Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Denver Post
Tout comme Alcatraz, A Gifted Man, Touch et d'autres drames intenses explorant l'éphémère à la suite de Lost, cette série joue avec les ruptures temporelles, les réalités imaginées et les versions alternatives de ce qui aurait pu ou n'aurait pas pu arriver. Ce n'est pas dans le genre de l'horreur comme The River, ou façon machination impossible à la Person of Interest car Awake est plus ancrée dans l'émotion humaine et dans une quête universelle de la compréhension. (...) Awake requiert plus d'attention qu'une série policière régulière et elle est moins concernée par l'étrangeté paranormale ou la science-fiction aux frontières du réel que les autres séries d'échappée. Mais elle explore un nouveau terrain sur la question des relations humaines avec une narration téméraire et des aspirations vaguement spirituelles.
La critique complète est disponible sur le site Denver Post
Los Angeles Times
Ce qui fait fonctionner Awake, c'est l'aspect poétique, ou même philosophique, des dessous de la narration. C'est une pensée expérimentale exprimée en drame, comme Un Jour sans fin l'était en comédie, et elle n'a pas besoin de logique. Les meilleurs éléments de l'intrigue sont personnels et intimes, avec un juste équilibre entre tristesse et joie, chagrin et soulagement, portes fermées et nouvelles possibilités (…) S'ils m'avaient demandé, je n'aurais pas fait de Michael un policier.
La critique complète est disponible sur le site Los Angeles Times
New York Times
Awake est un police procedural haletant qui se transforme en thriller psychologique dans lequel les rêves renferment des indices pour déceler la vérité. La série procure de façon astucieuse un sentiment de confusion. (…) Awake n'égale peut-être pas la brillante inventivité et l'étrangeté de la célèbre série de la BBC des années 1980, The Singing Detective, dans laquelle Michael Gambon incarnait un écrivain hospitalisé pour crises de délires qui s'enfermait dans l'illusion de vivre à la fois dans une comédie musicale et un film noir. La série reste cependant une œuvre remarquable. (...) En d'autres termes, Awake sort du lot.
La critique complète est disponible sur le site New York Times
Newsday
Le résultat est prometteur. Avec une interprétation de qualité combinée à un scénario ingénieux, Awake est une réussite, tant sur le plan intellectuel qu'émotionnel. Avant tout, il s'agit d'un puzzle destiné à vous faire vous remuer les méninges tout comme le héros, Britten. Par ailleurs, son deuil et la situation à laquelle il est confronté sont déchirants. C'est un homme qui, confronté à un dilemme (à savoir de qui sa femme ou son fils est en vie ou ne l'est pas), refuse de choisir, tout simplement parce qu'il ne peut accepter les conséquences qu'un tel choix impliquerait
La critique complète est disponible sur le site Newsday
San Francisco Chronicle
NBC a enfin trouvé sa série joker avec Awake pour maintenir le téléspectateur en haleine à la suite de la diffusion de ses comédies à succès, et pour remplacer Prime Suspect et The Firm qui avaient toutes les deux été des échecs (…) Awake, dont le tout premier épisode a été diffusé cette semaine, vous surprend, joue avec vos nerfs, vous émeut et vous fait même réfléchir. A l'instar d'un grand nombre d'excellents thrillers britanniques, l'histoire et les personnages évoluent sans précipitation afin que vous puissiez non seulement prendre le temps de vous habituer à ce concept complexe, mais aussi, élément essentiel, que vous puissiez éprouver l'envie de revenir semaine après semaine. (…) Les performances sont remarquables à presque tous les niveaux. Jason Isaacs est très convaincant en homme acceptant de partager sa vie entre deux mondes bien distincts l'un de l'autre, sans pour autant paraître fou. Allen, son épouse à l'écran, est à la fois touchante et vulnérable, et Dylan Minnette est d'une telle crédibitilité ! (…) Le show est un succès sur plusieurs points et donne la possibilité aux téléspectateurs de trouver leur bonheur dans cette série mystérieuse à souhait.
