Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Los Angeles Times
L'émerveillement suscité par Smash ne vient pas du fait qu'il s'agisse d'un Glee pour adultes (ce n'est d'ailleurs pas le cas) ou qu'elle repose sur les épaules d'une ex-American Idol, Katharine McPhee (bouclant ainsi la boucle) ou que le "show dans le show" - la comédie musicale sur Marilyn - pourrait légitimement se jouer sur les vraies planches de Broadway. Non, sa réussite vient du fait que sa créatrice, Theresa Rebeck, et son équipe ont su capter l'essence, la démesure et la magnificence d'une comédie musicale et à les diffuser à une échelle intime, celle de la télévision. Ou peut-être est-ce le contraire d'ailleurs. Toujours est-il que personne ne l'a fait avant eux. En tout cas récemment (...) A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire. Smash est un triomphe.
La critique complète est disponible sur le site Los Angeles Times
New Yorker
Avant même sa diffusion, Smash a divisé, destinée qu'elle était à décevoir certains téléspectateurs, soit parce qu'ils n'appréciaient pas du tout les comédies musicales, soit justement parce qu'ils les aimaient trop. Pour ma part, et j'espère pour la majorité (je souhaite que la série continue par-delà la première représentation du spectacle sur Marilyn), je considère que Smash réussit à combiner le plaisir d'American Idol et le petit monde de Broadway, plaçant ici ou là des mélodies imparables et privilégiant le fun à l'authenticité absolue. Et lorsque la série s'aventure dans des zones un peu plus profondes ou risquées ou qu'elle met en scène un numéro musical aussi impressionnant que la séquence finale du pilote ? Et bien c'est encore plus réussi.
La critique complète est disponible sur le site New Yorker
San Francisco Chronicle
A quel point Smash est réussie ? Tellement que vous ne pouvez vous empêcher de vous demander pourquoi personne n'y a pensé avant. La série est un savant mélange de mélodrame humain et de fiction réaliste sur la conception d'une comédie musicale, de la feuille de papier jusqu'au rideau de la soirée d'ouverture (...) En coulisses le mélodrame est bien présent, et il est traité avec un certaine génie aussi : de nombreux événements de la vie des protagonistes sont le reflet d'évenements, réels ou fantasmés, de la vie et de la carrière de Marilyn (...) Il y a par exemple un peu de Eve Harrington [ndlr : le personnage du film All about Eve] dans un des personnages secondaires de Smash. Mais bien entendu, les différentes facettes de Monroe se reflètent dans les différences et les similitudes des deux héroïnes, tellement désespérées de jouer dans la comédie musicale. Ivy ne veut pas être perçue comme un simple objet sexuel, mais elle sait que là réside son véritable atout. Karen est désespérément naïve, mais apprend vite, sur les réalités de Broadway. Peut-elle réussir sans se désillusionner complètement ? Et si elle se désincarne ainsi, en quoi cela va impacter son petit ami, Dev ?
La critique complète est disponible sur le site San Francisco Chronicle
The Hollywood Reporter
Après le sensationnel pilote, les épisodes suivants luttent pour dégager le bon équilibre entre "comédie musicale" et "drama", mais avec le 4ème, et l'avènement difficile du premier rôle du spectacle, Smash trouve enfin son rythme. La série décrit un monde vénéneux où les émotions affleurent au milieu de jeunes gens ambitieux rêvant de décrocher le succès. J'ai un coup de coeur pour Smash, et j'espère que la série saura le justifier.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
Time
[En son temps, M.A.S.H.] a démarré doucement. Mais la série avait réussi à trouver sa voix et son public. Smash réussit ce tour de force plus rapidement, sans pour autant à atteindre les cîmes de M.A.S.H., mais dès l'épisode 3 on sent poindre les premiers signes de l'addiction à un plaisir coupable, à l'image d'une autre nouveauté de la saison, Revenge (...) Le show incorpore de la musique, pas toujours sans douleur. Les chansons originales sont signées Marc Shaiman et Scott Wittman, reconnus pour leur travail sur Hairspray. Lorsqu'elles sont intégrées "organiquement", la série est une belle réussite. Une belle petite trouvaille permet d'ailleurs de mettre en parallèle régulièrement les chansons au stade de la répétition et leur futur résultat sur scène. Mais la série reprend également des chansons connues, et leur intégration semble parfois forcée. Combien de fois les protagonistes vont-ils devoir se retrouver à un karaoke afin de donner une excuse aux scénaristes pour intégrer ces chansons ? Malheureusement pour Smash, plus les épisodes se suivent, plus ces moments "à la" Glee deviennent artificiels. Les scénaristes ont intérêt à travailler un peu plus pour justifier ces numéros musicaux.
