Avis aux amateurs d'horreur ! Organiser une nuit de la peur pour vous et vos amis, c'est possible grâce à ce dossier qui vous aide à concocter votre programme à travers quarante thématiques... Attention, ce dossier est non-exhaustif : nous avons dû faire des choix... Certaines images peuvent par ailleurs heurter la sensibilité des lecteurs, notamment les plus jeunes.
Arachnophobie de Frank Marshall (1990)
Le pitch - Au cours d'une expédition en Amazonie, un photographe est piqué à mort par une monstrueuse araignée qui s'introduit par la suite dans son cercueil. Elle est ainsi rapatriée en Californie...
Pourquoi le (re)voir ? Parce que c’est la première réalisation du producteur Frank Marshall (les sagas Indiana Jones et Retour vers le futur), et surtout qu’Arachnophobie porte bien son titre, puisque tout arachnophobe qui se respecte ne manquera pas d’être tétanisé par les nombreuses apparitions des bébêtes (originaires de Nouvelle-Zélande et d'Amazonie). A noter que le film est supervisé par un certain Steven Spielberg, qui joue les producteurs pour son ami Frank Marshall (d'où l'affiche du film, clin d'oeil à E.T. l'extra-terrestre ?).
C'est culte ! Le duel final, qui oppose l’Araignée à l’Homme, armé pour le coup d’un pistolet à clous…
L'anecdote qui tue - Arachnophobie est le premier film produit sous la bannière Hollywood Pictures, une branche du studio Disney destinée à proposer des productions plus adultes.
Arac attack de Ellory Elkayem (2002)
Le pitch - Les habitants d'une petite cité minière se retrouvent confrontés à une horde redoutable d'araignées géantes et affamées, des monstres à huit pattes résultant d'un déversement de déchets toxiques…
Pourquoi le (re)voir ? Parce que le film, porté par une jeune Scarlett Johansson, fait entrer les araignées dans l’ère de la CGI. Les monstres en images de synthèses sont certes maousses-costauds, mais criants de réalisme, et rendent un bel hommage aux séries B de monstres géants des années 50 (Des monstres attaquent la ville, Tarantula…).
C'est culte ! La course-poursuite entre araignées-sauteuses et champions de motocross…
L'anecdote qui tue - Le réalisateur, Ellory Elkayem d'origine néo-zélandaise, s'est fait remarqué d'Hollywood en 1998 pour son court métrage Larger than life. L'histoire était déjà celle d'une araignée géante qui terrorisait une femme dans sa maison. En 2001, il a enchaîné avec le téléfilm, They Nest, cette fois-ci sur de simples insectes.
Mimic de Guillermo del Toro (1997)
Le pitch - Pour juguler une épidémie propagée par des insectes, une scientifique manipule le code génétique de petites bêtes, créant ainsi une génération de clones qui détruit ses congénères. Trois ans plus tard, le remède a donné vie à une espèce mutante qui habite dans les sous-sols de la ville...
Pourquoi le (re)voir ? Parce que le film révèle un futur maître de l’horreur, Guillermo del Toro, déjà plébiscité pour son Cronos. Le cinéaste revisite ici le film d’insectes mutants en créant des cafards géants capables d’imiter l’être humain, qui hantent les couloirs du métro…
C'est culte ! La tentative de dialogue entre les créatures, équipées de mandibules, et un enfant, équipé de petites cuillères…
L'anecdote qui tue - Mimic devait être à l’origine un moyen métrage, intégré à un film à sketch fantastique. Il sera finalement rallongé et séparés des deux autres segments : le long métrage Impostor et le moyen métrage Alien Love Triangle.
Infestation de Kyle Rankin (2009)
Le pitch - Un jeune homme se réveille et se retrouve coincé dans un cocon géant au mur de son bureau. Après s'être aperçu que le monde était infesté d'insectes alien géants, celui-ci décide de rassembler des gens du peuple pour les combattre...
Pourquoi le (re)voir ? Parce que le film, qui aurait mérité d’aller plus loin dans le délire, propose tout de même une approche plus décalée qu’horrifique du "film d’insectes". Grâce notamment à Chris Marquette, révélé par Girl Next Door. Et grâce à un caniche mutant, aussi.
C'est culte ! La scène d’ouverture, assez réussie, qui ne manquera pas de rappeler The Mist aux fans de Stephen King…
L'anecdote qui tue - On retrouve au générique cette vieille ganache de Ray Wise, le papa de Laura Palmer de Twin Peaks.
Ticks attack de Tony Randel & Antonio Margheriti (1993)
Le pitch - Des tiques géantes et particulièrement agressives attaquent un groupe de jeunes gens parti pour une simple et paisible promenade en forêt.
Pourquoi le (re)voir ? Parce que se faire "sucer à mort" par une tique, c’est aussi drôle que répugnant… Après ce film, vous ne nettoierez plus jamais votre chien comme avant !
C'est culte ! La naissance d’une tique géante, sortie d’un corps humain qu’elle a dévoré de l’intérieur.
L'anecdote qui tue - Alfonso Ribeiro, LE Carlton du Prince de Bel-Air, est au générique ! Et il meurt salement, vraiment salement…
« Attention, ces images peuvent heurter la sensibilité du public »
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