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    There Will Be Blood
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    NotThatYouThink
    NotThatYouThink

    33 abonnés 255 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 septembre 2022
    Qu’il me déçoit ce “There Will Be Blood”, il a de nombreux points positifs qui en font un bon film sur la première heure et demi avec une excellente photographie, beaucoup de rythme et d'enjeux, un Daniel Day-Lewis qui se donne à 100%. Une réalisation réussie sur la forme, on s’aperçoit rapidement de la difficulté du forage, de trouver un gisement, acheter des terres et réaliser des expropriations, les erreurs techniques autour des puits, eux-mêmes reproduient avec fidélité, les morts par accident du travail, etc. Mais c’est moins bien quand arrive la seconde partie, spoiler: à la suite de l’accident de HW Plainview qui le rend sourd
    . Des longueurs s’installent, on suit la psychose d’un homme aveuglé par son entreprise et l’or noir. Il rejette tout ce qui pourrait lui nuire, spoiler: même son fils adoptif
    . Mais il n’est pas le seul à être entraîné dans sa chute. La seconde partie du film fait perdre tout l'intérêt de ce qui a été construit au départ, spoiler: un clap de fin qui résume la folie d’un homme complètement perdu par son avarice
    . J’ai du mal à voir où Paul Thomas Anderson veut en venir avec cette réalisation. Dans l’ensemble, l’inertie est lente, je le recommande aux spectateurs patients.
    gregoire s.
    gregoire s.

    27 abonnés 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 septembre 2022
    There Will Be Blood raconte l’histoire de la quête du pétrole aux États-Unis dans les années 1900, et les vices qu’une fortune basée sur cette ressource peut entraîner.
    Daniel Plainview, joué par Daniel Day-Lewis, finit par trouver l’or noir et pense enfin être comblé, mais c’est finalement le début d’une descente lente et profonde vers la misère sociale qui commence, et la fin des relations saines qui pouvaient autrefois le lier au reste du monde. Ce film est une introspection sur les relations humaines et l’impact du vice provoqué par la quête perpétuelle de bonheur par l'argent.
    La photographie, contrastée par l’orange de la terre et le noir du pétrole, est tout simplement magnifique.
    L’histoire, de son côté, remet en question toute une société et l’interconnectivité entre tous ses acteurs (le cercle familial, amical, professionnel, religieux, ….), société qui fait toujours écho à celle d’aujourd’hui.
    La magnificence du film passe par le prisme des acteurs. Daniel Day-Lewis est peu prolifique, il choisit ses rôles avec soin et s'imprègne complètement de ses personnages pour constamment livrer une performance qui dépasse l’entendement, et c’est une fois de plus le cas. Ses expressions faciales, sa gestuelle, tout est un témoin visuel de l'avancement de l’état du personnage, mental et physique.
    Paul Dano de son côté, est effrayant. Effrayant d’abord dans la façon dont il incarne son personnage, qui ajoute une dimension très particulière au film. Effrayant ensuite et surtout dans la qualité de son jeu, qui si jeune arrive à produire des performances déjà d’anthologie.
    Quelques longueurs tout de même, engendré par le côté plus psychologique du film et la nature de l’histoire.
    Le film reste tout de même un monument du cinéma, ce chef d’œuvre est à voir sur grand écran : 5/5.
    Isaac
    Isaac

    4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 août 2022
    Daniel Day-Lewis est absolument parfait. Paul Dano rajoute une couche, avec un jeu tout aussi impressionnant. Je n'ai pas eu la sensation de voir un film, je pensais lire un roman. Le genre de roman qui te fait rater deux ou trois stations de métro. Je pense sans exagérer qu'il est difficile, voir impossible d'atteindre un tel niveau encore une fois.
    Sandy06
    Sandy06

    5 abonnés 107 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 juillet 2022
    J'attendais ce film avec impatience. Je pensais voir une grande fresque de l'Ouest Américain : une grande Saga familiale sur plusieurs générations. Mais RIEN. Quelle déception ! On voit Daniel Day-Lewis dans chaque plan. Tout repose sur ses épaules. Pas de rôle secondaires. Très peu de dialogues. Pas vraiment de scénario. Des longueurs à s'endormir.... Et une musique de fond insupportable. En fait, ce n'est pas de la musique, ce sont des sons électroniques anxiogènes qui ressemblent à des bruitages de documentaires débiles de la TNT : ça m'a sérieusement tapé sur le nerfs et ça m'a complètement gâché le film. A fuir !
    Lucas De Lorenzi
    Lucas De Lorenzi

    3 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 juillet 2022
    Fresque retraçant l'avènement de l'industrie pétrolière familiale. Les quelques longueurs se font rapidement oubliées par la force de ce drame mêlant religion, famille, argent, solitude. Magnifique interprétation de Lewis qui ne laisse pas indemne.
    maxime ...
    maxime ...

