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    Mad Max: Fury Road
    Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Mad Max: Fury Road" et de son tournage !

    Sensation

    Présenté en juillet 2014 au Comic-Con de San Diego, la spectaculaire bande-annonce de Mad Max: Fury Road a fait sensation et a volé la vedette à tous les autres projets présentés au même moment. Le long métrage se place donc directement dans le top des films les plus attendus de l'année 2015 aux côtés d'Avengers: L'Ère d'Ultron et Star Wars: Episode VII.

    Retour en force

    L'acteur Hugh Keays-Byrne qui incarnait le terrible "Chirurgien" dans le premier Mad Max de 1979 figure au casting de Mad Max: Fury Road ! En effet, le comédien interprète à nouveau un ennemi de Max Rockatansky mais dans un rôle différent cette fois-ci, celui du diabolique et masqué Immortan Joe. George Miller explique : "C’est le genre de charisme dont j’avais besoin pour FURY ROAD (...). Hugh porte un masque dans le film et donc personne ne pourra le prendre pour le Chirurgien, et il a un regard incroyable et une voix qui porte. C’est un grand nounours au fond et il apporte beaucoup d’entrain à son personnage. Il procure une autre dimension au film ne serait-ce que par la force de sa personnalité. Il a vraiment donné du punch à nos War Boys."

    Idée

    L'idée d'un quatrième Mad Max a germé dans la tête de George Miller depuis 1997. Cependant, les différents échecs commerciaux du cinéaste (Lorenzo et Happy Feet 2), les difficultés de production et les reports incessants de tournage ont fait que ce quatrième volet ne sortira sur nos écrans qu'au printemps 2015, soit trente ans après le dernier opus.

    George Miller au micro !

     

    Reboot

    Si Mel Gibson n'a pu reprendre son rôle mythique de Max Rockatansky, c'est le comédien anglais Tom Hardy qui se chargera d'interpréter le plus célèbre des anti-héros. De ce fait, Mad Max: Fury Road est une sorte de reboot de la série originelle. Le comédien précise qu'il s'agit d'un nouveau départ et d'une relecture de la saga mais toujours avec le même personnage.

    Live action

    Mad Max: Fury Road sera le premier film en "live action" de George Miller depuis Babe, le cochon dans la ville sorti en 1999.

    Diptyque

    Dans un premier temps, George Miller a envisagé de tourner deux films Mad Max coup sur coup. Mad Max: Fury Road et un deuxième long-métrage intitulé Mad Max: Furiosa, d'avantage centré sur le personnage de Charlize Theron, l'impératrice Furiosa.

    Mad Max en dessins

    En phase de pré-production, le cinéaste George Miller s'est entouré de cinq story-boarders pour réaliser 3 500 tableaux de Mad Max: Fury Road, soit l'équivalent du nombre de plans dans le film. L'idée était d'imaginer la facture visuelle du film avant d'écrire la moindre ligne de son scénario.

    Tournage

    Le quatrième épisode de la série Mad Max devait être dans un premier temps tourné en Namibie en 2003. Mais l'invasion de l'Irak par l'armée américaine la même année a convaincu les patrons du studio de la 20th Century Fox d'annuler le projet. En 2010, le film se retrouva à nouveau en phase de préproduction pour une date de sortie prévue durant l'été 2012. La production a néanmoins été à nouveau interrompue en raison de pluies torrentielles bouleversant la physionomie du paysage de la région choisie en Australie. Cela a poussé l'équipe à trouver un nouveau lieu et la Namibie fut alors à nouveau désignée comme l'endroit idéal pour tourner ce quatrième volet de la saga. Le tournage put enfin commencer en avril 2012.

    D'un blockbuster à l'autre

    Ce n'est "que" le deuxième film de la mannequin Rosie Huntington-Whiteley. Elle avait précédemment joué dans le troisième volet de la saga Transformers : Transformers 3 - La Face cachée de la Lune réalisé par Michael Bay.

    A l'ancienne

    Environ 80% des effets visuels que l'on peut voir dans le film ont été réalisés sans trucages informatiques, avec de véritables véhicules, de vrais cascadeurs, des maquillages authentiques et bien d'autres choses... Une pratique peu courante à l'heure du développement du numérique mais que certains cinéastes comme Christopher Nolan et J.J Abrams affectionnent.

