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ATON2512
57 abonnés
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3,0
Publiée le 3 janvier 2024
De Eli Roth (2023). Sans révolutionner totalement le genre, c'est incontestable, ce film d'horreur fonctionne très bien du début à la fin. Eli Roth , spécialiste de l'horreur nous offre un film horrifique qui fonctionne bien et reste prenant jusqu'à son dénouement.. Avec juste ce qu'il faut pour des crimes horrifiques sans aller toutefois une surenchère excessive. Bon scénario et même une petite critique du consumérisme exacerbé à l'origine d'ailleurs du scénario. Bien mené, sans temps mort . L'autre force diu film réside dans le fait que le scénario nous offre des surprises comme notamment celui d'avoir un peu de mal à identifier le tueur. A gager qu'il y aura certainement une suite ! Avec Patrick Dempsey, Addison Rae, Milo Manheim.
Un très bon Slasher movie, avec de nombreux morts très gores et une histoire qui tient la route, notamment à travers 'a dénonciation du consumérisme et plus particulièrement du black friday. On ne meurt pas pour rien dans ce film sur le péché. Les autres commentaires sont un peu durs parce qu'avec Eli Roth on en a, si j'ose dire, pour son argent. A noter une scène post générique même si pas très importante
Un bon slasher qui ne se prend pas au sérieux, joue habillement avec les codes du genre, tout en étant une critique de la société de consommation. Le côté whodonit est un peu moins réussi parce qu'on devine très vite l'identité du tueur.
Après une ouverture brillante oscillant entre la satire de la consommation de masse et l’épouvante, qui n’est pas sans rappeler celle de Krampus (Michael Dougherty, 2015), Thanksgiving retrouve les sentiers balisés du slasher au terme duquel le bourreau masqué révèle un visage inattendu ; dès lors, le reste du long métrage consiste à semer le doute dans l’esprit du spectateur en creusant de fausses pistes jalonnées d’exécutions plutôt inventives – nous sommes bien chez Eli Roth ! –, quoique trop expédiées par la mise en scène. La construction mécanique du scénario, simple alternance de meurtres et d’enquêtes, lasse rapidement. Une impression de déjà-vu plane sur l’ensemble, anomalie tout droit issue des années 90, néanmoins appréciable dans le paysage horrifique contemporain.
Malgré un début bien sympa en scènes trash et très critique sur la société capitaliste poussant à fond la consommation, le dernier film d’Eli Roth s’étiole peu à peu pour verser dans le slasher basique entrecoupé de longues séquences de remplissage avec des dialogues insipides débités par des protagonistes archétypaux et de, ô miracle, scènes bien gore comme certains les aiment mais se retrouvant malheureusement disséminées de façon trop sporadique. Hormis certains de ses meurtres bien sanglants « Thanksgiving : la semaine de l’horreur » n’offre ainsi pas grand-chose aux fans de slashers purs et durs qui connaissent déjà tous les codes de ce genre usé jusqu’à la moelle !
Un slasher avec des meurtres assez gore mais un scénario assez pauvre, en tout cas qui ne tient pas suffisamment en haleine j'ai trouvé.Après ça reste regardable mais c'est aussi tôt vu aussi tôt oublié.2,5/5
Voici un petit film d'horreur de plus et qui ne ressort pas du lot dans ce flot de film sanglant. Disons que dans son ensemble cela reste divertissant même si forcément dans ce genre de film les choix des protagonistes sont parfois merdiques. Après j'ai aimé quand il massacre les personnages du black friday même si moi perso, j'aurais pris plus de temps pour trouver tooooutes les personnes présentent ce soir là...m'énerve tellement ces trucs bref...en dehors de cela cela reste du classique. On a aussi le choix de qui peut être le tueur entre l'ex, le nouveau ou le mari...cela donne un petit suspense. En gros vite vu, vite oublié...mais divertissant. NOTE : 5/10
Un slasher inédit. Un contexte très américain mais doté d’une imagerie reconnaissable. Eli Roth (Hostel ou Cabin Fever) à la réalisation. Patrick Dempsey en tête d’affiche. On peut dire que la proposition était alléchante et promettait une série B sympathique, voire même peut-être un renouvellement de ce sous-genre. Eh bien ce ne sera malheureusement pas le cas. Thanksgiving est amusant grâce à ses meurtres bien gores, son entame complètement dingue et surprenante, et une bonne utilisation de l’imagerie de cette célébration. Mais pour le reste… entre intrigue cousue de fil blanc, dénouement ridicule, rythme saccadé et mise en scène anodine, c’est un slasher tout juste dans la moyenne du genre.
Retrouvez ma critique complète sur le site spécialisé Le Mag du Ciné: https://www.lemagducine.fr/cinema/critiques-films/thanksgiving-eli-roth-avis-10065078/
Après une ouverture brillante oscillant entre la satire de la consommation de masse et l’épouvante, qui n’est pas sans rappeler celle de Krampus (Michael Dougherty, 2015), Thanksgiving retrouve les sentiers balisés du slasher au terme duquel le bourreau masqué révèle un visage inattendu ; dès lors, le reste du long métrage consiste à semer le doute dans l’esprit du spectateur en creusant de fausses pistes jalonnées d’exécutions plutôt inventives – nous sommes bien chez Eli Roth ! –, quoique trop expédiées par la mise en scène. La construction mécanique du scénario, simple alternance de meurtres et d’enquêtes, lasse rapidement. Une impression de déjà-vu plane sur l’ensemble, anomalie tout droit issue des années 90, néanmoins appréciable dans le paysage horrifique contemporain.
