Une saison qui part un peu dans tous les sens entre allers-retours d'histoires d'amour extravangantes et intrigue autour de B613 qui n'en finit pas. Assez décevant bien que toujours plaisant à suivre. On perd un peu le fil des personnages.
Une saison 4 qui m’a fait totalement décrocher de la série ! Déjà je n’avais que moyennement apprécié la troisième saison mais j’ai trouvé cette quatrième saison sans intérêt. J’ai complètement décroché au milieu et pour moi, cette saison sera la dernière !
La meilleure (sûrement) saison de toute la série. Remplis de bouleversements, de renversement de situation, la traque familial Pope se poursuit et celui du B613 aussi. Un événement horrible bouleversant Olivia, va la transformer totalement. On observe donc une nouvelle facette de Olivia Pope très intéressante. Malgré l'omniprésence encore de ses nombreuses histoires d'amour un peu "nian-nian", ses "missions" au sein de son agence, elles, sont toutes captivantes, remplies de morales et de regards sur la société américaine face à ses minorités, communautés sociales... La série se dévoile de plus en plus sous un jour plus passionnant encore. Un vrai plaisir.
Malheureusement, je m'aligne avec les autres critiques... J'ai vraiment pas accroché avec cette saison. Le rythme des premiers épisodes me manque, ça traine en longueur. Je pense qu'il vaut arrêter maintenant, on a fait le tour. Les acteurs méritent un scénario à la hauteur de leur talent, ce qui n'était cette année, pas le cas. La seule chose qui m'a vraiment fait plaisir, c'est de revoir Portia di rossi qui c'était fait rare depuis ally mac beal.
un rapt de Olivia, peu convaincant, qui perdure bien trop longtemps, et qui même résolu est constamment remis en scène par flash blacks incessants... puis des petites affaires qui pullulent et qui se greffent sur l'affrontement père fille Pope, dont on ne verra (peut être) l'épilogue que dans l 'épisode de fin. Confus et récupérateur, loin de la qualité des trois premières saisons ! Et puis, Cyrus est maxi gonflant !!! Heureusement, Red assure parfaitement son rôle, et Portia de Rossa est éclatante :