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boscopax
84 abonnés
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Critique de la série
4,5
Publiée le 13 mai 2014
Une excellente surprise pour cette nouvelle série d'espionnage qui ne donnait pas forcément envie de prime abord. On avait peur d'être entre 24 heures chrono et The unit mais il n'en est rien. Homeland se crée sans souci son propre univers pour nous plonger dans le symdrôme post-traumatique, l'espionnage, le terrorisme... Surfant sur un patriotisme volontaire, Homeland joue également avec nos nerfs en effleurant les symboles de l'Etat, l'armée d'un point de vue quasi névrotique de la bi-polarité.
(...) au vu des dernières secondes du double épisode final, Homeland n’a pas fini d’être tortueuse pour son héroïne principale. Critique complète sur : http://www.leblogducinema.com/critiques/critique-serie/critique-serie-homeland-saison-1/
Sans prendre de gants et ce, dès les premières minutes, cette cinquième saison de "Homeland" replonge le spectateur dans le monde de l'espionnage et de l'anti-terrorisme où les intrigues brillamment écrites et riches en rebondissements ne reposent plus, à l'inverse des précédentes saisons, sur l'intensité et sur l'action mais plutôt sur la stratégie et sur un suspense haletant. Un changement qui renouvelle la série tout en restant fidèle au propos. Quant aux acteurs, ils sont toujours aussi excellents. Sans aucun doute, l'une des meilleures saisons.
Encore une très bonne saison avec tout ce qu'il faut pour retenir l'attention du spectateur. Les récents événements terroristes qui se sont produits en France donnent toute sa crédibilité à ce scénario dont la base logistique se situe à Berlin.
La saison de tous les dangers et de toutes les interrogations. Après une fin de troisième saison au caractère définitif et l’annonce d’une quatrième saison un peu poussive, on était en droit de se demander si l’idée était bonne. Qu’en est-il réellement ? Pour ma part, je trouve cette saison légèrement supérieure à la précédente (moins inégale, une histoire prenante du début à la fin, un final très intéressant), mais on reste quand même un poil en-dessous des deux premières. L’énorme point fort de cette saison réside en un truc essentiel : chose rare dans l’univers des séries télé, cette saison 4 réussit à passer spoiler: le cap de la mort de son personnage principal , à se renouveler complètement tout en restant parfaitement dans l’esprit. Car effectivement, bien que différentes des autres saisons (cette fois-ci, on est sur le terrain du conflit), cette saison n’en est pas moins passionnantes. Les personnages gagnent en profondeurs, spoiler: la disparition de Brody permet de développer d’avantage les relations de Carrie avec les autres personnages (et ainsi, spoiler: concrétiser la romance Carrie/Quinn qu’on attendait tous plus ou moins , et on adore parce qu’elle reste fidèle aux personnages).
Les personnages se retrouvent également au pied du mur à plusieurs reprises : tous les anciens vont se retrouver dans une situation soit désespérée soit tragico-dramatique. C’est l’autre point fort aussi de cette saison : personne n’est en sécurité et y’a pas un épisode sans moment WTF ? L’apothéose étant atteint spoiler: lorsque Carrie pète les plombs et revoit Brody …cette scène est juste complètement hallucinante. Je pourrai en donner une bonne dizaine de scène comme ça. Bref, une saison qui commence de façon grandiose et qui se conclut de façon extraordinaire : le dernier épisode laisse présager que ça ne fait que commencer, or quand on voit ce qui vient de se passer, on a un peu peur pour la suite. Seul défaut, à mon sens, de cette saison et le peu d’importance donnée à Franny. On verra si la prochaine saison corrige cela.
Sur le casting, c’est une nouvelle fois de haute volée, avec une Claire Danes toujours aussi époustoufflante dans son rôle de véritable anti-héroïne. On l’adore et pourtant on la déteste tout autant car ses méthodes sont quelques peu non conventionnelles. Claire Danes réussit parfaitement à jouer sur les différentes facettes. Techniquement, c’est toujours aussi top avec une très bonne mise en scène et des scènes d’action parfaitement orchestrées.
Bref, une quatrième saison riche en surprise. Vu la fin de saison 3, c’est un peu en traînant les pieds que j’ai suivi cette saison au début. Et puis finalement, j’y suis rentré à fond et suis resté scotché jusqu’à la fin. On est pas encore au niveau des saisons 1 et 2, mais on pose clairement les bases pour un renouvellement du concept qui fonctionne à merveille. Vivement la saison 5 !
Après une fin de saison 1 ponctuée par un cliffhanger mémorable, on pouvait décemment se demander comment allait se dérouler la seconde. Et bien, il faut bien avouer que l'on est pas déçus. L'ensemble est plutôt réaliste. Le Personnage de Brody est bien travaillé. Seule la relation amoureuse dérange parfois : elle semble surfaite ou insuffisamment sincère. La fin de la saison 2 est parfaite.
La fin de la saison 2 laissait un arrière-goût d'inachevé qu'il fallait abslument combler afin d'obtenir des réponses. Le déroulement de la saison 3 est somme toute logique, brillamment orchestré par le duo Carrie-Saul. Enfin un scénario réaliste et non prévisible à l'avance. Tout coule de source, même la fin, que beaucoup décrivent comme "surprenante" mais qui en réalité ne l'est pas du tout.
