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Nadia T
5 abonnés
435 critiques
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Critique de la série
4,5
Publiée le 2 avril 2017
J'adore, première série sans tabou avec beaucoup de réalisme sur la vie des jeunes femmes d'aujourd'hui. On ne s'en lasse pas. Les actrices sont rigolottes et attachantes. Série qui décomplexe !!!! A voir et de l'humour bien placé qui fait plaisir ! on passe un bon moment !
Décidément série excellente qui se bonifie dans la saison 2. Personnages attachants extrêmement bien écrit et drôle et dramatique à la fois. Du coup saison 3 prochainement !!
Très bonne série. Intelligente, osée, drôle et émouvante. Elle a également le mérite de raconter le quotidien d'une jeune new-yorkaise pas si belle et pas si parfaite. Ce qui est assez rare dans les comédies romantiques.
On est heureux de découvrir une fiction avec de réels sujets : Galère financière, relations complexes ou plates, amitiés sincères ou hypocrites, scènes de sexe crédibles, corps naturels... pas de stupides happy end.
Girls c’est la vie. C’est génial.
Et puis, on aime détester les personnages ! Parce que ce sont de vrais personnalités ! Insupportables, égocentriques, névrosés... bref c’est nous !
Certains diront que Girls est le Sex and the city de la nouvelle generation, peut-être. En tous cas on sent que la crise économique est passée par la et ca fait du bien. Petit retour à la réalité et exit manolo blahnik. Tout ne tourne pas autour de l’amour et des fringues et ça c’est rafraîchissant.
... Mais on pouvait compter sur Lena Dunham pour se reprendre après le petit passage à vide la quatrième saison et nous offrir une cinquième collection de 10 épisodes qui s'avère sans aucun doute la meilleure depuis les débuts de la série. Car "Girls" devient ici bien plus tragique, simplement parce que les petits - ou gros - travers de nos héroïnes et de leurs mecs paraissent de moins en moins charmants au fur et à mesure que les années passent et que s'accumulent les défis de la vie "adulte". Car "Girls" est aussi de plus en plus drôle, avec des répliques qui font mouche, voire qui font mal, et une frontalité de plus en plus complète vis à vis de tout ce qui peut paraître honteux, gênant, impudique dans l'existence. Oui, Lena Dunham a écrit pour cette cinquième saison ses meilleures punchlines, avec plus de méchanceté et aussi plus de générosité, ce qui n'est pas incompatible. Et elle s'est aussi montrée ici encore plus nue que nue, elle qui n'a jamais craint cet exercice pourtant périlleux... et si rare dans le cinéma ou dans la série TV (un exercice qui traduit finalement pleinement la nature "littéraire" du travail de Dunham...). Oui, cette saison 5 est la meilleure, parce qu'on y voit pour la première fois comment on peut tout rater de sa vie - ses amitiés, sa vie de couple, sa vie professionnelle, sa vie sociale - tout en continuant à penser qu'on est encore à l'âge où faire des erreurs n'est pas si grave. Et que tout cela est aussi tragique qu'hilarant !