La critique complète est disponible sur le site Time
Time
Smash joue avec des stérétotypes bien connus: l'ingénue venue d'Iowa, la starlette sexy, le metteur en scène égotiste et j'en passe. La série parle de gens sophistiqués, ce qui ne veut pas dire qu'elle est animée par un sens de la narration sophistiquée. C'est d'ailleurs peut-être une des raisons pour lesquelles j'y trouve beaucoup de choses admirables, sans pour autant l'aimer, dans mes tripes.
La critique complète est disponible sur le site Time
Boston Herald
Peut-être qu'après tout The Playboy Club n'était pas si mauvaise. La chaîne NBC va tenter de sortir des tréfonds des audiences grâce à ce drama musical produit par Steven Spielberg et longtemps reporté et précédé d'une belle réputation. Vous allez vous surprendre à taper du pied en rythme, tout en vous demandant impatiemment si la série est animée par la moindre étincelle (...) Les chansons originales de Smash sont tout simplement oubliables, mais on ne peut s'empêcher de saluer la performance de Katharine McPhee.
La critique complète est disponible sur le site Boston Herald
Slant Magazine
Si Smash devient un hit, je suis prêt à prendre le pari que la comédie musicale au centre de l'histoire deviendra réellement un spectacle de Broadway. Je paierais joyeusement 75 Dollars pour un siège dans l'orchestre pour un tel spectacle. J'irais même jusqu'à 100 Dollars si cela pouvait ainsi m'éviter d'avoir à regarder la suite de la série. J'aimerais croire que la série va retomber sur ses pattes rapidement, je me demande aussi si le public va lui laisser le temps."
La critique complète est disponible sur le site Slant Magazine
Los Angeles Times
L'émerveillement suscité par Smash ne vient pas du fait qu'il s'agisse d'un Glee pour adultes (ce n'est d'ailleurs pas le cas) ou qu'elle repose sur les épaules d'une ex-American Idol, Katharine McPhee (bouclant ainsi la boucle) ou que le "show dans le show" - la comédie musicale sur Marilyn - pourrait légitimement se jouer sur les vraies planches de Broadway. Non, sa réussite vient du fait que sa créatrice, Theresa Rebeck, et son équipe ont su capter l'essence, la démesure et la magnificence d'une comédie musicale et à les diffuser à une échelle intime, celle de la télévision. Ou peut-être est-ce le contraire d'ailleurs. Toujours est-il que personne ne l'a fait avant eux. En tout cas récemment (...) A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire. Smash est un triomphe.
New Yorker
Avant même sa diffusion, Smash a divisé, destinée qu'elle était à décevoir certains téléspectateurs, soit parce qu'ils n'appréciaient pas du tout les comédies musicales, soit justement parce qu'ils les aimaient trop. Pour ma part, et j'espère pour la majorité (je souhaite que la série continue par-delà la première représentation du spectacle sur Marilyn), je considère que Smash réussit à combiner le plaisir d'American Idol et le petit monde de Broadway, plaçant ici ou là des mélodies imparables et privilégiant le fun à l'authenticité absolue. Et lorsque la série s'aventure dans des zones un peu plus profondes ou risquées ou qu'elle met en scène un numéro musical aussi impressionnant que la séquence finale du pilote ? Et bien c'est encore plus réussi.