    La boule à zéro

    Pour interpréter le personnage de Furiosa, Charlize Theron a dû se raser la tête. Or, elle tournait en parallèle Albert à l'ouest pour lequel il lui a fallu porter une perruque.

    Influence

    Le nouveau look du personnage de Max a été influencé par celui de Denzel Washington dans Le Livre d'Eli, un film qui propose également la vision d'un monde post-apocalyptique.

    Une seconde chance

    Avant de reprendre le rôle de Max, tenu auparavant par Mel Gibson, le comédien Tom Hardy avait également été approché pour interpréter un autre personnage très connu dans le cinéma de science-fiction ou post-apocalyptique dans un autre reboot... Il s'agit de John Connor pour Terminator : Genisys. D'ailleurs, le créateur de cette célèbre saga, James Cameron, a reconnu que l'une de ses nombreuses références pour créer sa franchise a été inspirée par Mad Max 2.

    Présentation cannoise

    De nombreuses rumeurs ont longtemps circulé comme quoi Mad Max : Fury Road serait présenté en ouverture du Festival de Cannes 2015. Et la nouvelle vient de tomber, le film sera bien diffusé en Sélection Officielle Hors Compétition le jeudi 14 mai soit le lendemain de la cérémonie d'ouverture. Du coup, la sortie française du long métrage a été décalée du 13 au 14 mai de façon à ce que le festival puisse conserver l'exclusivité mondiale.

    Ecologie

    Durant le tournage en Namibie, la Warner a été confrontée à plusieurs plaintes d'organismes de protection de l'environnement accusant l'équipe de dégrader le milieu naturel. La production s'est défendue en affirmant que le fait d'effectuer des prises de vues sur ces terres a permis d'injecter plusieurs dizaines de millions de dollars dans l'économie du pays, mais aussi de faire travailler plusieurs centaines de techniciens locaux.

    Reprise

    Bien que le tournage se soit achevé fin 2012, celui-ci a néanmoins repris pour une durée de trois semaines en décembre 2013, à Sydney. En effet, George Miller a reconnu que suite aux premières projections tests, il semblait nécessaire d'ajouter quelques plans afin d'améliorer le rythme de certaines scènes d'action.

    Une BA qui plaît à tout le monde

    Quand la première bande-annonce officielle de Mad Max : Fury Road est apparue, des centaines de milliers de fans étaient en extase tant ils l'ont trouvée spectaculaire. Selon George Miller, ce n'est pas lui qui a conçu cette vidéo promotionnelle mais un monteur chargé de réaliser toutes les BA des blockbusters de la Warner. Le cinéaste s'est déclaré très ému et fier en découvrant ce travail tout à fait en accord avec la tonalité et l'esprit de son film.

    Origine

    C'est en grandissant en Australie, dans une petite ville très reculée où il n'y avait qu'une séance de cinéma le samedi après-midi, que George Miller a commencé à imaginer un monde désertique et apocalyptique... C'était la première graine de Mad Max qui a définitivement germé quelques années plus tard, où, étant confronté à la violence du monde en travaillant dans un hôpital, il a imaginé un personnage qui chercherait à fuir la violence et le chaos. Cela n'aurait pas semblé crédible dans un monde contemporain, du coup la nécessité de faire évoluer ce personnage dans un monde dépourvu de civilisation s'est imposée. D'autant plus que cela permettait d'alléger les coûts de production car il est plus facile de faire tourner quelques acteurs sur une route déserte plutôt qu'au milieu d'une foule...

    D'un méchant à un autre

    Avant d'offrir le rôle de Max au charismatique Tom Hardy, interprète du terrifiant Bane, némésis de Batman dans The Dark Knight Rises, le réalisateur avait rencontré un autre comédien ayant incarné un ennemi du chevalier noir dans la trilogie de Christopher Nolan. Il s'agit de l'inoubliable Heath Ledger, incarnation du mal et du chaos absolu en la personne du Joker dans The Dark Knight. C'était il y a environ dix ans, le scénario était déjà bouclé mais la production n'avait pas encore rencontré les problèmes que l'on sait et qui allaient causer plusieurs reports du tournage. Et bien sûr, Heath Ledger était toujours parmi nous avant sa disparition brutale en 2008.

