Ana a l’âge où l’on peut enfin vivre pour soi. Après tant d’années passées sous le joug du père, du frère, du mari, elle vit sa vraie jeunesse, s’épanouissant dans une féminité enfin libérée. Elle nous transporte d’une époque à l’autre en évoquant les souvenirs d’une vie entre tabous, sentiment de culpabilité et désirs secrets.
Alors que ses parents viennent de se séparer, Eva prend ses distances avec sa mère et souhaite habiter chez son père, alors que celui-ci se comporte comme un grand adolescent qui se laisse déborder par la violence qui le traverse.
Dans un village reculé du Costa-Rica, une femme de 40 ans renfermée sur elle-même, entreprend de se libérer des conventions religieuses et sociales répressives qui ont dominé sa vie, la menant à un éveil sexuel et spirituel.
Dans les montagnes tropicales du Costa Rica, Domingo, qui a perdu sa femme, possède une terre convoitée par des entrepreneurs. Multipliant les actes d’intimidation, ils délogent les habitants les uns après les autres. Mais Domingo résiste car cette terre referme un secret mystique.
Selva (13 ans) vit dans une ville côtière des Caraïbes. Après la disparition soudaine de sa seule figure maternelle, Selva est la seule qui reste pour prendre soin de son grand-père, qui ne veut plus vivre. Elle se demande si elle aidera son grand-père à réaliser son désir...
L’anthropologue et cinéaste Carolina Arias Ortiz retourne au Costa Rica, où elle a passé son enfance. Elle rend visite à son père dont elle s’était éloignée. Lorsque ce dernier apprend qu’il souffre d’un cancer du pancréas, la mort se rapproche soudainement. Au même moment, la réalisatrice rencontre l’archéologue Ifigenia Quintanilla, qui mène des recherches sur l’un des phénomènes culturels les plus célèbres du Costa Rica : les grandes sphères de pierre précolombiennes disséminées dans le paysage et les nombreux mythes qui leur sont associés.