Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Newsday
Once Upon A Time bénéficie d'une narration limpide et ce, même si elle passe sans cesse du monde réel à l'univers de conte de fées, dans lequel vivent de vraies fées, et c'est probablement un point à souligner considérant le fait que cette série a été créée par deux anciens scénaristes de Lost (...) La plus grande qualité de Once Upon A Time est son ambition; la série brille d'un éclat cinématographique, poussant les téléspectateurs à repenser le concept de "série". Au coeur du show bat une douce romance qui nous fait croire que les rêves peuvent devenir réalité.
TV Guide
Un seul épisode de Once Upon A Time ne suffit pas. Parfois un deuxième visionnage, ou tout simplement un second épisode, est nécessaire pour convaincre les sceptiques de donner sa chance à une série. C'est très exactement le cas de Once Upon A Time, aussi brillante que dangereusement délicate, ce qui m'avait fait dire à l'époque de sa première présentation: "Est-ce que ce conte ambitieux et fantastique sera le prochain Pushing Daisies, devenu culte aujourd'hui, ou le nouveau Eastwick, un bide immédiat ? Ce serait plus facile d'aimer la série si elle n'était pas aussi alambiquée et naïve." Puis ABC a fourni le 3ème épisode aux journalistes et j'ai été charmé et captivé, prêt à me plonger dans les chapitres suivants de ce conte de fées éclaté (...) Je suis résolument optimiste vis-à-vis d'ABC qui a retardé le lancement de la série d'un mois ce qui, grâce à une campagne de promotion massive et intelligente, finira par payer. Car il serait vraiment dommage que ce livre se finisse trop tôt.
Washington Post
Once Upon A Time est une série très riche mais intelligemment conçue, et elle plaira aux fans d'un fantastique soft, grâce au bon mélange d'intelligence, d'action et de romance
Variety
Le pilote a de l'allure, et il est difficile d'imaginer de meilleurs choix pour les rôles principaux que Goodwin et Parrilla. Les producteurs se sont également énormément amusés, y compris jusque dans des détails, comme les noms de certains personnages, les décors et les costumes. Cela étant dit, le second épisode pâtit d'effets spéciaux un peu légers, avec notamment des trolls ressemblant davantage à des hippies au mauvais caractère - ce qui ne correspond pas vraiment au standard du genre. Et si Vancouver est très jolie, la série va avoir besoin de bien plus de magie que ces seules forêts luxuriantes.
USA Today
Si Once Upon A Time bénéficie instantanément de notre familiarité avec ses personnages et leurs contes respectifs, il s'agit aussi de sa limite. L'intrigue semble en effet étriquée, et s'il est toujours possible d'y intégrer d'autres personnages de contes, ces derniers ne restent que des archétypes censés incarner une émotion bien précise, quel que soit l'angle emprunté, et cette émotion va dominer le personnage. Le casting repose sur de bons acteurs, mené par le toujours impeccable Robert Carlyle dans le rôle de Rumpelstiltskin. Mais la Reine incarnée par Lana Parrilla manque sa cible, ne ressemblant au final qu'à une garce de soap de bas étage quand elle devrait inspirer de la grandeur et de la méchanceté jouissive, du calibre de celle incarnée par exemple par Joan Collins ou Glenn Close. Il faut malgré tout féliciter ABC de tenter quelque chose de différent. Seulement la prochaine fois il faudra essayer plus fort. Faire mieux. Et plus court.
New York Daily News
Construire cette histoire autour de sous-intrigues et de petits rebondissements dramatiques successifs fait courir le risque à la série de se transformer en soap fantastique - alors que nous voulons simplement savoir si Blanche Neige et Emma vont vivre heureuses pour toujours. Les personnages de la série sont bien dessinés, et c'est une de ses qualité. Mais est-ce que nous aurons autant de patience que les 7 nains concernant le destin de Blanche Neige ?
Newsday
Once Upon A Time bénéficie d'une narration limpide et ce, même si elle passe sans cesse du monde réel à l'univers de conte de fées, dans lequel vivent de vraies fées, et c'est probablement un point à souligner considérant le fait que cette série a été créée par deux anciens scénaristes de Lost (...) La plus grande qualité de Once Upon A Time est son ambition; la série brille d'un éclat cinématographique, poussant les téléspectateurs à repenser le concept de "série". Au coeur du show bat une douce romance qui nous fait croire que les rêves peuvent devenir réalité.
TV Guide
Un seul épisode de Once Upon A Time ne suffit pas. Parfois un deuxième visionnage, ou tout simplement un second épisode, est nécessaire pour convaincre les sceptiques de donner sa chance à une série. C'est très exactement le cas de Once Upon A Time, aussi brillante que dangereusement délicate, ce qui m'avait fait dire à l'époque de sa première présentation: "Est-ce que ce conte ambitieux et fantastique sera le prochain Pushing Daisies, devenu culte aujourd'hui, ou le nouveau Eastwick, un bide immédiat ? Ce serait plus facile d'aimer la série si elle n'était pas aussi alambiquée et naïve." Puis ABC a fourni le 3ème épisode aux journalistes et j'ai été charmé et captivé, prêt à me plonger dans les chapitres suivants de ce conte de fées éclaté (...) Je suis résolument optimiste vis-à-vis d'ABC qui a retardé le lancement de la série d'un mois ce qui, grâce à une campagne de promotion massive et intelligente, finira par payer. Car il serait vraiment dommage que ce livre se finisse trop tôt.
Washington Post
Once Upon A Time est une série très riche mais intelligemment conçue, et elle plaira aux fans d'un fantastique soft, grâce au bon mélange d'intelligence, d'action et de romance
Variety
Le pilote a de l'allure, et il est difficile d'imaginer de meilleurs choix pour les rôles principaux que Goodwin et Parrilla. Les producteurs se sont également énormément amusés, y compris jusque dans des détails, comme les noms de certains personnages, les décors et les costumes. Cela étant dit, le second épisode pâtit d'effets spéciaux un peu légers, avec notamment des trolls ressemblant davantage à des hippies au mauvais caractère - ce qui ne correspond pas vraiment au standard du genre. Et si Vancouver est très jolie, la série va avoir besoin de bien plus de magie que ces seules forêts luxuriantes.
USA Today
Si Once Upon A Time bénéficie instantanément de notre familiarité avec ses personnages et leurs contes respectifs, il s'agit aussi de sa limite. L'intrigue semble en effet étriquée, et s'il est toujours possible d'y intégrer d'autres personnages de contes, ces derniers ne restent que des archétypes censés incarner une émotion bien précise, quel que soit l'angle emprunté, et cette émotion va dominer le personnage. Le casting repose sur de bons acteurs, mené par le toujours impeccable Robert Carlyle dans le rôle de Rumpelstiltskin. Mais la Reine incarnée par Lana Parrilla manque sa cible, ne ressemblant au final qu'à une garce de soap de bas étage quand elle devrait inspirer de la grandeur et de la méchanceté jouissive, du calibre de celle incarnée par exemple par Joan Collins ou Glenn Close. Il faut malgré tout féliciter ABC de tenter quelque chose de différent. Seulement la prochaine fois il faudra essayer plus fort. Faire mieux. Et plus court.
New York Daily News
Construire cette histoire autour de sous-intrigues et de petits rebondissements dramatiques successifs fait courir le risque à la série de se transformer en soap fantastique - alors que nous voulons simplement savoir si Blanche Neige et Emma vont vivre heureuses pour toujours. Les personnages de la série sont bien dessinés, et c'est une de ses qualité. Mais est-ce que nous aurons autant de patience que les 7 nains concernant le destin de Blanche Neige ?