    204 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 février 2022
    There Will Be Blood est le chef d'Œuvre de Paul Thomas Anderson ! Il y'a des constats nettement plus difficiles à décelés que celui-là, c'est vrai ... Bon, on rigole un bon coup, et on reprend. Alors, oui, le cinquième des films de la filmographie du cinéaste est à n'en pas douter, l'un des plus dingues de la décennie. De tous, une influence de l'époque.

    Un film qui se construit sur sa durée, dans le temps, qui à l'ambition de dépeindre tout un paysage, un portrait, au sens large le monde qui l'entoure. Je pourrais tartiner sur son introduction quasi muette, de ce type plongée dans sa solitude, de sa chute, de sa jambe brisé, tout tiens déjà à cet instant ... L'entrée en matière donne donc le ton, elle est sublime, sa suite l'est encore d'avantage. Les scènes s'additionnent et creusent le sillon des tourments de Daniel et de son entourage restreint au possible, à ses désirs, dans la souffrance de sa perception édifiante de l'humanité. L'embrassement de la station de forage et l'accident de H.W est pour moi le moment de la bascule ultime, celle du choix, la vérité est frappante, horrible et prodigieuse. Toute la parenthèse avec Henry m'a aussi complètement bouleversé, les choix tous plus audacieux les uns que les autres dans la mise en scène d'Anderson n'y sont pas pour rien. En mot, ou en images, c'est bien là qu'il ose tout et actionne la marche forcée. Il y'a bien sur cette d'autres déclics, les confrontations avec la communauté ( son baptême ), ou auparavant ce déjeuner d'affaires qui dérape, et puis bien entendu ce double affrontement avec son fils puis avec son adversaire de toujours, Eli. Ce " I Finished " viens définitivement acté la postérité de ce long métrage. There Will Be Blood ne mens pas, il y'a du sang !

    Une petite impatience se cachait quelque part dans un coin de ma mémoire ce matin avant de me confronter à nouveau à ce film qui m'a tant apporté par le passé, une petite défiance vis à vis de mes souvenirs que j'aime beaucoup je dois dire. Une nouvelle fois j'ai été emporté par son lyrisme, par son jeu axée sur la terreur, par son mal qui ronge ... A bien des égards, There Will Be Blood me ramène à revoir mes gammes, à poursuivre les introspections, à réhausser mes vues sur un monde que je ne comprends pas assez, ou trop bien, c'est selon. Une expérience à la Kubrick, dans sa veine si je n'ose dire.

    Après ce petit interlude, j'aimerai revenir au plus près de ce film et notamment vers la démence de son acteur principal. Daniel Day Lewis trouve le moyen de livrer toute sa hargne au combat, il témoigne de la rage de son personnage pour le monde qu'il bâtit et détruit à la fois. La dualité est une force constante dans la composition de cet acteur qui se raconte au travers une filmographie finement calligraphié. J'en reviens à la postérité, Daniel Plainview entre dans le cercle. Daniel Day Lewis en est son visage, ses larmes, son sourire, sa démarche mais c'est bien au travers du cratère de sa folie que l'on ne peu oublier un tel " monstre " !

    Paul Dano quand à lui viens batailler contre ce dernier dans des habits trop petits, il est bluffant de vice, en tout point mémorable. La cruauté, la perversion et la brutalité de ses approches jette se froid latent mais que l'on sent tel un regard en traitre, la main sur ton épaule et l'autre dans le dos ... Dillon Freasier, Ciran Hinds ont eux aussi mon admiration. Le jeune garçon à un rôle prépondèrent dans cette Odyssée cauchemardesque, son sort viens remuer les tripes. La relation malsaine qui se tissent entre lui et son " bienfaiteur " rend fou à force de manigances, de coups du sort, de défiance en touts genres. Une ligne virtuose.

    La mise en scène de Paul Thomas Anderson vire du tout au tout dans la même beauté du geste en comparaison avec son film précédent. Il endosse un classicisme telle un menteur avec la bonne facette, il viens au fond taper dans le lard du plus confondent des académismes. Ses libertés esthétiques vont jusqu'à déniché Johnny Greenwood ! Ce dernier saisit la paranoïa, en fait sienne ses sombres œuvres, sort des notes qui ne sont que terrifie. Mention pour Arvo Part, toujours bon à venir accoler à la pure aliénation.

