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Pendant 1h33, nous sommes amenés à adopter une vision du monde (si l'on peut dire) assez politiquement incorrecte par son individualisme sans fard. Tout cela se manifeste par le biais d'un humour verbalement assez salé, parfois potache, qui se maintient à un rythme honorable.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Malgré quelques faiblesses et incohérences dans le scénario, "Bad Teacher" réussit son rôle de comédie légère : nous faire rire, avec des personnages sciemment caricaturaux, portés par des acteurs n'ayant vraiment pas peur du ridicule.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Perchée sur ses Louboutin de 13 cm, sexy et vacharde, Cameron Diaz court après un Justin Timberlake incroyablement repoussant, ce qui tient de l'exploit. D'accord, ça reste un tout petit film, mais cette brise de mauvais esprit se révèle quasi salutaire entre deux bourrasques de superhéros.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Si la première partie de "Bad Teacher", déclinant le manuel de survie d'une salope chez "les Bisounours", dépote, la seconde patine un peu à force de multiplier les sous-intrigues.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les affrontements à répétition entre la méchante enseignante et son alter-ego bien pensante risquent de lasser le spectateur. On attendait une comédie moins prévisible et un scénario plus riche. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Certains échecs sont plus douloureux que d'autres. Celui de "Bad Teacher" laisse pantois tant le film avait tout pour plaire. (...) Le cast n'est pas en cause ici, mais il est condamné par Kasdan et ses scénaristes (pourtant issus de "The Office") à barboter de situations bâclées en dialogues navrants. Recalé.
Un vent de politiquement incorrect et salutaire souffle sur la première partie de cette comédie d'été, avec sa dose de mauvais esprit. [...] Mais les choses s'alourdissent à force d'affrontements répétés, d'intrigues attendues, de dialogues plats.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Hormis l'abattage de l'actrice et quelques gags politiquement incorrects, l'humour gras et répétitif domine. Avec, en prime, ce cocktail d'obscénité et de puritanisme qui déferle sur la comédie américaine depuis quelques années.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Studio Ciné Live
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Critikat.com
Pendant 1h33, nous sommes amenés à adopter une vision du monde (si l'on peut dire) assez politiquement incorrecte par son individualisme sans fard. Tout cela se manifeste par le biais d'un humour verbalement assez salé, parfois potache, qui se maintient à un rythme honorable.
Excessif
Malgré quelques faiblesses et incohérences dans le scénario, "Bad Teacher" réussit son rôle de comédie légère : nous faire rire, avec des personnages sciemment caricaturaux, portés par des acteurs n'ayant vraiment pas peur du ridicule.
Le Journal du Dimanche
Cette comédie délicieusement trash a le mérite d'être claire : l'éducation et le bien-être en classe, Elizabeth s'en moque.
Le Parisien
Perchée sur ses Louboutin de 13 cm, sexy et vacharde, Cameron Diaz court après un Justin Timberlake incroyablement repoussant, ce qui tient de l'exploit. D'accord, ça reste un tout petit film, mais cette brise de mauvais esprit se révèle quasi salutaire entre deux bourrasques de superhéros.
Première
Si la première partie de "Bad Teacher", déclinant le manuel de survie d'une salope chez "les Bisounours", dépote, la seconde patine un peu à force de multiplier les sous-intrigues.
Le Monde
Les affrontements à répétition entre la méchante enseignante et son alter-ego bien pensante risquent de lasser le spectateur. On attendait une comédie moins prévisible et un scénario plus riche. Dommage.
Les Inrockuptibles
Certains échecs sont plus douloureux que d'autres. Celui de "Bad Teacher" laisse pantois tant le film avait tout pour plaire. (...) Le cast n'est pas en cause ici, mais il est condamné par Kasdan et ses scénaristes (pourtant issus de "The Office") à barboter de situations bâclées en dialogues navrants. Recalé.
Positif
Un vent de politiquement incorrect et salutaire souffle sur la première partie de cette comédie d'été, avec sa dose de mauvais esprit. [...] Mais les choses s'alourdissent à force d'affrontements répétés, d'intrigues attendues, de dialogues plats.
Télérama
Hormis l'abattage de l'actrice et quelques gags politiquement incorrects, l'humour gras et répétitif domine. Avec, en prime, ce cocktail d'obscénité et de puritanisme qui déferle sur la comédie américaine depuis quelques années.
Le Point
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TéléCinéObs
[Cette comédie] est juste mal foutue, laborieuse et d'un opportunisme potache assez horripilant.