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    Girls
    Critiques spectateurs
    Critiques presse
    Note moyenne
    4,6
    11 titres de presse
    • Entertainment weekly
    • Hitfix
    • Los Angeles Times
    • New York Times
    • TV Guide
    • The Hollywood Reporter
    • Time
    • Washington Post
    • New York Daily News
    • New York Post
    • Red Eye

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    11 critiques presse

    Entertainment weekly

    Dunham a ciselé une comédie avec brio (...) Parfois lorsquelle décide de faire se succéder une scène comique puis une sérieuse, elle touche juste, via des dialogues vifs, parfois même jetés, dessinant ainsi des personnages vivants et profonds qui réfléchissent à leurs vies, sans être suffisamment armés pour articuler leurs idées et leurs discours avec confiance et conviction (...) Voilà une série ambitieuse et bourrée de talent, qui pourrait en se développant devenir encore plus puissante et riche.

    La critique complète est disponible sur le site Entertainment weekly

    Hitfix

    Dans le Series Premiere, Hannah (ndlr : jouée par Lena Dunham) montre à ses parents une ébauche de son livre incomplet et leur dit : "Je ne veux pas vous effrayer mais je crois que je suis "LA" voix de ma génération", avant de se reprendre, "En tout cas, une voix d'une génération". Voilà une réplique sacrément culottée pour un premier épisode de série, même si le contexte général du show nous fait comprendre très vite qu'il ne faut pas prendre tout cela très au sérieux. N'étant pas une femme, et n'ayant plus 20 ans, je ne peux pas vous dire très exactement ce que réussit à capturer Girls à propos de cette génération de femmes. Mais je peux vous dire que la série a bien une voix, une belle voix même : brillante, éclairée, chaleureuse et qui ne ressemble à rien de ce que vous avez entendu auparavant.

    La critique complète est disponible sur le site Hitfix

    Los Angeles Times

    Si la base de Girls est étonnament classique, ce que Dunham y ajoute ne l'est pas. La franchise avec laquelle ces jeunes femmes se dévoilent, émotionnellement comme physiquement, n'est rien de moins que révolutionnaire. De nombreuses comédies de et sur les femmes qui ont été lancées ces derniers mois prennent un malin plaisir à aller aussi loin dans le langage, la vulgarité, les évocations sexuelles que dans les comédies "de mecs", mais au final c'est avant tout de la posture. De son côté, Girls émerge du brouillard de l'adolescence, une période où tout est toujours remarquablement simple et compliqué. La sexualité propre à chacune de ces Girls est la leur, elle leur appartient dans l'image comme dans la pratique, et est loin d'être érotique. Et cette sexualité joue moins un rôle humorisitique qu'elle ne cherche à dresser un portrait ambivalent de ces personnages. Ainsi, dans une scène en particulier, Hannah (ndlr : jouée par Lena Dunham) est aussi perplexe par le fait que l'acte sexuel soit déshumanisé que par le fait qu'elle désire un Gatorade après.

    La critique complète est disponible sur le site Los Angeles Times

    New York Times

    Une des raisons pour lesquelles Girls est dérangeante tient au fait qu'elle est une série acerbe, qu'elle est un rappel froid que la nature humaine ne change pas. On parlait beaucoup de sexe dans les années 60, mais il n'y a pas vraiment eu une révolution sexuelle. En ce qui concerne l'égalité, la libération sexuelle et l'indépendance, la vie et les amours des jeunes femmes de Girls ne sont finalement pas plus réjouissantes que celles de leurs grands-mères. Pire, leurs objectifs professionnels sont sans doute encore plus dégradés. Et tel est le socle comique de Girls. Sex & the City était une comédie sur l'échec amoureux enveloppée dans le manteau du succès. Girls est une comédie sur l'échec amoureux habillée avec l'imper' de l'échec.

    La critique complète est disponible sur le site New York Times

    TV Guide

    Dans Girls, le sexe est souvent à l'origine de problèmes, fréquemment étrange, émotionnellement dérangeant et jamais romantique; et la ville (New York, et plus particulièrement le quartier de Brooklyn) accueille rarement les petits nouveaux avec générosité. Les personnages s'endorment peut-être en pensant à la réussite de Mary dans The Mary Tyler Moore Show, mais justement ils n'ont pas autant de succès - et je ne suis même pas sûr qu'ils s'en apercevraient si c'était le cas. Mais cette petite bande est fascinante, troublante, grisante. Girls est une série authentique, originale, sur laquelle on rêve de tomber un jour ; et une fois que c'est le cas, on n'a qu'une envie : que tout le monde la découvre à son tour.

