Cyril Hanouna n'a pas du tout apprécié comment Quotidien a traité deux de ses invitées, et l'a clairement fait savoir lundi 27 mars 2023, en direct dans Touche pas à mon poste. Ce jour-là, l'animateur vedette de C8 recevait les deux influenceuses Polska et Tootatis, dont la participation à une manifestation contre la réforme des retraites fut moquée par l'un des chroniqueurs de Yann Barthès, Nicolas Fresco.
"Tout le monde a le droit de manifester et ce n'est pas parce qu'on a décolleté qu'on n'a pas d'avis sur ce qui se passe en France", a lancé Cyril Hanouna en guise de réponse aux moqueries de Quotidien sur ses invitées. "Franchement, ces vannes sont nulles à chier. J'ai envie de mettre des tartes quand je vois ça", a-t-il également ajouté.
Par la suite, l'animateur de Touche pas à mon poste s'en est directement pris à Yann Barthès et à son équipe en les qualifiant de "donneurs de leçon". "C'est sexiste au plus au point, c'est insupportable", a finalement conclu Cyril Hanouna, avant de laisser les chroniqueurs présents en plateau ce jour-là réagir sur le sujet.
Quotidien : la chronique de Nicolas Fresco qualifiée de "sexiste et misogyne" par Polska
Pour mémoire, c'est dans le cadre de la chronique de Nicolas Fresco, baptisée L'influencé, que ce dernier s'est allègrement moqué de Polska et Tootatis quelques jours plus tôt sur TMC. "Sans le son, on dirait plutôt qu'elles vont voir un match au Stade de France", a-t-il notamment lancé tout en diffusant une vidéo des deux jeunes femmes durant une manifestation contre la réforme des retraites.
Le chroniqueur de Yann Barthès a ensuite tenu à rappeler aux téléspectateurs de TMC que les deux influenceuses doivent en grande partie leur célébrité acquise sur les réseaux sociaux à une vidéo, où elles "se font recaler d'un restaurant pour un décolleté plus profond que le trou de la sécu".
Très remontée contre cette chronique qu'elle a qualifiée de "sexiste et misogyne", Polska avait répondu à Nicolas Fresco en publiant une vidéo sur les réseaux sociaux. "Au lieu de parler de l'acte en lui-même, vous vous êtes arrêtés à des faux ongles et à un décolleté", avait notamment déploré la jeune femme. L'influenceuse avait notamment reçu le soutien de la journaliste Rokhaya Diallo, mais aussi la députée de La France Insoumise Nadège Abomangoli.