    Je viens de finir son visionnage il y'a une heure, huit ans après le dernier. J'en ressent encore toutes les vibrations, ses turpitudes vont me poursuives pour toute la journée à venir, seul les meilleurs films savent autant perturber les consciences, bouffent une partie de celle-ci et nous habite peut importe le décalage de la montre ou de la boussole. Un film Totem, une référence insoluble à cette échelle.
    Chaîne 42
    Chaîne 42

    105 abonnés 2 935 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 janvier 2022
    Affreux, ce film est simplement affreux. Il y a toute une histoire mais rien de bon. Entre une musique hideuse et de la violence totalement gratuite, on suit un personnage qui est fou, arriviste, méchant, mauvais. La monstration de l'ignominie du monde n'est pas un spectacle réjouissant, ni utile, ni recommandable et il est serait ou est étonnant de considérer que cela peut rendre meilleur.
    SB88
    SB88

    15 abonnés 1 056 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 janvier 2022
    Sentiment partagé. Les acteurs sont parfaits, le casting aussi. L'histoire me plaisait énormément au début et je suis arrivée dans ce film par la musique. Le problème ? Cette composition pas du tout raccord avec le scénario. On s'attend à de la tention, à des scènes affreusement sanglantes, à un personnage malveillant. Finalement, l'image n'est pas en cohérence et à la hauteur de toutes ces tensions !!!
    Le film en lui-même est bien dans la psychologie des personnages
    3,6/5
    Michel Rasquin
    Michel Rasquin

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 décembre 2021
    Film anti chrétien par excellence, une œuvre cinématographique obscure et talmudique.
    Le début commence bien , avec un thème hyper intéressant : le pétrole.
    Mais le milieu et la fin du film sont laids.
    J'ai regretté de voir ce film malsain et violent ou spoiler: l'on tue un prêtre, heureusement que ce n'était pas un rabbin ou un homosexuel à la place
    AdriBrody
    AdriBrody

    7 abonnés 566 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 décembre 2021
    There Will Be Blood est un film bien écrit, bien réalisé, les acteurs y sont bons (Paul Dano quel putain d'acteur vraiment), tout l'ensemble est vraiment correct mais il y a un défaut de taille. C'est beaucoup trop long. Le film met un temps long à se lancer et une fois qu'on est dedans, il y a encore trop de passages inutiles. A 30 minutes près, c'aurait pu être un excellent film, mais il ne peut rester à ce stade qu'à l'état de film correct qui réussit ce qu'il tente, hormis sa longueur.
    Fibroptica
    Fibroptica

    2 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 octobre 2021
    Souvent pour parler d'un film marquant il faut laisser passer quelques années. Mais là pour ce "There will be blood", Paul Thomas Anderson fait le tour de force de rendre son film classique dès le premier visionnage. Dans ce film qui nous dresse la représentation de la construction d'une nation à travers un chef d'entreprise de forage pétrolier, nous voyons les prémices de ce que fera la nation américaine dans le futur. Ainsi les thèmes de la religion, du capitalisme et des premiers pionniers qui ont maintenant domestiqué cette terre sauvage, qui était dans le passé encore indompté, comme nous pouvons le voir dans les westerns classiques. Effectivement les thèmes sont dans la continuité du genre, ici point de pistolet ni d'Indien, mais toujours la même violence qui oppose les Hommes entre eux.La mort demeure omniprésente, et les plus forts imposent leurs lois sur les plus faibles, soit par l'argent, par la force, la ruse (les mensonges des personnages) ou par la peur (ici divine).
    Dans ce film la prestation de Paul Dano est marquante mais elle passe presque au second plan, tant celle de Daniel Day-Lewis est magistrale, je pense que dans ce film nous pouvons presque comparer sa performance à celle de Jack Nickolson dans "Shining", tant j'ai oscillé entre l'effroi et l'admiration. Un chef-d'oeuvre du XXe siècle, un film qu'il faut avoir vu absolument !
    Shiba Otoko
    Shiba Otoko

    36 abonnés 244 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 juillet 2021
    Film sombre, très pessimiste sur la nature humaine, qui ne serait formée que d'hypocrites ou de motivés par le seul appât du gain. Il faut saluer l'interprétation remarquable de l'acteur principal, avec son personnage de cynique provocateur poussant son art très loin; il compose un méchant d'anthologie.
    Thibault D.
    Thibault D.

