Avis sur Coquin de printemps

Ce film fait partie de la longue liste des "classiques de Disney". Et on peut dire qu'il a tout à fait sa place parmi ceux-ci. Divisé en deux histoires introduites par Jiminy Cricket, c'est dans ce métrage que l'on peut voir le fameux épisode "Mickey et les haricots magiques". Un beau conte que je préfère au premier et qui regroupe le trio infernal: Mickey, Donald et Dingo. Les dessins, animations, décors et couleurs sont magnifiques et le charme "ancien" de ces vieux dessins animés fait mouche à chaque visionnement.

Coquin de Printemps, neuvième long-métrage ou plutot une succession de deux moyen-métrage de bonne qualité !

Suivant l'exemple de ses prédécesseur, ce film est encore coupé en morceaux mais cette fois-ci, ce n'est plus que deux histoires toutes aussi fantaisiste !

La première est une histoire d'amour entre deux ours dont l'un a vécu toute sa vie loi de l'état sauvage et qui ne rêvait que de liberté. Mais il y a quelques longueurs.

La deuxième est le célèbre conte de Jack et le Haricot Magique illustrer avec notre remarque trio : Mickey, Donald et Dingo !

Toutes deux bénificiant d'une animation remarquable et d'une musique qui respire la joie de danser et chanter ! La première histoire possèdent plus de chanson où se mélangent amour, liberté et loufoquerie.

Pour la deuxième histoire, c'est surtout ses personnages qui donnent le coté magique. Grace à notre joyeux trio accompagné du célèbre Willie le Géant, le délire est garantit !

Je tiens à quand même attribué un point au doublage français parfaitement réussi ! Surtout en ce qui concerne Roger Carel qui monopolise le casting suivi de Richard Darbois qui s'occupe du géant !

Le seul bémol est que la deuxième histoire soit coupé entre scène d'animation et live, ce qui donne un résultat "cassage de rythme" malgré un humour qui fonctionne bien accouplé à la voix de Carel !

En conclusion: Deux moyen-métrage avec leur propre charme et défauts mais plaira surement !

2 courts-métrages mignons et sympathiques.
Le premier très bucolique proche de bambi dans la naïveté et la scène vraiment drôle du gros ours qui chasse bongo.
Et l'autre plus dynamique avec une interprétation poétique du haricot magique.
Ça fleure bon son époque des années 50 avec le présentateur et le récit en vers !!!!!!!!

La narration des deux moyens-métrages regroupés ici a terriblement vieilli, bien plus que l’animation qui reste très propre. Le premier est assommé par sa voix off et le deuxième est sans cesse coupé par des passages mettant en scène le narrateur complètement inutiles.

Je met 3 étoiles car je n'ai pas du tout aimé la première histoire, par contre j'ai bien aimé la deuxième avec Mickey, Donald... C'est toujours un plaisir de retrouvé ces personnages là mais pas la première histoire. Il ne se passait rien, l'histoire était sans intérêt.

Coquin de printemps (1947) est un long-métrage Disney composé de deux moyens-métrages en animation, tous deux étant entrecoupés par des prises de vues réelles. C'est la première fois que les célèbres personnages de la firme Disney (Mickey Mouse, Donald Duck & Dingo) sont réunis au coeur d'un seul et même film, avec à leurs côtés Jiminy Criquet, apparu dans Pinocchio (1940). "Bongo, roi du cirque" & "Mickey et le Haricot magique" sont les deux moyens-métrages présents dans le film, le premier est plus orienté vers l'humour et le cartoon tandis que le deuxième, adapté du célèbre conte "Jack et le Haricot magique" est plus tourné vers le drame. L'animation quant à elle s'avère plus que correcte, fluide et colorée, avec une bonne dose d'humour et de chansons (une habitude que Disney ne renierait pour rien au monde).

