Née au Soudan, Bakhita, encore enfant, est capturée par des marchands d’esclaves. Souvent frappée et violentée par ses maîtres, elle est ultimement revendue à un marchand vénitien, Federico Marin, qui l’emmène avec lui dans une petite ville italienne afin qu’elle prenne soin de sa fille Aurore, dont la mère est morte. Malgré les préjugés et les oppositions de toute sorte, Bakhita reste bonne et généreuse. Grâce au Père Antonio, curé de la paroisse, elle découvre la foi chrétienne et reçoit le baptême. Elle désire devenir religieuse, mais Federico Marin veut retourner vivre avec elle en Afrique…
Bakhita est morte en 1947 et sera canonisée le 1er octobre 2000 par le Pape Jean-Paul II.