    La critique complète est disponible sur le site TV Guide

    The Hollywood Reporter

    Dans les 3 premiers épisodes (sur une saison de 10), Dunham réussit à dessiner une véritable amitié féminine entre les personnages, fait entendre la colère de ces filles sur le point de devenir adultes, crée des relations subtiles, parle de sexualité, d'estime de soi, du rapport à l'image, de l'intimité dans un monde technologique fondé paradoxalement sur la distance, de la survie dans une ville comme New York quand on n'a pas d'argent ou encore de l'évolution de notre façon d'élever nos enfants - le tout emballé avec humour et émotion (...) Girls repose également sur une distribution tellement juste que vous avez envie d'applaudir à la fin de chaque épisode

    La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter

    Time

    Comme vous, dans le passé, j'ai résisté ou été victime du buzz assourdissant précédant des séries, la dernière en date étant Smash. Je ne vous en veux donc pas de douter de la qualité de Girls, elle-même précédée par un buzz similaire. Mais voilà ce que je peux vous dire : Girls mérite, en fait, effectivement ces éloges. Chaque année, des nouvelles séries contiennent leurs lots de promesses, lesquelles se confirment, ou non, pour telle ou telle raison. Mais avec un peu de chance, il arrive qu'il y ait une ou deux séries qui soient instantanément originales et réussies : Girls est brute, audacieuse, nuancée et riche, et très souvent à mourir de rire (...) Quelquefois le buzz a une vraie raison d'être.

    La critique complète est disponible sur le site Time

    Washington Post

    Toutes les femmes de Girls projettent ce je-ne-sais-quoi de tristesse et d'incertitude. Le ton véritable de la série suffit à la distancer de Whitney, 2 Broke Girls, de Zooey Deschanel ou, pire, des histoires racontées par des programmes de télé-réalité dans lesquelles des Kim Kardashian parlent avec un ton pincé et des intonations qui ridiculisent les jeunes femmes d'aujourd'hui. A côté de Girls, toutes ces séries donc ne ressemblent à rien de moins qu'un collage incomplet qui serait réalisé via Pinterest (ndlr : site qui permet de sélectionner et de relever des articles, des photos, des vidéos... sur tout le web)

    La critique complète est disponible sur le site Washington Post

    New York Daily News

    Girls est différente - meilleure, intelligente et plus honnête que la moyenne des sitcoms. Mais elle se concentre peut-être trop sur la cible étriquée des filles de 20 ans (...) Si Dunham pousse le bouchon de l'absurde, elle ne recule pas non plus devant l'émotion. Son but est clairement de dramatiser un monde et un univers dont tout le monde se souvient : ces années un peu floues, juste avant de décrocher son premier job sérieux ou de rencontrer "la" bonne personne, quand on pouvait agir et réagir de manière impulsive sans se soucier des conséquences. La série est tellement centrée sur ces filles-là, en particulier, et sur leurs rêves "de" Sex & the City qu'elle a parfois du mal à toucher le public qui n'est pas dans ce cercle.

    La critique complète est disponible sur le site New York Daily News

    New York Post

    Avec Judd Apatow comme producteur et scénariste, ces filles vont certainement vous rappeler les losers de ses comédies hilarantes. La seule chose embêtante, c'est qu'on ne se sent jamais désolé pour ces personnages. Je ne pouvais pas m'empêcher de penser, en regardant la série, que si elle avait bien été créée par une femme, elle était forcément soutenue par un homme. Cela étant dit, si vous êtes une femme et que vous n'avez pas encore 28 ans, vous allez probablement beaucoup vous retrouver dans ces filles et leurs luttes. Si vous êtes plus âgés, vous devriez sérieusement tenir jusqu'à l'épisode 3, qui signe le vrai départ de la série. Hannah (ndlr : jouée par Lena Dunham) retrouve un ex de l'université qui a fait son coming out, et c'est tout à la fois touchant, brillant et hilarant.

    La critique complète est disponible sur le site New York Post

    Red Eye

    Voilà des filles avec lesquelles je n'ai pas envie de passer mon temps (...) Elles sont tellement centrées sur elles-mêmes qu'il en devient compliqué de ressentir quelque chose pour elles ou d'être de leur côté lorsque quelque chose ne va pas. Et cela va rarement, d'ailleurs, essentiellement parce qu'elles font tout pour se saboter elles-mêmes.

    La critique complète est disponible sur le site Red Eye
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