La critique complète est disponible sur le site San Francisco Chronicle
Pittsburg Post-Gazette
Awake traite du concept de deuil sérieusement, en dressant un portrait intelligent de la tristesse d'Hannah par rapport à la perte de son fils, et le désespoir de Rex face à la perte de sa mère. Britten semble moins frappé par cette peine car il n'en a perdu aucun, tant que les deux réalités continuent à s'alterner à chaque fois qu'il se réveille. Awake va-t-elle percer ? Qu'importe. Awake mérite de percer. C'est certainement une série qui vaut de rester éveillée [awake] pour la regarder
La critique complète est disponible sur le site Pittsburg Post-Gazette
The Hollywood Reporter
En dépit du buzz exceptionnel dont le drama de NBC Awake a pu bénéficier de la part de plusieurs critiques, cette série semble s'accompagner du message suivant : elle est trop compliquée pour le grand public. (…) On peut dire sans hésitation qu'elle installe un sentiment de confusion. Le public y trouvera des performances exceptionnelles, une écriture ingénieuse et un début un peu complexe qui pourraient être la promesse d'intrigues vraiment intéressantes. (…) Isaacs dresse à la perfection le portrait d'un homme en proie à deux terribles choix. Michael est assez intelligent pour savoir que si l'un des deux psychiatres venait à le pousser à "se réveiller", il perdrait sa femme ou son fils. Dans une certaine mesure, les meilleurs moments d' Awake résident dans les séances de Michael avec ses psychiatres B.D. Wong et Cherry Jones, qui sont superbes en thérapeutes. Des séances qui donnent lieu à des conversations illustrant à la perfection à quel point la situation de Michael peut facilement trouver une explication mais aussi à quel point elle est unique et peut être remise en question
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
USA Today
Personne ne veut retourner au coloriage à code de Diagnostic : Meurtre, hyper facile, mais de là à demander tant d'efforts à un public qui n'est pas récompensé en retour… Morose, sombre et de plus en plus confuse, voilà comment l'on peut qualifier Awake. Bien que ce ne soit pas la faute de la série, on la sent déjà poussée vers la sortie sans répondre aux questions qu'elle a soulevées. Ça peut sembler injuste, mais éveillé ou endormi, c'est ainsi qu'est la vie à la télévision.
La critique complète est disponible sur le site USA Today
Uncle Barky
Les spectateurs potentiels peuvent être complètement pardonnés s'ils fuient aussi vite que possible. Primo, la série semble bien trop compliquée. Secundo, elle sera de toute façon bientôt annulée par un network [NBC] qui a plus de pièces détachées qu'un tandem. (...) Sachez cependant qu'Isaacs est très bon dans le rôle principal. Et à la fin du premier épisode, une énergie galvanisante suit la déclaration totalement folle de Britten – à son thérapiste Lee – "c'est un prix que je payerai volontiers. Quand il s'agit d'en laisser partir un, je n'ai aucun désir de faire des progrès un jour." En d'autres termes, Hannah et son fils Rex sont désirés, mort ou vivant, par un inspecteur secoué et bouleversé qui pense qu'il ne peut faire face à la vérité. (…) La série envoie du punch quand même. Et Isaacs ne fait certainement pas que déambuler dans ce rôle unique
La critique complète est disponible sur le site Uncle Barky
Wall Street Journal
Un mystère élaboré est toujours fascinant, et là, épisode après épisode, on est à la recherche d'indices, d'un signe qui nous permettra de distinguer entre réalité et imagination. Ce qui rend Awake captivante toutefois, c'est le fait de savoir que si Michael apprend la vérité, il perdra soit sa femme, soit son fils pour toujours. (...) Comme si ce n'était pas assez compliqué pour une série, il y a plus: Michael travaille souvent sur un crime dans chaque réalité, et à un certain point ses vies alternatives commencent à se mélanger. Les indices vont être transversaux d'une affaire à l'autre. (…) Bien que d'une grande aide, cela attire des problèmes à Michael quand ses collègues vont se demander où est-ce qu'il obtient ces informations qu'il est le seul à connaître. Pourtant, voir Michael apprendre à exploiter ces connaissances transversales pour attraper des méchants peut être amusant.