Hormis Dumbo et Bambi, les années 40 (précurseurs de l'empire Disney) sont les moins représentatives de la firme aux grandes oreilles. En effet, durant dix ans, ne sont sortis sur grand écran que des compilations de courts et moyens-métrages principalement musicaux accompagnés le plus souvent de prises de vue réelles. Nos grands-parents ont donc pu voir dans le même genre Saludos Amigos, Les trois caballeros et La boîte à musique, tous regroupant de petites aventures musicales mettant en scène tour à tour Donald, Dingo ou encore Panchito Pistoles le coq mexicain. En 1947, c'est Coquin de printemps qui sort en salles. Présenté par Jiminy Cricket, la "conscience" de Pinocchio, le film regroupe donc deux moyens-métrages très sympathiques : "Bongo, roi du cirque" et "Mickey et le haricot magique". Le premier raconte l'histoire d'un jeune ours de cirque qui, après s'être échappé, faisant connaissance avec les joies et les difficultés de la vie en pleine nature, découvrant par ailleurs l'amour... Narrée par la chanteuse Dinah Shore, le petit film sans dialogue s'avère gentillet. Cependant, malgré le fait que cette mésaventure colorée soit pleine de légers rebondissements, d'humour et de tendresse, rien qui ne vaut la peine d'être placé au centre d'un long-métrage cinématographique, à l'instar du deuxième moyen-métrage désormais présenté par le célèbre ventriloque Egdar Bergen, accompagné de ses deux marionnettes fétiches. Ce second segment, bien entendu tiré du conte "Jack et le haricot magique", met en scène Mickey, Donald et Dingo dans la même aventure, retranscrite dans l'univers Disney. Encore une fois, rien de bien extraordinaire, cette aventure étant une sorte de simple épisode TV un poil rallongé par les énervantes apparitions aussi bien physiques que vocales de Bergen et de ses marionnettes. Toutefois, impossible de ne pas s'amuser face aux frasques de nos trois héros dans cette péripétie drôle et mouvementée très fidèle au conte populaire anglais. Ainsi, Coquin de printemps est - encore une fois - une petite déception qui ne devrait pas avoir sa place parmi les « Classique Disney » mais qui reste ceci dit tout à fait plaisant.

Coquin de printemps est un bon film d’animation Disney de Bill Roberts, Hamilton Luske, Jack Kinney et William Morgan. La mise en scène des réalisateurs est irréprochable, l’animation est excellente et il y a de belles images. De plus, le scénario est travaillé, recherché, bien ficelé et on passe un très bon moment. Bref, à découvrir.

Un Disney correct mais surtout très inégal. Le film est scindé en deux histoires totalement déconnectées (je ne vois pas du tout l'intérêt). Autant la seconde histoire est très bien, reprenant et adaptant l'histoire de "Jack et le haricot magique", autant la première histoire l'est beaucoup moins. En effet la première histoire n'a pas beaucoup d'intérêt et cible les très jeunes enfants. La seconde histoire est bien mieux. Je n'ai pas trop aimé non plus la scène d'intermédiaire entre les deux histoires (celle avec un ventriloque). On s'ennuie un peu au début mais moins à la fin. L'animation est très bien, rien à redire là-dessus. Le doublage est impeccable également (avec les irremplaçables voix de Mickey, Donald et Dingo). Bref, le dessin animé est poussé vers le haut grâce à l'histoire de Mickey et du haricot magique. C'est aussi la première fois que les célèbres personnages de la firme Disney (Mickey Mouse, Donald Duck et Dingo) sont réunis au cœur d'un seul et même film, avec à leurs côtés Jiminy Criquet, apparu dans "Pinocchio" (1940). On a aussi une bonne dose d'humour et de chansons (une habitude que Disney ne renierait pour rien au monde). Au final c'est un Disney tout juste pas mal, qui mérite cependant le visionnage

➖Avis bref :
Coquin de printemps est le neuvième classique Disney. Il reste dans la lignée des précédentes compilations ou presque, il est tout de même plus dans un style à la « Melodie du sud » pour son histoire en prises de vues réel qui paraît bien plus aménagé, ce qui rend quelque chose de plus propre et sympa à voir. La partie de prises de vues réel est plus ou moins suivit par Jiminy Criket personnages que l’on adore. Et une seconde partie qui elle est composées de court-métrage toujours très enfantin et narratifs (J’adore celui de Bongo). Un ensemble correct, mais toujours trop léger et puéril. Le genre de classique qui fait l’avouer peu décevoir, cependant j’affectionne particulièrement celui-ci qui pour moi me rend nostalgique.
Enfin bref, cela reste encore du Disney très enfantin, même si l’on s’écarte de la vulgaire compilation.