San Francisco Chronicle
A quel point Smash est réussie ? Tellement que vous ne pouvez vous empêcher de vous demander pourquoi personne n'y a pensé avant. La série est un savant mélange de mélodrame humain et de fiction réaliste sur la conception d'une comédie musicale, de la feuille de papier jusqu'au rideau de la soirée d'ouverture (...) En coulisses le mélodrame est bien présent, et il est traité avec un certaine génie aussi : de nombreux événements de la vie des protagonistes sont le reflet d'évenements, réels ou fantasmés, de la vie et de la carrière de Marilyn (...) Il y a par exemple un peu de Eve Harrington [ndlr : le personnage du film All about Eve] dans un des personnages secondaires de Smash. Mais bien entendu, les différentes facettes de Monroe se reflètent dans les différences et les similitudes des deux héroïnes, tellement désespérées de jouer dans la comédie musicale. Ivy ne veut pas être perçue comme un simple objet sexuel, mais elle sait que là réside son véritable atout. Karen est désespérément naïve, mais apprend vite, sur les réalités de Broadway. Peut-elle réussir sans se désillusionner complètement ? Et si elle se désincarne ainsi, en quoi cela va impacter son petit ami, Dev ?
The Hollywood Reporter
Après le sensationnel pilote, les épisodes suivants luttent pour dégager le bon équilibre entre "comédie musicale" et "drama", mais avec le 4ème, et l'avènement difficile du premier rôle du spectacle, Smash trouve enfin son rythme. La série décrit un monde vénéneux où les émotions affleurent au milieu de jeunes gens ambitieux rêvant de décrocher le succès. J'ai un coup de coeur pour Smash, et j'espère que la série saura le justifier.
Time
[En son temps, M.A.S.H.] a démarré doucement. Mais la série avait réussi à trouver sa voix et son public. Smash réussit ce tour de force plus rapidement, sans pour autant à atteindre les cîmes de M.A.S.H., mais dès l'épisode 3 on sent poindre les premiers signes de l'addiction à un plaisir coupable, à l'image d'une autre nouveauté de la saison, Revenge (...) Le show incorpore de la musique, pas toujours sans douleur. Les chansons originales sont signées Marc Shaiman et Scott Wittman, reconnus pour leur travail sur Hairspray. Lorsqu'elles sont intégrées "organiquement", la série est une belle réussite. Une belle petite trouvaille permet d'ailleurs de mettre en parallèle régulièrement les chansons au stade de la répétition et leur futur résultat sur scène. Mais la série reprend également des chansons connues, et leur intégration semble parfois forcée. Combien de fois les protagonistes vont-ils devoir se retrouver à un karaoke afin de donner une excuse aux scénaristes pour intégrer ces chansons ? Malheureusement pour Smash, plus les épisodes se suivent, plus ces moments "à la" Glee deviennent artificiels. Les scénaristes ont intérêt à travailler un peu plus pour justifier ces numéros musicaux.
Time
Smash joue avec des stérétotypes bien connus: l'ingénue venue d'Iowa, la starlette sexy, le metteur en scène égotiste et j'en passe. La série parle de gens sophistiqués, ce qui ne veut pas dire qu'elle est animée par un sens de la narration sophistiquée. C'est d'ailleurs peut-être une des raisons pour lesquelles j'y trouve beaucoup de choses admirables, sans pour autant l'aimer, dans mes tripes.
Boston Herald
Peut-être qu'après tout The Playboy Club n'était pas si mauvaise. La chaîne NBC va tenter de sortir des tréfonds des audiences grâce à ce drama musical produit par Steven Spielberg et longtemps reporté et précédé d'une belle réputation. Vous allez vous surprendre à taper du pied en rythme, tout en vous demandant impatiemment si la série est animée par la moindre étincelle (...) Les chansons originales de Smash sont tout simplement oubliables, mais on ne peut s'empêcher de saluer la performance de Katharine McPhee.
Slant Magazine
Si Smash devient un hit, je suis prêt à prendre le pari que la comédie musicale au centre de l'histoire deviendra réellement un spectacle de Broadway. Je paierais joyeusement 75 Dollars pour un siège dans l'orchestre pour un tel spectacle. J'irais même jusqu'à 100 Dollars si cela pouvait ainsi m'éviter d'avoir à regarder la suite de la série. J'aimerais croire que la série va retomber sur ses pattes rapidement, je me demande aussi si le public va lui laisser le temps."