un bisounours, et c'est gênant.

Un mélodrame d'Alexander Payne qui réussit l'équilibre entre humour et émotion, mais l'ensemble manque de mordant.

"The descendants" fait partie de ces films rares dont on espère qu'ils ne se finissent jamais, tant le bien être et l'humain sont au coeur de l'histoire. Les bons ne sont pas véritablement bons, les mauvais pas véritablement mauvais et chacun finit par y trouver son compte, surtout le spectateur. Par petites touches, Alexander Payne tisse une toile très humaine, remplie de sensibilité, pudique parfois, cruelle quelque fois, poétique et d'un charme désuet qui tient tout autant dans le talent des acteurs (Georges Clooney est une fois encore formidable) que dans celui du réalisateur qui sait mettre en valeur tous les personnages secondaires. Si on y ajoute une bande originale aux petits oignons, on sort forcément gâté et enjoué de ce petit morceau d'humanité.

THE KING. La facilité de George et la révélation Shailene Woodley. Hawai, ses chemises à fleurs, ses tongs, ses tragédies et son humour. Après l'excellent Sideways, Alexander Payne récidive.

A Hawaii, la vie d’une famille bascule. Parce que sa femme vient d’être hospitalisée suite à un accident de bateau, Matt King tente maladroitement de se rapprocher de ses deux filles, Scottie, une gamine de dix ans vive et précoce, et Alexandra, une adolescente rebelle de dix-sept ans. Il se demande aussi s’il doit vendre les terres familiales, les dernières plages tropicales vierges des îles, héritées de ses ancêtres hawaiiens. Quand Alexandra lui révèle que sa mère avait une liaison, le monde de Matt vacille. Avec ses deux filles, il part à la recherche de l’amant de sa femme. Durant une semaine essentielle, au fil de rencontres tour à tour drôles, perturbantes et révélatrices, il va finalement prendre conscience que sa principale préoccupation est de reconstruire sa vie et sa famille… Une comédie dramatique émouvante et subtile portée par un George Clooney admirable qui méritait l'oscar, de seconds rôles solides et de sublimes paysages de l'île d'Hawaii. Il est cependant dommage que le film traîne parfois trop en longueur.

The Descendants n'a rien de rare, c'est on ne peut plus classique tant sur le scénario maintes fois vus ou sur l'interprétation correcte mais pas éblouissante.

Je ne savais rien sur le film avant de le voir. Juste que Clooney se trouvait opposé à Brad Pitt et Jean Dujardin dans l'année des oscars et autres récompenses (respectivement pour Le statège et The artist). Clooney semblant faire l'unanimité, je ne voulais pas passer à côté de, peut-être, un chef d'oeuvre. Loin d'être déçu, j'ai dévoré ce drame comme on dévore un grand bouquin ou qu'on déguste un bon vin. Un véritable drame humain qui, lorsque nos glandes lacrymales commencent à faire leur boulot, nous explose à la tête un comique de situation ou de langage absolument délicieux. Et c'est ce qui fait la force du film et surtout de son acteur principal : la tristesse dont on fait preuve en l'observant ne suffit pas pour nous faire tomber dans les profondeurs de ce drame justement parce que le gag -attendu ou non- vient adoucir l'ensemble. Loin de tomber dans le grand-guignol, The Descendants nous raconte la vie, faite de hauts et de bas, de la perte de l'être aimé à la rage de celui-ci, dans le coma sur son lit d'hopital. Car rien n'est simple, celui qui nous a trahi est mortel, faible et ne peut pas toujours nous répondre. Peut-on aimer sa chair même si on ne le connait pas? Tout empêche dans le film qu'on s'appitoie sur le héros (sa richesse, ses choix) mais tout est fait pour qu'on l'accompagne et qu'on finisse par croire qu'on est comme lui, que la vie est la même pour nous, que nos choix peuvent nous nuire ou nous servir comme pour ce milliardaire qui voit tout lui tomber dessus en un temps record. Grâce à ce rythme, The descendants nous offre dans moments d'émotion intense et des sourires non forcés qui nous empêchent de savoir si on pleure de tristesse ou de rire. Voir Clooney courrir dans les allées de son quartier de riches pour connaitre la vérité nous fait rire autant qu'il nous attriste tout comme la rencontre avec cet agent immobilier est un régal de vengeance et de revanche sur cette vie qui ne peut être, et ne doit être, un long fleuve tranquille.

Depuis quelques années, George Clooney joue avec son image de séducteur et cela lui réussit.
Avec The Descendants, on retrouve un Clooney perdu quand il apprend l'accident de sa femme qui était elle avec son amant. Cet accident tue sa femme à petit feu et le personne interprété par Georges Clooney a peur : de s'occuper de ses filles qui ne le comprennent plus, de perdre l'amour de sa femme et la voir partir sans que son amour soit intacte.
Ce film est une merveille, rien que de voir George Clooney en short hawaïen et en tong vaut le détour. On suit le parcours de cet homme partit à la recherche de l'amant de sa femme pour qu'il puisse assister à son enterrement. L'ensemble de la réussite du film repose sur George Clooney mais le spectacteur à hate de voir le dénouement de cette tragédie qui pourrait nous arriver à chacun d'entre nous. Touchant et poignant.

Une chronique douce-amère envoûtante, sublimée par la photo hawaïenne et mise en valeur par la composition surprenante de Mr Nespresso. Une belle surprise!

Il y a des livres qu'on aime tellement, on s'impatiente de les voir transposés par la magie du cinéma.

Et à l'inverse, il y a des films qui sont tellement bien faits qu'on a envie de lire le livre dont le film a été adapté.

Les Descendants est de cette catégorie.

Un film très doux, bien fait, sans aucune violence et donne le plaisir aux spectacteurs de passez un moment agréable.

Une belle histoire raconcté sur un fond de beaux paysages.

Le film est peu marquant mais distrayant et très émouvant, George Clooney franchit un cap grâce à son sérieux son talent.

Alexander Payne est le cinéaste du road-trip et de la crise existentielle masculine.Son dernier film,"The Descendants" ne trahit pas sa marque de fabrique,et est même une surprise inespérée.George Clooney y trouve son rôle le plus abouti.Celui d'un quinquagénaire déboussolé par le coma de sa femme,qui doit gérer ses 2 filles avec qui la communication passe mal,qui doit faire face à une décision importante sur la vente des terres de ses ancêtres,et qui pour couronner le tout apprend que sa moitié avait un amant.Alors,de fataliste,il va tenter de prendre ses responsabilités de père et de mari.Clooney,l'air contrit,l'oeil las et la dégaine de beauf,apporte infinité de nuances à un homme au croisement des chemins.La jeune et piquante Shailene Woodley,17 ans,lui donne une réplique cinglante.Incontestablement,cette Californienne sera l'une des révélations de 2012.Payne prend son temps,assure une mise en scène discrète et détaillée,utilise abondamment la voix off et les chants hawaïens.Hawaï est une personnage à part entière.Paysages luxuriants majestueux,mer d'azur,une coolitude vestimentaire,en contraste savoureux avec les tourments intérieurs.Le ton tragi-comique est irrésistible,et l'émotion affleure naturellement,apaisante.Il y est question de deuil,d'identité,de transmission.C'est un film profondément attachant et réaliste,un de ces films qui,mine de rien,vous emporte le coeur et vous donne l'envie d'être plus présent pour ses proches.