La critique complète est disponible sur le site Wall Street Journal
Variety
Bien que meilleur que The Firm et plus intéressant que Prime Suspect, qui n'ont pas réussi à trouver leur place dans la case horaire du jeudi soir sur NBC, les épisodes initiaux ne sont pas vraiment de bon augure pour permettre à la série de durer, que ce soit dans ce monde ou dans un autre. (…) Ce qui semble être un concept audacieux est rapidement supplanté par cette volonté d'inscrire le show dans le domaine du cop show. Les questions sur la douleur liée à la perte d'un être cher et la façon de surmonter cette tragédie sont reléguées au second plan dès que la série s'engouffre dans le genre policier en se transformant en une sorte de "New York, Unité de l'Univers Parallèle". Sérieusement, ne peut-on pas vaincre une situation de crise en devenant comptable ou autre ? (…) Il semble évident qu'il faudra attendre encore longtemps avant d'avoir une explication. Une attente qui, trop longue, risque de ne pas donner à Michael et aux spectateurs entière satisfaction. (…) Awake apparaît tout de même comme une série pouvant mettre fin à la malédiction des séries diffusées le jeudi à 22h sur NBC et qui n'ont pas connu un grand succès (…) Peut-être qu'en définitive, Awake est en elle-même une sorte d'illusion, négligeant un environnement plus conventionnel au profit d'un environnement où on a l'impression que le risque est partout présent
La critique complète est disponible sur le site Variety
Washington Post
L'une des grandes tentations scénaristiques est de jouer sur le thème du "Et si ?", dont le principe repose sur la présentation d'une réalité alternative. Le danger ne se résume pas uniquement à tomber dans la science fiction, mais également dans le risque de sombrer rapidement dans l'ennui. C'est justement ce qui pose problème avec le nouveau police procedural psychologique de NBC, Awake : une fois que vous avez vu le début, vous en avez fait le tour et vous ne savez plus trop où aller (...) Il y a quelque chose de soporifique dans Awake. L'acteur britannique Jason Isaacs (Lucius Malfoy pour les fans d' Harry Potter et que ceux qui ont apprécié Brotherhood sur Showtime n'ont pas pu oublier) incarne Michael avec une attitude difficile à qualifier qui peine à captiver totalement l'attention de la caméra. Jones et B.D. Wong, à l'inverse, sont excellents en psychiatres parfois sinistres
Denver Post
Tout comme Alcatraz, A Gifted Man, Touch et d'autres drames intenses explorant l'éphémère à la suite de Lost, cette série joue avec les ruptures temporelles, les réalités imaginées et les versions alternatives de ce qui aurait pu ou n'aurait pas pu arriver. Ce n'est pas dans le genre de l'horreur comme The River, ou façon machination impossible à la Person of Interest car Awake est plus ancrée dans l'émotion humaine et dans une quête universelle de la compréhension. (...) Awake requiert plus d'attention qu'une série policière régulière et elle est moins concernée par l'étrangeté paranormale ou la science-fiction aux frontières du réel que les autres séries d'échappée. Mais elle explore un nouveau terrain sur la question des relations humaines avec une narration téméraire et des aspirations vaguement spirituelles.
Los Angeles Times
Ce qui fait fonctionner Awake, c'est l'aspect poétique, ou même philosophique, des dessous de la narration. C'est une pensée expérimentale exprimée en drame, comme Un Jour sans fin l'était en comédie, et elle n'a pas besoin de logique. Les meilleurs éléments de l'intrigue sont personnels et intimes, avec un juste équilibre entre tristesse et joie, chagrin et soulagement, portes fermées et nouvelles possibilités (…) S'ils m'avaient demandé, je n'aurais pas fait de Michael un policier.
New York Times
Awake est un police procedural haletant qui se transforme en thriller psychologique dans lequel les rêves renferment des indices pour déceler la vérité. La série procure de façon astucieuse un sentiment de confusion. (…) Awake n'égale peut-être pas la brillante inventivité et l'étrangeté de la célèbre série de la BBC des années 1980, The Singing Detective, dans laquelle Michael Gambon incarnait un écrivain hospitalisé pour crises de délires qui s'enfermait dans l'illusion de vivre à la fois dans une comédie musicale et un film noir. La série reste cependant une œuvre remarquable. (...) En d'autres termes, Awake sort du lot.