Alors que les films d'horreur américains au cinéma ne sont généralement pas de très bonne qualité, Thanksgiving : la semaine de l'horreur est candidat pour le titre de Meilleur film d’horreur de l’année 2023, au côté de La Main.
Déjà, il y a une très bonne introduction. Ça fait toute la différence. On n'est pas jeté dans le bain sans aucune explication. Dans Thanksgiving, la motivation du futur tueur est claire. C’est même pire que cela, on se positionne plus du côté du tueur que celui des victimes.
Au niveau de la construction, nous sommes dans le classique. C’est un film d’horreur avec un tueur, rien de plus basique. Cependant, ce n’est absolument pas dérageant.
Il y a un bon paquet de morts. Celles -ci sont assez gore. De plus, le tueur a pas mal de style avec son masque de John Carver. En termes de casting, Patrick Dempsey et Nell Verlaque sont les deux qui se démarquent. Leurs petits camarades ne sont pas terribles du tout.
Au-delà de son aspect horrifique, ce film horrifique à un message social. On voit que tout dégénère à cause du Black Friday où une minorité bourgeoise provoque le chaos par leur provocation. La foule est aveuglé par une soif de la consommation affolante. Cela se retrouve aussi durant plusieurs parties du film où les bénéfices passent avant les morts.
Eli Roth ne s'est pas foulé pour le scénario en remixant des slashers comme Scream et Souviens-toi l'été dernier. Les deux prétendants de l'héroïne ne la protègent jamais pour maintenir le suspense sur l'identité du tueur. L'humour gore pèse une tonne.
Slasher paresseux. Eli ne se fatigue pas, malgré un casting de luxe, dont l'incandescente Gina Gherson, actrice qui reste sexy à 60 ans. Les crimes sont gores, mais rares, au milieu d'un océan de blabla entre ados.
La Turquie n'est pas le seul à être farcie dans cette fête sanglante!
Qui aurait cru qu'un film d'horreur sur Thanksgiving pourrait être plus mémorable que ta grand-mère oubliant la dinde au four? Certainement pas moi, jusqu'à ce que je me retrouve devant "Thanksgiving: La Semaine de l'Horreur." Au début, j'étais aussi enthousiaste que si on me servait de la purée en boîte pour le repas de Thanksgiving. Mais bon sang, Eli Roth a réussi à me faire manger mes mots, et ce n'était pas le seul à être dévoré!
On pensait que les dindes tueuses de "Thankskilling" étaient la référence ultime en matière de films Thanksgiving déjantés. Eh bien, préparez-vous à avoir votre esprit cinéphile farci avec un slasher qui détrône ces dindes en plastique comme un héros de Marvel botte les fesses d'un méchant en carton. "Thanksgiving: La Semaine de l'Horreur" est à la trilogie "Thankskilling" ce que Thanos est à une galette de dinde surgelée - un niveau au-dessus, et avec beaucoup plus de violence!
Eli Roth a mis ses griffes dans cette histoire de Thanksgiving, et le résultat est aussi sanglant qu'une bataille de sabres lasers dans l'univers de Star Wars. Les meurtres sont exécutés avec une précision chirurgicale, laissant le spectateur à la fois choqué et impressionné, comme si on lui avait servi un plat digne d'un maître sushi dans un fast-food.
Les personnages de ce film ne sont pas là juste pour être égorgés comme des dindes à la ferme. Non, ils sont plus complexes que le scénario de "Inception." Bien sûr, on n'est pas dans du Shakespeare, mais comparé à d'autres films d'horreur où les protagonistes sont aussi profonds qu'une flaque d'eau, on peut dire que ces personnages tiennent la route. Addison Rae et Patrick Dempsey font une paire plus explosive que Mario et une carapace verte dans Mario Kart - ça décoiffe!
Le film traîne un peu vers la fin, comme si on avait donné à Freddy Krueger une sieste de deux heures avant qu'il ne commence à découper les rêves. Cependant, ça n'enlève pas le plaisir sadique que vous aurez eu à regarder ce massacre de Thanksgiving. C'est comme une soirée Monopoly qui n'en finit pas - à un moment donné, vous êtes prêt à tout pour que ça se termine.
En fin de compte, "Thanksgiving: La Semaine de l'Horreur" est comme la tarte à la citrouille de ma grand-mère - une fois que vous y avez goûté, vous ne pouvez plus vous arrêter, même si vous savez que ça va vous hanter plus tard. Alors, si vous avez déjà épuisé votre liste de films cultes de Thanksgiving, ajoutez celui-ci. C'est comme si le Joker avait décidé de préparer votre dîner de Thanksgiving - c'est fou, dérangeant, mais vous ne pouvez pas vous empêcher d'applaudir à la fin. Bon appétit, cinéphiles de l'horreur!
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