Créée par Lauren Iungerich, "Awkward" est une série télévisée orientée ado, dans la droite lignée de "Juno". Pas foncièrement originale, elle reste attachante et parfois drôle, offrant une vision désabusée mais jamais fataliste de l'âge ingrat, portée par le charme de la jeune Ashley Rickards. Malheureusement, la seconde saison ne retrouve pas l'éfficacité de la première et demeure franchement ennuyeuse et calibrée, le récit étant exclusivement concentré sur un triangle amoureux dont on se contrefout royalement (et le final laisse supposer que la troisième saison sera du même calibre). Une série inoffensive mais attachante qui avait bien commencé mais qui fini par crouler sous une avalanche de clichés et de lieux communs parfois très agaçants (la pote asiatique qui va forcément tomber amoureuse d'un... asiatique !), pas aidée par quelques seconds rôles insupportables, la palme revenant à Molly Tarlov, à flinguer.
Une petite série assez sympathique et drôle. Un humour décalé, des personnages déjantées (Tamara <3), le personnage principal est torturée mais s'en moque elle même. Bref original, sympa sauf que. La saison 3 est une catastrophe. La série s'épuisait déjà à la fin de la saison 2 mais là... La série se répète, fait comme les autres, perd son originalité. Tout le monde sort avec tout le monde (ce qui gâche toujours les séries), spoiler: le personnage principal devient horrible (même si c'était voulu on a atteint un point de non retour) Bref j'espère vraiment qu'elle va s'améliorer à la saison 4 mais j'ai bien peur que non. Quand on a plus d'idée il vaut mieux arrêter plutôt que faire un tel gâchis.
Les aventures d'une adolescente boulversée, ou pas . Oui ça peut plaire , ou pas , mais ce qui m'a déranger c'est le manque d'originalité , malgré la construction fine et détaillée de toute les saisons . Le format de 20 mn est également trop court pour être correcte à mon avis .
Une très bonne série, mais le niveau baisse au fil des saisons. Des que tout va bien pour Jenna, elle se demande s'il n'y a pas un problème, et on finit par se lasser.