Homeland est une série pour l'instant très intrigante. L'on souhaite en savoir davantage. Sa très grande force ne réside pas dans ses personnages mais dans sa réalisation, minutieuse. Le jeu d'acteurs est bon, voire excellent.
Cette saison est probablement la saison des superlatifs. C'est la plus étrange, la plus dérangeante, la plus surprenante, la plus stressante et finalement probablement, la meilleure des 4 premières. On passe par pas mal de sentiments. On notera certains petites ambiguïtés (peut être incohérences) sur le caractère des certains personnages mis dans des situations dans lesquelles on ne les avait jamais vus jusqu'alors. Vivement la saison 5.
Un grand plaisir de trouver Damian Lewis (Life, Band of Brother, Keane,...) et Mandy Patinkin (Dead Like Me, Criminal Minds,...) dans la même série au côté d'une Claire Danes touchante de vérité dans ce rôle de flic du FBI perturbé.
Je n'en dirais pas plus car je suis très souvent en colère de lire des spoilers en permanence dans les commentaires Allociné qui ruinent le suspens. Que font les modérateurs ? Quand on est fan de Ciné/TV, on devrait respecter cette règle plus que tout.
Ceci dit, foncez pour Homeland, ce n'est pas vraiment une série d'action mais on ne s'ennuie pas une seconde parce que ça joue bien et qu'on se demande toujours où vont nous mener les scénaristes.
Homeland rallye tous les suffrages réunissant les ingrédients du succès : un sujet passionnant et actuel, un suspens dosé, des acteurs atypiques et convainquant, et, ce qui ne gâche rien, une certaine intelligence politique. A ne point rater.
Critique pour la saison 2: Que dire si ce n'est sublime. Un scénario formidable on se demande à chaque fois comment ils font pour aller aussi loin dans l'intrigue tout en se renouvelant tout le temps et en restant crédible. Franchement c'est du grand art. Les deux acteurs principaux atteignent des sommets de perfection le suspens est intense il n'y a pas de temps morts bref cette saison surpasse la première. Chef d'oeuvre.
Je viens de regarder les deux premières saisons en trois semaines. Génial! Pourtant j'ai pris du temps à m'y mettre. Les acteurs sont top, l'intrigue prenante, quand on commence on ne peut plus s'arrêter! Alors lancez vous et profitez!
Une brillante première saison, sans aucun doute l'une des meilleures séries américaines actuelles. Prenant contexte durant l'ère Obama, le scénario retrace le retour au pays d'un marine otage d'Al-Qaida durant huit ans, et en parallèle la paranoia d'une agent de la CIA persuadé qu'il a était retourné par ses ravisseurs, une intrigue haletante, qui lâche des rebondissements a chaque épisode et évite avec brio le manichéisme que pouvait avoir une série comme 24, les deux séries sont proches sur la base mais très différente dans le fond. Incroyable d'épisode en épisode, Damian Lewis est un acteur a suivre, une bête contenu capable de rendre passionnant des dialogues simples, et Claire Danes est aussi très bien même si elle agace de temps a autre, et Mandy Patinkin redoutable de sagesse et de persuasion. Plus calme que 24, la mise en scène, géré par Michael Cuesta sur la quasi-totalité de la saison, permet de maintenir ce rythme haletant et intriguant, pour laisser le spectateur toujours sur une tension qui l'empêche avec plaisir d'arrêter. Une série addictive et passionnante, porté par une première saison brillante et prometteuse.
Oula, que ça partait mal. J'ai extrêmement eu de mal avec les trois ou quatre premiers épisodes ou je n'arrivais pas à me mettre dedans. Déjà que la saison 2 m'avait refroidi tellement elle n'atteint pas le niveau d'écriture de la première, sans pour autant être moyenne ou mauvaise, là j'ai failli m'arrêter en cours de saison. Mais parce que je n'aime pas commencer quelque chose sans le finir, j'ai pris mon courage à deux mains pour terminer la série. Et puis plus ça a été et plus j'ai aimé, jusqu'au fameux dernier épisode tant décrié. Les deuxièmes et dernier tiers de cette saison 3 sont assez grandioses, très bien écrits, bien réalisés, et surtout réalistes et pertinents. Certes on se place largement du point de vue américain, mais vu le contexte ça reste quand même assez justifié. Bref, j'ai beaucoup aimé cette saison finalement, autant pour ses enjeux et que pour son rythme. Dans les derniers épisodes on retrouve même l'ambiance de la première saison où on passe du tout au tout sans trop s'y attendre (quoi qu'un peu quand même) et qu'on se demande bien comment tout cela va finir. Enfin, le choix de finir la saison de cette manière (spoiler: supprimer Brody ) m'a plu, car sinon j'avais peur que la suite de la série - vu qu'il y en a une - tourne en rond. Bon, là, c'est sûr que c'est un peu risqué parce qu'il va falloir faire avec (ou plutôt sans) mais au moins on va changer de but et c'est pas plus mal.