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Un visiteur
Critique de la saison 6
5,0
Publiée le 4 octobre 2020
Sir Julian Fellowes nous ouvre une dernière fois les portes de Dowton Abbey, avec cette ultime saison de la série avant son prolongement sur grand écran. Cette nouvelle saison est peut-être la plus riche en rebondissements, moments d'émotions, et scènes larmoyante. Mais aussi la plus maitrisé, et la plus personnelle. Ont sent que ce soit dans la réalisation ou dans l'écriture que les personnages sont arrivés à maturation. Ce chapitre nous donne donc de quoi vibrer et c'est peu dire que les acteurs y sont pour beaucoup, surtout Michelle Dockery et Laura Carmichael magistrales dans les derniers épisodes. Un beau final en apothéose à ce chef d'œuvre du petit écran, qui aura bouleverser le monde ! Une saga familiale enlever et impeccable, mais surtout son authenticité et son humanité à l'image de la vie moderne, une leçon sur le patrimoine et les générations, voilà ce qu'on retiendras des aventures de la famille Crawley.
La famille Crawley et leurs domestiques reviennent pour ce qui est peut-être la saison la plus triste de la série, mais aussi la plus bouleversante. Guerre en Irlande, tensions politiques, catholicisme, anglicanisme, mensonges, prostitutions, charités...autant de sujet très bien traiter et avec beaucoup de respects, sans oublier le couple Robert et Cora toujours grandissants et une Maggie Smith qui a toujours de succulente réplique comme "nous n'allons pas rater un aussi bon gâteau".
La série britannique renaît de ses cendres, au fur et à mesure que les intrigues se déroulent et deviennent plus complexes, mais aussi que les personnages, en particulier les seconds rôles, prennent davantage de l'épaisseur. Racisme, grocesse, deuil, et jeunesse sont au programme de cette seconde saison. Qui outre que de tirer son humour dans le rapport entre le duo Violet/Isabelle représentée par Maggie Smith et Penelope Wilson, tire toute sa fraicheur et son insouciance dans le nouveau personnage de Rose, incarnée avec délice et élégance par une Lily James, profondément touché par ce personnage.
Downton Abbey revient le temps d'une seconde saison. Cela prend toujours autant, désormais les deuils et la tristesse sont passé, cette saison donc s'annonce comme celle de la réconciliation et des retrouvailles. Ces personnages font tellement partie de nos vies, une seconde famille en somme, qu'on ne se lasse pas de découvrir leurs aventures, leurs joies et leurs peine saison après saison.
Une première saison élégante, rythmée, parfaitement bien jouée et réaliser qui nous laisse présager une épopée de grande qualité dans la fin de l'Angleterre de l'ère victorienne. Par le maitre oscarisé du genre pour Gosford Park : Mr Fellowes !
Toute la maisonnée de Downton Abbey revient pour une seconde saison plus aboutie que la première. On y suit nos personnages qui prennent davantage de maturité, et de complexité. Le sujet de la première guerre mondiale permettant de mettre davantage en avant les failles des héros. Les acteurs sont tous superbes surtout le couple Dockery/Stevens qui fait mouche à chaque épisode, ou la gentille Daisy, la courageuse Sibylle...devant tant de prestance, on ne peut tout simplement pas résister. Avec en guest star une Maria Doyle Kennedy exceptionnelle dans son rôle !
Superbe série, qu'on ne se lasse pas de voir. Dialogues fins et ciselés, scenario travaillé et excellents acteurs. Décors magnifiques qui nous font découvrir l'Angleterre aristocratique d'avant guerre. Une fresque historique de grande ampleur qui ne faiblit pas de saison en saison, et ça c'est plutôt rare !
Je ne pourrai pas noter ce film... Film très conseillé par mon entourage. Cependant, l'histoire n'est pas originale malgré un casting incroyable (Maggie Smith, Hugh Bonneville, Dan Stevens,...)
Un Chef d'oeuvre de la télévision ! Tout à déjà était dit à propos de cette série : parfaite, amusante, touchante, romantique je n'ai qu'une chose à dire jugez par vous même mais vous verrez que vous ne l'oublierez pas !!
