London Evening Standard (Derek Malcolm)
Une grande histoire d’amour comme celle-là se devait d'être racontée avec la sensibilité appropriée pour tenir debout. Et Patrice Leconte, réalisateur expérimenté de classiques du cinéma français comme Monsieur Hire, sait exactement ce qu’il fait. Il en va de même pour Rebecca Hall, qui campe une femme fidèle envahie par la passion en évitant au film de tomber dans le cliché.
Lire la critique
The New York Times (Roderick Conway Morris)
Quel dommage que ce film réalisé et interprété avec talent ne soit pas en compétition (…) Le triangle amoureux est exploré avec une infinie délicatesse.
Lire la critique
Levif (Jean-François Pluigers)
S'appuyant sur un trio d'acteurs exemplaire, Patrice Leconte signe un drame romantique classique, déclinant la figure du triangle en mode inspiré à défaut d'être franchement original.
Lire la critique
The Hollywood Reporter (David Rooney)
Une Promesse n’est pas tout à fait un de ces embarrassants euro-puddings si nombreux jadis, mais c’est presque pire : le film est tout simplement ennuyeux. Il y a si peu d’étincelle entre Hall et Madden qu’on n’a aucune raison de s’inquiéter de savoir si leurs personnages finiront ensemble.
Lire la critique
Variety (Justin Chang)
Emmené par les prestations ternes des trois comédiens, ce film maladroit et dénué de passion ne véhIcule ni la sensualité ni l’impression de désir durable qu’exigeait ce film d’époque autour d’un jeune secrétaire qui tombe amoureux de la femme de son patron.
Lire la critique
ThePlaylist (Oliver Lyttleton)
Leconte n’a jamais été le plus avant-gardiste des cinéastes, mais A promise est si dépourvu de tout ce qui pourrait s’approcher d’une audace que c’est comme si on regardait une sphère beige pendant environ 90 minutes –et ça parait même plus long.
Lire la critique
La bande-annonce du précédent film de Patrice Leconte, "Le Magasin des suicides"