Newsday
Le résultat est prometteur. Avec une interprétation de qualité combinée à un scénario ingénieux, Awake est une réussite, tant sur le plan intellectuel qu'émotionnel. Avant tout, il s'agit d'un puzzle destiné à vous faire vous remuer les méninges tout comme le héros, Britten. Par ailleurs, son deuil et la situation à laquelle il est confronté sont déchirants. C'est un homme qui, confronté à un dilemme (à savoir de qui sa femme ou son fils est en vie ou ne l'est pas), refuse de choisir, tout simplement parce qu'il ne peut accepter les conséquences qu'un tel choix impliquerait
San Francisco Chronicle
NBC a enfin trouvé sa série joker avec Awake pour maintenir le téléspectateur en haleine à la suite de la diffusion de ses comédies à succès, et pour remplacer Prime Suspect et The Firm qui avaient toutes les deux été des échecs (…) Awake, dont le tout premier épisode a été diffusé cette semaine, vous surprend, joue avec vos nerfs, vous émeut et vous fait même réfléchir. A l'instar d'un grand nombre d'excellents thrillers britanniques, l'histoire et les personnages évoluent sans précipitation afin que vous puissiez non seulement prendre le temps de vous habituer à ce concept complexe, mais aussi, élément essentiel, que vous puissiez éprouver l'envie de revenir semaine après semaine. (…) Les performances sont remarquables à presque tous les niveaux. Jason Isaacs est très convaincant en homme acceptant de partager sa vie entre deux mondes bien distincts l'un de l'autre, sans pour autant paraître fou. Allen, son épouse à l'écran, est à la fois touchante et vulnérable, et Dylan Minnette est d'une telle crédibitilité ! (…) Le show est un succès sur plusieurs points et donne la possibilité aux téléspectateurs de trouver leur bonheur dans cette série mystérieuse à souhait.
Pittsburg Post-Gazette
Awake traite du concept de deuil sérieusement, en dressant un portrait intelligent de la tristesse d'Hannah par rapport à la perte de son fils, et le désespoir de Rex face à la perte de sa mère. Britten semble moins frappé par cette peine car il n'en a perdu aucun, tant que les deux réalités continuent à s'alterner à chaque fois qu'il se réveille. Awake va-t-elle percer ? Qu'importe. Awake mérite de percer. C'est certainement une série qui vaut de rester éveillée [awake] pour la regarder
The Hollywood Reporter
En dépit du buzz exceptionnel dont le drama de NBC Awake a pu bénéficier de la part de plusieurs critiques, cette série semble s'accompagner du message suivant : elle est trop compliquée pour le grand public. (…) On peut dire sans hésitation qu'elle installe un sentiment de confusion. Le public y trouvera des performances exceptionnelles, une écriture ingénieuse et un début un peu complexe qui pourraient être la promesse d'intrigues vraiment intéressantes. (…) Isaacs dresse à la perfection le portrait d'un homme en proie à deux terribles choix. Michael est assez intelligent pour savoir que si l'un des deux psychiatres venait à le pousser à "se réveiller", il perdrait sa femme ou son fils. Dans une certaine mesure, les meilleurs moments d' Awake résident dans les séances de Michael avec ses psychiatres B.D. Wong et Cherry Jones, qui sont superbes en thérapeutes. Des séances qui donnent lieu à des conversations illustrant à la perfection à quel point la situation de Michael peut facilement trouver une explication mais aussi à quel point elle est unique et peut être remise en question
USA Today
Personne ne veut retourner au coloriage à code de Diagnostic : Meurtre, hyper facile, mais de là à demander tant d'efforts à un public qui n'est pas récompensé en retour… Morose, sombre et de plus en plus confuse, voilà comment l'on peut qualifier Awake. Bien que ce ne soit pas la faute de la série, on la sent déjà poussée vers la sortie sans répondre aux questions qu'elle a soulevées. Ça peut sembler injuste, mais éveillé ou endormi, c'est ainsi qu'est la vie à la télévision.