C'est toujours avec une certaine crainte que l'on aborde la dernière saison d'une série aussi "importante" que "Girls", qui même si elle n'a jamais été immensément populaire, et si elle provoque des réactions épidermiques chez nombre de téléspectateurs, a considérablement redéfini la forme et le fond du récit "féministe" contemporain... Et a fait de Lena Dunham une artiste qui compte au sein de sa génération, ce qui était l'objectif avoué de son alter ego fictionnel Hannah... Sans même mentionner qu'elle a placé le délicieux Adam Driver sur la liste des jeunes acteurs à suivre ! Aucune crainte à avoir, car Lena (et Judd Apatow, co-auteur de l'épisode le plus "important" ici, "What Will We Do This Time About Adam?") tiennent les commandes d'une main ferme. Se recentrant sur le personnage d'Hannah, "Girls" fait donc ici le deuil de l'Amitié et matérialise le passage à une autre phase de la vie d'Hannah (dont le récit ne saurait donc faire partie du projet de la série) par l'arrivée d'un bébé. Il est évidemment illusoire de parler de "maturité" ici, et c'est plutôt l'apparition de nouvelles angoisses, de nouvelles crises potentielles qui caractérise l'épisode final de la série (cet épisode permettant à Lena de pousser encore un cran plus loin l'exhibition "décomplexée" et assez radicale de son corps, qui est l'une des composantes les fortes de la série...) : une partie de la vie d'Hannah a pris fin, et nous quittons notre héroïne avec beaucoup de regrets, mais bien conscients que rien n'est jamais joué, ni pour elle, ni pour ses amis et amies, ni bien sûr pour nous-mêmes. Il nous reste maintenant à essayer de convaincre tous ceux qui ignoré cette belle réussite de la série TV contemporaine de s'y plonger.
PS : Soulignons pour le plaisir un tour de force scénaristique de cette sixième saison, qui forcera nombre d'entre nous à revenir en arrière pour en vérifier la nature : avons-nous été victime d'une ellipse particulièrement brutale, ou bien s'est-il joué quelque chose dans la bouleversante scène de "demande en mariage" entre Hannah et Adam que nous n'avons pas su voir ? C'est tout simplement brillant !
Je viens de finir Girls, après quelques efforts. J'ai été emballé dès les premiers épisodes. Je savais à quoi m'attendre, ayant déjà entendu le côté "trash" de la série, qui, en fait n'a rien de trash. La série n'a rien de choquant, de perturbant, de provocateur. Et c'est bien ça que semble vouloir pointer Lena Dunham, très juste actrice, mais surtout dialoguiste dans l'âme. Le sexe, le corps n'ont rien de "trash". Le "trash", je l'utiliserais plutôt pour décrire une scène de guerre où des gens meurent sans aucune raison. Cette série semble juste montrer, raconter des histoires en accentuant la narration sur le corps, la liberté et la vie comme vivier de souffrance et d'appétit. Lire des critiques appeler ça "trash" me fait bien sourire. Vous n'avez jamais baisé en oubliant les limites que vous vous étiez imposées? Vous n'avez pas envie d'aller tout envoyer faire foutre? Votre corps est-il un objet sacré qu'il ne faut surtout pas toucher? Lena Dunham écrit ce qu'elle a envie d'écrire sans s'excuser, car elle parle de ce qu'elle connaît. Et même si on peut trouver des faiblesses artistiques à la série, je suis content de l'avoir regardée. Pour une simple raison: pleasure.
Attention révélation : Girls donne un bon coup de frais aux série de potes, les vrais, ceux qui parlent sexe bien crûment. Il était temps que ce genre soit adapté version fille, c'est un régal.
La première saison était frustrante car malgré le bon, elle s'enfonçait dans un pathos de questions sur l'identité, l'individualisme, et autre. Ici, les tourments individuels et l'égocentrisme de nos protagonistes continuent mais quels incroyables scénarios nous a offert l'auteure. Avec des dialogues toujours aussi inspirés, une véritable intrigue se forme enfin et chaque épisode à sa propre identité. On assiste alors à un épisode spécial sur une relation éphémère entre Hannah et un inconnu qui l'accueille chez lui, un autre sur la relation entre Jessa et son père. La série se renouvelle constamment, avec des thèmes rarement abordés comme les tocs ou le conflit entre parents et enfant à l'âge adulte (à chaque fois, les séries ou films nous servent des conflits entre parents et adolescents, mettant en avant des problèmes futiles comme le conflit de génération. Ici, une autre approche est exposée.). Une saison donc nettement meilleure, toujours plus incisive et décapante. J'attends la troisième avec impatience donc malgré le final complètement ridicule et surfait (contrairement à la série qui est très authentique).