Des impressions, quelques notes en désordre sur la qualité de la réalisation . Très souvent je faisais un arrêt sur image pour le plaisir de savourer un simple plan comme s'il s'agissait d'un tableau, une œuvre du 18e surtout et parfois on pense à La Tour ( Bates et sa femme de chaque côté d'une lampe) ; Tout au long de la série un très beau et très recherché travail sur la composition, la lumière, la carnation des femmes, les reflets sur les tissus, les plis, la matière des objets. Et aussi un travail remarquable sur les voix (je sais combien beaucoup sont ennuyés par les sous-titres, le fait qu'ils prennent dans l'image une place trop importante, le fait qu'il faut lire et que pendant ce temps on ne voit pas. C'est une question d'habitude, d'accommodation, au point qu'au bout d'un certain temps on n'est absolument plus gêné par le sous-titrage, et qu'on ne peut plus envisager de s'en passer tant on ressent que le doublage prive d'une dimension artistique essentielle ; c'est qu' en réalité la voix du personnage est une émanation de son être, tout le travail de la prise de son et une partie de la direction d'acteur reposent sur cette mise en scène de la diction, de l'intonation ; la prosodie prolongeant ce que l'on peut montrer par l'image. Ainsi comment concevoir autant l'élégance, la distinction, la majesté, la tenue de Mary sans cette voix absolument unique, indescriptible, qui unit la douceur et la domination. On peut dire la même chose à propos du majordome ; cette voix roque gutturale coupante avec ses nuances prolonge le personnage et renvoie à sa complexité et son originalité. Et l'étonnante voix sifflante pleine d'arrogance et de persiflages de la vieille duchesse. Le contenu de ses propos sont amusants ; la voix qui les porte en fait des jeux d'esprit confondants ; une cruauté traversée d'un petits rire. Mais au delà du formel, dont il resterait beaucoup à dire, reste l'attrait incontestable de la fiction.
Une série d'une rare intelligence, toute en subtilité, qui déroule le début du 20eme siècle et ses nombreux changements. Les évènements historiques ( première guerre mondiale, révolution russe, grippe espagnole), sont brillamment distillés au milieu de cette grande famille anglaise privilégiée qui verra au fil des épisodes et des différentes saison se diluer les différences entre aristocrates et les autres. Drôle, émouvant, impeccablement joué (on pardonnera certains personnages un peu caricaturaux), suivre cette série est un véritable bonheur, instructif et passionnant. Une réussite absolue !!!!
J’adore ce film est trop génial est des acteur anglais son superbe de la famille Crawley tout une famille de aristocrate est il ont fait un film en plus que il ont fait la saison 1 a la 6 est la un nouveaux film vas sortie en printemps 2018 c’est bientôt en film
Un bijou anglais avec des acteurs remarquables, le scénario est parfait, on ne s'ennuie pas. Même une pointe d'humour grâce à Maggie Smith qui joue à la perfection la comtesse douairière au caractère bien trempé. Point de vue très intéressant du monde aristocratique et des domestiques évoluant entre tradition et modernité. Qu'on aime ou pas, on succombe aux décors et costumes. C'est ma série préférée et j'aime tous les personnages les uns autant que les autres.
Cette série est une belle découverte de l'Aristocratie des années 20 , il y a 100 ans. Les décors sont magnifiques, les acteurs principaux tirés à 4 épingles, un pur joyau. La demeure familiale est d'une splendeur... pfiouu , les véhicules rutilants...ça vaut réellement le coup d'œil. La cinématographie est léchée. Malheureusement les enjeux, les intrigues, les coups bas, sont quasiment toujours les mêmes d'épisode en épisode, et je trouve les Anglais un peu trop mignons, that's not so British. Arrivant à la fin de la saison 2, j'ai la vague impression d'avoir fait le tour de la série, les petits potins ne captant pas mon attention. Mais visuellement c'est très réussi.
Je viens de visionner 6 saisons de cette s"rie et je ne me suis jamais ennuyé. Une saga familiale que je ne voulais pas tester deux mois auparavant, étant sur de tomber dans quelque chose de déjà vu, ou de péniblement ennuyeux. Mais pas du tout, il y a bien quelques invraisemblances parfois, mais ça se digère toujours très bien. Des éclats de rire, de la tristesse, un tableau simplifié de l'évolution de la société anglaise entre 1910 et 1930, des retournements de situation, des décors très sympas... Petit bémol sur les scènes d'action, visiblement compliquées à mettre en scène pour le réalisateur ( scènes à cheval ou courses automobiles par exemple.)