    1 abonné 94 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 mai 2021
    À l'image du pétrole prêt à jaillir de terre, le long métrage est bouillonnant. Et ce en majeure partie par les acteurs, la prestation de Daniel Day Lewis est mémorable. Un homme, un père ignoble mais dont l'histoire nous fascine. Sa dernière réplique, "j'ai fini", traduit un enfant pourri gâté, la dernière scène du film nous présente sa folie au plus haut point. La révélation qu'il fait à son fils en fin de film renforce le dégoût ressenti à son égard. Paul Dano montre qu'il est un excellent acteur à travers un rôle formidable représentant la religion, montrée comme une secte, s'opposant à la logique industrielle et économique du monde du pétrole. Ensuite, le film est doté d'une mise en scène irréprochable dont seuls les grands maîtres réalisent. Le grand angle vient sublimer les plans larges majestueux à couper de souffle. Le film est très lent, que ce soit dans l'avancée du récit ou les mouvements de caméra, cette lenteur peut être un défaut pour le ressenti de longueurs, mais elle est surtout prise comme une force inégalable. À cela s'ajoute aussi la sublime bande originale de Jonny Greenwood, composée de sons de cordes claustrophobiques et angoissants afin d'accentuer sur les malaises provoqués par le film. Pour conclure, je dirai qu'il s'agit donc d'une expérience puissante dirigée par un Paul Thomas Anderson au sommet de son art. Un pilier de cinéma epic, à voir.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 647 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 avril 2021
    Quel message sommes-nous censés tirer de There Will Be Blood. Que les barons du pétrole et les faux évangélistes ne sont pas des gens sympathiques qui l'aurait donc cru. Les acteurs et les réalisateurs prétentieux d'Hollywood non plus qui pensent que nous donner une morale fictive à la cuillère et crier devant la caméra et ils sont en quelque sorte dignes d'éloges. La plupart des gens n'ont pas lu le roman mais permettez-moi de vous dire ce qui suit. Le fils H.W. connu sous le nom de Bunny dans le livre est le vrai fils de Plainfield et il ne devient jamais sourd. Il n'est pas orphelin et voit sa mère régulièrement. Le père Plainfield ne tue personne de sang-froid. Eli ne joue pas un rôle majeur dans quoi que ce soit et le fils n'est jamais renvoyé. Le père et le fils ne se battent pas dans le livre. Plainfield n'est pas un homme mauvais mais un capitaliste prospère qui se soucie de ses ouvriers de leur vie et de celle de leur famille parce que c'est dans son intérêt. Bunny lui est un sympathisant syndicaliste qui dépense l'argent de son père pour renflouer ses amis socialistes pro-syndicats et qui sèche les cours à l'université privée qu'il fréquente et qui a des relations sexuelles avec des stars de cinéma et d'autres femmes riches. Ce n'est qu'un avant-goût de la façon dont le film s'éloigne du livre. Encore une fois c'est un mauvais film qui a pris des parties très vague d'un grand livre et les a transformées en une chose qui glorifie le mal et la mort et les lie au pétrole dans le but de protester contre les temps modernes. Mais ce film poignant et opportun est-il en quelque sorte digne d'un Oscar. Non car c'est un autre exemple où Hollywood nous dit comment nous devrions penser...
    Ricco92
    Ricco92

    186 abonnés 2 098 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 mars 2021
    Si la ruée vers l’or a marqué les Etats-Unis du XIXème siècle, ceux du XXème sont sûrement plus influencés par l’exploitation de l’or noir, à savoir le pétrole. C’est cette thématique qui est au cœur de There will be blood. Dans cette œuvre, Paul Thomas Anderson se concentre sur le parcours d’un exploitant qui ne part de rien et qui arrive à devenir riche grâce à cela. Le moins que l’on puisse dire est que le cinéaste n’est pas tendre avec son personnage principal. Celui-ci s’avère effectivement détestable mais on arrive tout de même à se passionner par son évolution notamment grâce à l’excellente interprétation d’un Daniel Day-Lewis dont le jeu fait penser régulièrement au style de Robert De Niro. Cette gageure est d’autant plus grande que ce protagoniste n’est pas le seul être peu appréciable du film spoiler: : le faux frère Henry ou Eli, le prophète du village, ne sont pas plus spécialement appréciable
    . Si Anderson réussit malgré tout à accrocher le spectateur, c’est grâce à la qualité de son scénario très sombre et d’une réalisation constituée de plans parfaitement composés et n’hésitant pas à prendre des risques (le premier quart d’heure sans parole). Plongée sans concession dans la face obscure des débuts de l’exploitation pétrolière américaine, There will be blood est une œuvre où la qualité se trouve à tous les niveaux.
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