Série tout simplement hilarante. Un tout nouveau genre, sans tabou et tellement réaliste. Lena Dunham a su retranscrire avec une fidélité rare le quotidien des jeunes femmes d'aujourd'hui. Toutes les actrices sont d'une simplicité et d'une authenticité incroyable. Elle a su éviter tous les pièges faciles des clichés et nous fait découvrir sa fraicheur. Quel bonheur!
La bonne surprise de cette année. Girls est une série réaliste sur des filles qui entre dans le monde adulte et doutent de leurs avenirs. C'est drôles, émouvant, parfois cru, mais ça change réellement de ce qu'on peut voir en général. Lena Dunham a une vraie plume et sait écrire des personnages qui sont loin d'être parfait tout en restant touchant. Elle n'essaye pas de rendre les choses belles et il y a une vraie mise en scène, avec une photographie particulière.
Haaaaaallelujaaah… Enfin ! Enfin une série avec de VRAIS rôles féminins. C’est-à-dire, une série qui ne confine pas ses personnages féminins dans des rôles de seconde zone, de miss parfaites sans profondeur, de fausses rebelles, de gentilles délurées so cute ou plus généralement de belles niaises pleines de bonnes intentions jusqu’à l’overdose. Ici, malgré les apparences, les personnages sont loin des schémas classiques. Girls est une série dont les héroïnes sont enfin des êtres humains bourrés de défauts (et cette fois-ci des costauds), de contradictions, dotés d’humour et génialement imparfaits. Les personnages masculins ne sont pas non plus en reste et présentent des cas cliniques tout aussi intéressants. Tout ce petit monde formant ainsi une galerie de personnages terriblement humains (au sens le plus ambivalent du terme). L'air de rien, "Girls" réussit l'exploit de surprendre, voir de dérouter, des spectateurs de plus en plus rôdés. Avec tous ses magnifiques loosers empêtrés dans cette période si particulière qu'est la période "post-étude", la série transpire de vérité, de second degré, d’originalité, le tout dans une petite ambiance glauque assumée. L’un des reproches que je lis souvent est le narcissisme de Lena Dunham, (qui soit dit en passant semble avoir parfaitement conscience de ce défaut et en joue allégrement dans son scénario, faisant preuve d’une autodérision savoureuse), or le fait qu’elle soit au centre de sa série et se mette en scène de façon aussi crue et peu flatteuse, me semble au contraire représenter la vraie richesse de la série, la faisant sonner incroyablement juste.
Je n'aurais jamais pensé aimer une série dans ce genre, moi qui regarde plus des trucs genre "Game Of Thrones" ou autre mais là Wouw, l'anti-Sexe in the city comme le nome porte bien son nom, c'est cru, drôle, véritable et moi j'adore. Lena Dunham n'hésite pas une seconde à se mettre en scène dans des positions qui ne la mette pas du tout en valeur et elle s'en fiche. Le trailer de la saison 2 est géniale et promet , je l'espère une bonne suite à cette saison 1.
Je viens de regarder 3 épisodes, et j'aime beaucoup , la qualité est au rendez vous , ca ne m'étonne pas de HBO qui a des très bonne série , notamment "True Blood" dont je suis totalement accro & "Games of thrones" ! Je trouve que les gens sont assez dur , l'actrice "principal" est moche vous dite mais justement, dans la vrais vie les femmes ressemble plus a ca, les filles de cette série on se coté naturel , qui fait que l'ont s'identifie facilement au personnage, ca parle de la réalité de la vie, c'est très dur de trouver un boulot a notre époque, l'histoire des parents et le sex ! Je trouve cette série superbe par rapport a ca, ca change de Gossip girl ou 90210, ou tous le monde est canon et le seul sujet de conversation est : "haan tu ma piquer mon mec" "je suis une garce" ext ... Perso j’adhère & je suis ravie , enfin une série avec un vraie sens !