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    The Newsroom (2012)
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    3,7
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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 7 août 2014
    Ca change du monde des hôpitaux, des flics et des experts de Miami NY ou d'ailleurs ! C'est prenant, palpitant, intéressant et basé sur des faits réels d'information.
    Très dur à suivre en VO par contre, tellement les dialogues sont longs et rapides.
    CeeSnipes
    CeeSnipes

    283 abonnés 1 708 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 octobre 2013
    La première saison de The Newsroom, attendue par tous les critiques, fut reçue plutôt vertement par ceux-ci, la trouvant trop prétentieuse et biaisée pour son propre bien. Qu’en était-il de cette deuxième saison ?

    Pour démarrer, on abandonne le format en one-shot pour s’intéresser à une grosse storyline, particulièrement passionnante, car assez inédite dans le monde de la série TV. Elle est d’autant plus remarquable qu’elle est assez inattendue et qu’elle parvient à faire quelque chose que très peu de séries arrivent encore à faire : surprendre son spectateur. Il est alors dommage que le ton de la série soit encore si prétentieux, comme si Aaron Sorkin s’écoutait parler plus qu’il n’écrivait une série. Il est compréhensible qu’il fasse passer ses idées à travers ce qu’il écrit, mais de cette manière, c’est par moments très fatigant. Certains personnages sont encore insupportables (Alison Pill, Grace Gummer…) et d’autres sont écrit n’importe comment. Celui de Jane Fonda, par exemple, est complètement idiot, avec les pires répliques des épisodes où elle apparaît. Les autres acteurs, cependant, sont excellents et on a le plaisir d’y voir Constance Zimmer et Stephen Root.

    The Newsroom a progressé. La série est bien moins agaçante et bien plus concentrée sur un point de l’Histoire récente des USA, ce qui la rend plus intéressante. On évolue dans le bon sens.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 31 octobre 2013
    Will McAvoy est de retour, et avec lui Aaron Sorkin et sa mission messianique consistant à terrasser le Tea Party à coup de tirades assassines et de montages vidéos.
    Pour sa 2ème saison, Newsroom reste un programme extrêmement plaisant, parfois vraiment passionnant, même si on se demande parfois si Sorkin sait vraiment dans quelle direction il veut emmener son bateau.

    Pour les réussites indéniables, les différents personnages sont toujours aussi agréables à voir évoluer, même quand ils se noient dans des romances pour le coup beaucoup moins passionnantes. Un aréopage de journalistes très "sorkiniens" : fougueux, excessifs, parfois irrationnels, mais tous animés d'un désir de faire le bien qui les rend irrémédiablement sympathiques. Et comme leurs dialogues sont écrits par le meilleur auteur d'Hollywood, tout cela passe comme une lettre à la poste pour ceux qui supportent un style plutôt naïf et bienveillant.

    Le grand thème de la saison est la limite à poser dans la guerre contre le terrorisme. Quand plusieurs sources rapportent à l'équipe un possible dérapage de l'armée au Pakistan, la machine s'emballe.

    Montée à contre temps, éclatée en plusieurs épisodes en partant de la fin, cet axe narratif est passionnant, quand il aborde à la fois la responsabilité du journalisme et le rapport toujours ambigu de responsables de presse avec leur pays, ce dernier leur demandant avant tout d'agir en tant que patriotes.

    La série continuant a suivre le fil temporel, on s'accroche aussi à des événements réels comme Occupy Wall Street, l'attaque de Bengazhi, et bien sûr les élections américaines de 2012... On voit donc avec un bonheur non dissimulé la série martyriser la droite américaine, qui n'avait jamais semblée aussi divisée et aussi ridicule que lors de cette élection.

    Malgré cela, le show se perd parfois dans ses propres couloirs. Comme dans ces love-stories pénibles et répétitives, ou dans cette virée en Afrique totalement hors sujet. Ou encore quand il s'intéresse uniquement à son présentateur, qui est loin d'être le personnage le plus intéressant de la troupe.

    Bref, un plaisir indéniable qui n'est pas encore devenu une grande série, ni dans la puissance d'évocation de "The West Wing", ni dans l'excellence absolue des dialogues et des thèmes de "Studio 60"
    Rendez-vous à la saison 3
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