    Héritage

    La saga Mad Max aura été une oeuvre pionnière dans la représentation d'un monde post-apocalyptique. Elle a ainsi influencé de nombreux cinéastes tels que Kevin Costner avec Waterworld et Postman. On retrouve également son univers visuel dans des fictions comme La Route ou The Rover. Un blockbuster comme Terminator Renaissance s'en inspire également fortement.

    Hommage

    C'est aussi en étudiant le cinéma des pionniers et notamment le cinéma muet comme celui de Buster Keaton que le réalisateur George Miller a créé sa franchise en souhaitant rendre hommage à ces oeuvres très visuelles, pleines d'action et de courses poursuites.

    Budget

    Le budget de ce nouveau volet de la franchise est d'environ 100 millions de dollars. Ce chiffre équivaut au cumul des recettes du premier film de la saga qui n'en avait coûté que 100 000 à l'époque !

    Du neuf avec du vieux

    Bien qu'il s'agisse d'un reboot, George Miller a néanmoins voulu rendre hommage à sa trilogie originale et a donc conçu le scénario de ce nouveau volet avec la même structure que Mad Max 2 : avec une course poursuite qui s'étale sur plusieurs jours et qui est considérée par les fans et la critique comme le meilleur de la saga.

    Le chien de Tom Hardy

    Tom Hardy possède un chien qui s'appelle Max.

    Nouveaux véhicules

    L'un des enjeux pour ce film a été l'innovation d'un grand nombre de véhicules avec un design totalement inédit dans l'univers de la franchise. Que ce soit les "voitures-perches", le "Giga Horse" d'Immortan Joe ou le "War Rig" de Furiosa, le personnage interprété par Charlize Theron. Et bien sûr, afin de rendre encore une fois un hommage appuyé à la saga d'origine, la légendaire Interceptor effectue un caméo au tout début de ce quatrième volet.

    Conditions météo

    Bien que le fait de tourner dans un désert permet de disposer d'un décor très vaste et très beau, il présente tout de même quelques inconvénients pour l'équipe de tournage, comme le fait de passer très rapidement d'une température glaciale à brûlante ou encore de constamment protéger le matériel technique (caméras, véhicules etc...) d'un environnement particulièrement corrosif avec du sable et du sel.

    Influence musicale

    George Miller aime comparer son cinéma, très physique et visuel, à de grands spectacles musicaux : ″Pour moi, les films d’action sont comme une sorte de spectacle musical mis en images, et Fury Road se situerait entre le concert de rock et l’opéra (...). Mon souhait est de faire décoller le public de son siège, de l'entraîner dans une chevauchée chaotique et mouvementée, et qu’au passage on apprenne à connaître ces personnages et les événements qui les ont amenés à vivre cette histoire″.

    Fast and Furious

    Selon le scénariste Nick Lathouris, la fascination du metteur en scène George Miller pour la culture automobile provient de ses origines australiennes où cette dernière est particulièrement implantée, mais aussi de son expérience comme jeune médecin : ″George a soigné des jeunes ayant été victimes d’horribles accidents de la route, et plutôt que de prendre tout ça au sérieux, les gens ont tendance à s’en vanter et à en parler surtout si la victime a été grièvement blessée ou est morte. En tant que médecin, il avait le sentiment d’avoir seulement éraflé la surface d’un problème bien plus important et cette histoire était un moyen pour lui de l’aborder en profondeur″.

    Une production épique

    Cette quatrième aventure de Max Rockatansky a nécessité une organisation logistique particulièrement intense puisque le département artistique a dû créer pas moins de 150 véhicules pour les nombreuses scènes de courses poursuites. Le tournage dans le désert de Namibie était également très impressionnant puisque pour les séquences les plus complexes, il y avait jusqu'à 1700 techniciens sur le plateau dont 1000 d'entre eux étaient présents en permanence : "C'était une véritable ruche, et on ne s'installait jamais à un endroit pour longtemps (...). Nous avons dû déplacer notre QG – d'une superficie équivalente à trois terrains de football – six fois en quatre mois".

