Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Entertainment weekly
Pan Am jongle entre romance, espionnage et comédie à travers des sous-intrigues qui prendront du temps à se mettre en place. Pour l’heure, le show ne semble pas savoir exactement à quel niveau se positionner, testant ce qui fonctionne et ce qui ne marche pas. Une façon de procéder qui, si elle est menée à bien, permettra d’aboutir à une série très intéressante.
TV Guide
Regarder Pan Am, c’est comme obtenir un passe pour une escapade gratuite, évasion garantie. Si Mad Men préfère l'ombre, Pan Am couvre toute la surface de cette vision idyllique des sixties, telle une douce romance qui nous fait voyager à travers le monde entier. Même les vols les plus périlleux semblent glamour avec Pan Am. Desperate Housewives entamant sa dernière ligne droite, le show pourrait devenir notre nouveau rendez-vous addictif du dimanche. L’épisode pilote est incroyable, immortalisant les hôtesses de l’air dans leurs impeccables uniformes bleus, alors qu’elles embarquent pour un voyage dans de lointaines contrées, à la recherche d’aventure et d’amour, dans la plus pure tradition des meilleures lectures de plage.
Zap2It
Stylée, bien faite et drôle, Pan Am est une sorte de Mad Men plus ensoleillée, et bien plus optimiste que son lointain cousin. Sans trop se l’avouer, le show est dans la veine d’un Mad Men, dramatiquement parlant. En terme de ton, l'éclairage porté sur ce début des années 60 est bien plus lumineux, pour les femmes en particulier et l’Amérique en général.
Boston Globe
Après The Playboy Club, Pan Am est la meilleure série du moment. La romance et le style simple et tellement attrayant sont un régal. En revanche, l’intrigue d’espionnage, liée au contexte politique, est absurde. Et le message autour de la libération de la femme trop insignifiant.
New York Times
Ne serait-ce pour les tenues et la musique des années 60, Pan Am est divertissant à regarder au moins une fois. Il n’y a malheureusement pas de réel bénéfice à retirer de tout ça. Ce genre de séries est généralement un bon indicateur d’ambiance des époques abordées, mais pas ici. Il y a eu de nombreuses séries dont l’action se déroulait dans le passé. That 70's Show à l’époque de l’administration Carter, M.A.S.H. durant la guerre de Corée. D’habitude, le fait de déplacer l’action dans le passé permet de méditer et relativiser par rapport à notre monde contemporain. Ici on se contente juste d’examiner des rites générationnels de passage ou de critiquer la guerre du VietNam sans trop se mouiller.
The Hollywood Reporter
Pan Am semble vouloir rendre les années 60, les hôtesses de l’air et l’ère de l’aviation bien plus glamour que dans la réalité. Contrairement à Mad Men, la série n’a au final ni l’exactitude historique, ni le talent des scénaristes.
Variety
Même si, l'approche décousue et inégale laisse craindre le pire, cette production méticuleusement costumée réserve quelques décollages intéressants, que les moments de turbulences gâchent à jamais pour tout le reste du voyage.
Entertainment weekly
Pan Am jongle entre romance, espionnage et comédie à travers des sous-intrigues qui prendront du temps à se mettre en place. Pour l’heure, le show ne semble pas savoir exactement à quel niveau se positionner, testant ce qui fonctionne et ce qui ne marche pas. Une façon de procéder qui, si elle est menée à bien, permettra d’aboutir à une série très intéressante.
TV Guide
Regarder Pan Am, c’est comme obtenir un passe pour une escapade gratuite, évasion garantie. Si Mad Men préfère l'ombre, Pan Am couvre toute la surface de cette vision idyllique des sixties, telle une douce romance qui nous fait voyager à travers le monde entier. Même les vols les plus périlleux semblent glamour avec Pan Am. Desperate Housewives entamant sa dernière ligne droite, le show pourrait devenir notre nouveau rendez-vous addictif du dimanche. L’épisode pilote est incroyable, immortalisant les hôtesses de l’air dans leurs impeccables uniformes bleus, alors qu’elles embarquent pour un voyage dans de lointaines contrées, à la recherche d’aventure et d’amour, dans la plus pure tradition des meilleures lectures de plage.
Zap2It
Stylée, bien faite et drôle, Pan Am est une sorte de Mad Men plus ensoleillée, et bien plus optimiste que son lointain cousin. Sans trop se l’avouer, le show est dans la veine d’un Mad Men, dramatiquement parlant. En terme de ton, l'éclairage porté sur ce début des années 60 est bien plus lumineux, pour les femmes en particulier et l’Amérique en général.
Boston Globe
Après The Playboy Club, Pan Am est la meilleure série du moment. La romance et le style simple et tellement attrayant sont un régal. En revanche, l’intrigue d’espionnage, liée au contexte politique, est absurde. Et le message autour de la libération de la femme trop insignifiant.
New York Times
Ne serait-ce pour les tenues et la musique des années 60, Pan Am est divertissant à regarder au moins une fois. Il n’y a malheureusement pas de réel bénéfice à retirer de tout ça. Ce genre de séries est généralement un bon indicateur d’ambiance des époques abordées, mais pas ici. Il y a eu de nombreuses séries dont l’action se déroulait dans le passé. That 70's Show à l’époque de l’administration Carter, M.A.S.H. durant la guerre de Corée. D’habitude, le fait de déplacer l’action dans le passé permet de méditer et relativiser par rapport à notre monde contemporain. Ici on se contente juste d’examiner des rites générationnels de passage ou de critiquer la guerre du VietNam sans trop se mouiller.
The Hollywood Reporter
Pan Am semble vouloir rendre les années 60, les hôtesses de l’air et l’ère de l’aviation bien plus glamour que dans la réalité. Contrairement à Mad Men, la série n’a au final ni l’exactitude historique, ni le talent des scénaristes.
Variety
Même si, l'approche décousue et inégale laisse craindre le pire, cette production méticuleusement costumée réserve quelques décollages intéressants, que les moments de turbulences gâchent à jamais pour tout le reste du voyage.