Un film dans la lignée des Disney de l'époque : 2 histoires en une et voilà le film en question. Les deux histoires sont sympathiques mais manque de saveur. Cependant, dans ce genre de films, celui là est un des mieux réussis. Dommage que la 2e histoire soit gachée par les le narrateur et les 2 muppets (trop flippants pour des gosses ?!). Ce genre de film est surtout accessible au plus jeune

La deuxième moitié des années 40 est une des moins bonnes chez Disney donnant lieu à des films toujours plaisants mais loin de l'innovation constante des débuts, le studio semble se reposer sur ses acquis, très bons, certes mais qui ne vont pas plus loin que le film sympathique sans idées géniales et sans innovations. Évidemment, on ne boude pas notre plaisir mais l'ensemble est très inégal et pas très rythmé.

Un très bon Disney qui raconte deux très jolies histoires, dont l'une avec Mickey, Donald et Dingo. De très sympathiques musiques et on regarde ce petit dessin animé avec plaisir.

Style des films Disney des années 1940 mélangeant animation et acteurs réels présentés ici par le personnage de Jiminy Cricket qui veut nous convaincre que rien ne vaut la bonne humeur et la fantaisie. La façon ampoulé de la narration du premier court métrage nuit un peu au déroulé de Bongo roi du cirque où il ne se passe pas grand chose de cohérent sinon une absurdité spoiler: les ours déclarent leur amour avec des baffes
le second est plus connu c'est la version de Jack et le haricot magique avec le trio Mickey, Donald et Dingo et est plus élaboré avec une moralité qu'il ne faut pas perdre espoir et ne pas être égoïste. C'est cependant assez niais dans l'ensemble.

Diviser en 2 parties, ce classique Disney est surtout connu pour sa seconde partie mettant en vedette Mickey, Donald et Dingo (une première aventure groupé et première apparition en long métrage pour les compères de l'univers Disney). La première, étant quasiment un spin-off à "Dumbo" voit cet ourson star d'un cirque, malmener par ses maîtres, emprisonner et trainé de ville en ville avant de parvenir à s'en échapper et rejoindre la forêt. L'animation rondement mener nous plonge dans ce printemps coloré ou l'ambiance forestière et montagnarde y sont roi. Le récit restant d'une simplicité insultante montre quand même une grande morale, pas besoin d'être hyper costaud pour parvenir à ses fins, ou brutal pour montrer sa toute puissance. L'histoire d'amour entre nos 2 oursons malmener par cet autre ours adulte reste dynamique et haletante pour finir dans les meilleurs hospices. La seconde histoire, énième version de "Jacques et le haricot magique" voit sa ambiance printanière et presque estivale plongée dans la désertification, la misère et la solitude. L'animation y est également impeccable, les scène cultes et le jeu de nos héros mythique, les gestes et parler de Donald font sa légende et nous plonge dans cette courte mais dynamique aventure vers des cieux magiques ou le géant vêtu d'un vert presque éclatant au nez rouge digne d'une bouée impose sa majestuosité avant de se faire prendre aux pièges des Lilliputiens. La harpe, personnage secondaire du récit, n'à certes qu'une place de figurante mais laisse une tracé au récit tant elle reste au cœur même du récit. Le final endiablé et tonitruant rappel tant de souvenir d'antan et termine sur ce plan Hollywoodien mythique. Unique élément totalement inédit personnellement, le mélange d'animation de prises réelles avec ces acteurs bien réels, ce film est donc le tout premier de Disney à mêler les 2 procédés, l'animé et le live. 2 récits dynamiques, endiabler et visuellement impeccable et au format d'époque, culte.