    Evolution technologique

    Pour ce nouveau volet, l'équipe technique a pu bénéficier d'une évolution technologique sans précédent et a ainsi pu rendre les scènes d'action plus spectaculaires qu'elles ne l'avaient jamais été dans toute la saga : ″Avec Fury Road, on avait l'occasion de mieux restituer l'échelle et l'énergie de cet univers en bénéficiant des dernières technologies. On a pu installer des caméras là où ne pouvait pas le faire auparavant, et les faire évoluer grâce au formidable système Edge Arm. Si une bataille avait lieu sur une voiture, on harnachait les acteurs avec des câbles, puis on les effaçait numériquement. Quand on voit Max suspendu la tête en bas entre deux véhicules, il s’agit bien de Thomas Hardy. Quand Furiosa s’accroche à lui, il s’agit bien de Charlize Theron et de Tom. Et quand on voit Nux grimper à l’avant d’une voiture, il s’agit de Nicholas Hoult″.

    Chaos

    George Miller a souhaité plonger le public dans un monde où ne régnerait plus que le chaos, où l'économie mondiale se serait effondrée, où l'eau et la nourriture manqueraient, comme il a pu en témoigner : "Se projeter dans un futur dystopique aussi effroyable revient à se projeter dans un passé quasi médiéval. Les gens se contentent de survivre. Il n’y a plus de dignité et très peu de place pour l’empathie ou la compassion. Cela donne une hiérarchie très clairement marquée, avec des puissants sans morale qui dominent les masses. Et c’est dans cet univers que débarque Mad Max, qui essaye simplement d’échapper à ses démons″.

    Référence mythologique

    Le personnage de Max interprété par Mel Gibson est devenu une icône qui a traversé l'histoire du cinéma de la fin des années 70 jusqu'à nos jours. Pour son créateur, ce phénomène est dû au fait qu'il s'est inspiré d'un "archétype classique de la mythologie (...). Au Japon, ils appellent Max un Ronin, un Samouraï solitaire. En France, ils ont vu le film comme un western 'motorisé' et Max comme le ′lone gunslinger′, le vengeur solitaire. En Scandinavie, certains ont dit que Max leur rappelait un guerrier viking solitaire qui erre dans la nature sauvage″.

    De l'énergie à revendre

    Si George Miller a souhaité engager Tom Hardy pour reprendre le rôle de Max, c'est en raison de l'énergie et de l'imprévisibilité que ce dernier peut dégager. Ce qui rappelait notamment au cinéaste, sa première rencontre avec Mel Gibson : ″Il possède un charisme paradoxal, et cela fait de lui quelqu’un de fascinant à regarder (...). Tom peut être accessible et en même temps mystérieux, il sait être dur et en même temps vulnérable″.

    Réinventer Max

    C'est en écoutant le réalisateur lui expliquer sa vision des choses que Tom Hardy a compris qu'il n'était nullement nécessaire de se réapproprier le personnage tel que Gibson l'avait créé il y a trente ans, mais de le réinventer : ″Le Max de Mel est légendaire. Mais quand George m’a demandé de jouer ce personnage, je me suis mis à travailler avec lui pour transformer Max afin qu’il corresponde aux événements de ce film. C’est une histoire brillante et jouer ce rôle un grand honneur″.

    Passage de flambeau

    Tom Hardy a pris le temps de contacter Mel Gibson pour l'informer de l'avancement du projet : ″On a déjeuné ensemble et tout s’est bien passé : il a accepté de passer le relais″.

    En solitaire

    Dans cette réinvention du mythe, le personnage de Max Rockatansky est un vétéran d’une guerre du désert, essayant de survivre solitairement et ayant renoncé à s’attacher car, pour lui, nouer des liens d'amour et d'amitié ne peut qu'être source de souffrance dans un monde hostile : ″Max est un type qui veut juste rentrer chez lui mais qui n’a plus de foyer. Il n’y a plus pour lui que silence, douleur et destruction. Il vit dans un univers dépourvu d’humanité, mais il la recherche toujours. Pourtant, les relations humaines coûtent très cher dans ce monde (...). Il a vu pas mal d’horreurs et il a perdu tout ce à quoi il tenait (...). Et bien que sa vie, par bien des aspects, ne vaille pas la peine d’être vécue, il continue de défier la mort. Il n’est pas prêt à mourir avant d'obtenir réparation, dans une certaine mesure, de tout ce qui lui a été enlevé″.