Uncle Barky
Les spectateurs potentiels peuvent être complètement pardonnés s'ils fuient aussi vite que possible. Primo, la série semble bien trop compliquée. Secundo, elle sera de toute façon bientôt annulée par un network [NBC] qui a plus de pièces détachées qu'un tandem. (...) Sachez cependant qu'Isaacs est très bon dans le rôle principal. Et à la fin du premier épisode, une énergie galvanisante suit la déclaration totalement folle de Britten – à son thérapiste Lee – "c'est un prix que je payerai volontiers. Quand il s'agit d'en laisser partir un, je n'ai aucun désir de faire des progrès un jour." En d'autres termes, Hannah et son fils Rex sont désirés, mort ou vivant, par un inspecteur secoué et bouleversé qui pense qu'il ne peut faire face à la vérité. (…) La série envoie du punch quand même. Et Isaacs ne fait certainement pas que déambuler dans ce rôle unique
Wall Street Journal
Un mystère élaboré est toujours fascinant, et là, épisode après épisode, on est à la recherche d'indices, d'un signe qui nous permettra de distinguer entre réalité et imagination. Ce qui rend Awake captivante toutefois, c'est le fait de savoir que si Michael apprend la vérité, il perdra soit sa femme, soit son fils pour toujours. (...) Comme si ce n'était pas assez compliqué pour une série, il y a plus: Michael travaille souvent sur un crime dans chaque réalité, et à un certain point ses vies alternatives commencent à se mélanger. Les indices vont être transversaux d'une affaire à l'autre. (…) Bien que d'une grande aide, cela attire des problèmes à Michael quand ses collègues vont se demander où est-ce qu'il obtient ces informations qu'il est le seul à connaître. Pourtant, voir Michael apprendre à exploiter ces connaissances transversales pour attraper des méchants peut être amusant.
Variety
Bien que meilleur que The Firm et plus intéressant que Prime Suspect, qui n'ont pas réussi à trouver leur place dans la case horaire du jeudi soir sur NBC, les épisodes initiaux ne sont pas vraiment de bon augure pour permettre à la série de durer, que ce soit dans ce monde ou dans un autre. (…) Ce qui semble être un concept audacieux est rapidement supplanté par cette volonté d'inscrire le show dans le domaine du cop show. Les questions sur la douleur liée à la perte d'un être cher et la façon de surmonter cette tragédie sont reléguées au second plan dès que la série s'engouffre dans le genre policier en se transformant en une sorte de "New York, Unité de l'Univers Parallèle". Sérieusement, ne peut-on pas vaincre une situation de crise en devenant comptable ou autre ? (…) Il semble évident qu'il faudra attendre encore longtemps avant d'avoir une explication. Une attente qui, trop longue, risque de ne pas donner à Michael et aux spectateurs entière satisfaction. (…) Awake apparaît tout de même comme une série pouvant mettre fin à la malédiction des séries diffusées le jeudi à 22h sur NBC et qui n'ont pas connu un grand succès (…) Peut-être qu'en définitive, Awake est en elle-même une sorte d'illusion, négligeant un environnement plus conventionnel au profit d'un environnement où on a l'impression que le risque est partout présent
Washington Post
L'une des grandes tentations scénaristiques est de jouer sur le thème du "Et si ?", dont le principe repose sur la présentation d'une réalité alternative. Le danger ne se résume pas uniquement à tomber dans la science fiction, mais également dans le risque de sombrer rapidement dans l'ennui. C'est justement ce qui pose problème avec le nouveau police procedural psychologique de NBC, Awake : une fois que vous avez vu le début, vous en avez fait le tour et vous ne savez plus trop où aller (...) Il y a quelque chose de soporifique dans Awake. L'acteur britannique Jason Isaacs (Lucius Malfoy pour les fans d' Harry Potter et que ceux qui ont apprécié Brotherhood sur Showtime n'ont pas pu oublier) incarne Michael avec une attitude difficile à qualifier qui peine à captiver totalement l'attention de la caméra. Jones et B.D. Wong, à l'inverse, sont excellents en psychiatres parfois sinistres