    Honneur aux Dames

    Ce nouvel opus marque l’arrivée d’un nouveau personnage féminin très attrayant en la personne de Furiosa, interprétée par Charlize Theron, une guerrière qui va aider cinq jeunes filles esclaves à s'échapper des griffes d'Immortan Joe et qui va donc provoquer la longue course poursuite du film. Pour la comédienne, il s’agit d’un des personnages les plus marquants qu’elle ait eu à interpréter : "C’est une anti-héroïne dans sa définition la plus classique (...). Elle est animée par des sentiments on ne peut plus humains. Au départ, je pense que ce qui la décide, c’est qu’elle en a assez de se sentir inutile en tant que femme dans un monde où celles-ci sont réduites à leur fonction reproductrice".

     

    D'égal à égal

    Les deux personnages principaux peuvent être perçus comme deux alter égo car très solitaires, et ayant un lourd passé. La relation qui se noue entre eux est au coeur du film, comme Tom Hardy en témoigne : "Max et Furiosa ont des caractères très similaires et ils nouent une entente qui se passe de mots, ce qui est le propre de deux êtres très proches (...). Il ne s’agit pas d’une histoire d’amour, mais chacun se révèle au contact de l'autre, si bien qu’il est primordial qu’ils s’entendent et s’aident mutuellement à aller de l’avant."

    Honorer l'esprit humain

    L'univers du film étant plongé dans une atmosphère de désolation, l'équipe des accessoiristes a dû inventer un grand nombre d'objets qui puissent évoquer comment les survivants de l'apocalypse ont pu s'inspirer des créations de leur ancienne civilisation. Ainsi, les équipes artistiques ont pu construire des armes à partir de pistolets à peinture ou de marteaux-piqueurs qui, dès lors, ont été transformés en fusil ou en lance-flammes.

    Clin d'oeil

    Parmi les quelques références à la trilogie d'origine, on peut notamment voir la veste en cuir que Mel Gibson portait dans Mad Max 2. Celle-ci a toutefois été réinventée puis remise au goût du jour par le département des costumes, qui en a créé une nouvelle pour Tom Hardy.

    Comédiens-cascadeurs

    Environ 150 cascadeurs ont travaillé sur ce film et 65 d'entre eux ont pu jouer les membres de l'armée d'Immortan Joe, appelés les "War Boys". Ces derniers étant masqués et devant effectuer des prouesses athlétiques très importantes, il était préférable de ne pas attribuer ces nombreux rôles à de simples comédiens et/ou figurants.

     

    Maquillage

    Pour interpréter le rôle de Nux, Nicholas Hoult devait passer, chaque jour, près de deux heures en salle de maquillage avant de commencer à tourner. Charlize Theron, quant à elle, n'avait qu'à se couvrir le visage de graisse, ce qui ne lui prenait que quelques minutes. Comme elle passait beaucoup de temps à bord du véhicule de son personnage, elle y gardait une trousse de maquillage ainsi qu'un miroir de poche pour pouvoir faire, elle-même, de légères retouches entre deux prises.

    Authentique et numérique

    La Citadelle, lieu où règnent Immortan Joe et ses guerriers, est un mélange entre plusieurs constructions authentiques avec de fausses pierres et du sable, réparties entre le Namibie, Sydney et l'Afrique du Sud, ainsi qu'une création numérique pour les tours et les paysages environnants. La scène de la tornade qui balaie les véhicules, et que l'on peut notamment voir dans plusieurs bandes-annonces du film, a été réalisée entièrement en numérique.

    Double fonction

    Le masque aux dents de cheval porté par Immortan Joe remplit deux fonctions bien distinctes. L'une, pratique, qui est de filtrer l'air pollué et l'autre de lui donner une allure quasi divine. Le look du personnage n'est d'ailleurs pas sans rappeler celui du mercenaire Bane, interprété par Tom Hardy dans The Dark Knight Rises. Quant aux guerriers "War Boys", leurs masques font office d'allégeance à leur chef mais permettent également aux cascadeurs qui les interprètent de pouvoir passer d'un personnage à un autre et d'effectuer plusieurs cascades sans que le spectateur ne s'en aperçoive.

    Doublure En Avant

    Bien que Tom Hardy ait effectué lui-même bon nombre de ses cascades, sa doublure, Jacob Tomuri, est néanmoins présente à la place du comédien pendant une bonne partie du film et notamment au cours des scènes les plus dangereuses. Du coup, Tomuri a participé à la promotion du film au côté de la star principale.

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