Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Vulture
par Matt Zoller Seitz
Le pilote du drame musical Vinyl est l'un des meilleurs films de Martin Scorsese, une explosion d'amplis et d'effets Larsen, de nez enneigés, de chemises aux larges cols et de chaos ; les quatre prochains épisodes sont au moins aussi bons et si l'on se base sur la moitié de la première saison, elle semble déjà l'une des séries à voir de 2016.
La critique complète est disponible sur le site Vulture
Wall Street Journal
par Dorothy Rabinowitz
Pour ses créateurs et son fin casting, cette évocation exubérante, dure et en même temps formidable d'une ère disparue semble avoir marché comme prévu.
La critique complète est disponible sur le site Wall Street Journal
Télé Loisirs
par Emilie Meunier
Sans le moindre doute, Vinyl est l’une des séries les plus punk que l’on ait eu l’occasion de découvrir. On parie fort que cette série vous donnera l’envie de ressortir vos vieux disques et votre platine vinyle.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
DailyMars
par Yann Kerjan
La série fonctionne mieux lorsqu’elle s’empare de son sujet musical. Paradoxalement, les passages où il est question du milieu professionnel de Finestra déçoivent. La proximité temporelle avec Mad Men est alors au désavantage de Vinyl.
La critique complète est disponible sur le site DailyMars
Le Monde
par Pierre Serisier
Avec Vinyl, la nouvelle production de HBO qui arrive en France sur OCS, Martin Scorsese et Terence Winter ont surtout fait une nouvelle série de gangsters. Ce qui est une très bonne nouvelle car dans ce créneau, ils n'ont guère de rivaux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Clélia Cohen
Ce qui rend le projet de la série si pertinent, c’est la rencontre de cette métropole décadente et des possibles musicaux qu’elle autorisait alors : (…) Pas étonnant que les gars qui devaient gérer tout ça, les patrons de maisons de disques ou de radios, soient devenus dingues. Et il y a beaucoup de dinguerie dans Vinyl.
La critique complète est disponible sur le site Libération
New York Daily News
par Don Kaplan
C'est un conte de fée rock'n'roll dur, un coup de poing raconté par les meilleurs du métier. Il y a peu de chance que Vinyl s'éteigne ou disparaisse.
La critique complète est disponible sur le site New York Daily News
The Hollywood Reporter
par Tim Goodman
Cette nouvelle série HBO nous plongeant dans l'industrie de la musique convainc plus difficilement lorsqu'elle se focalise sur la musique elle-même, mais excèle malgré tout grâce à la brillante performance de Bobby Cannavale.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
USA Today
par Robert Bianco
Chaque fois que l'histoire faiblit, l'amour de la série et des personnages pour la musique populaire sous toutes ses formes la rattrape. Dans certaines scènes, cette musique est utilisée pour approfondir les personnages; dans d'autres, elle pointe un détail de l'industrie musicale. Mais cela renforce toujours Vinyl, et vous laisse toujours penser que quelque chose de différent est en train de se passer, et que ce quelque chose important à propos de cet endroit où art et commerce cohabitent.
La critique complète est disponible sur le site USA Today
Washington Post
par Hank Stuever
Testotérone est toujours clairement la substance préférée d'HBO et celle à laquelle nous sommes accros. La testostérone est ce qui pousse la guitare à se briser contre la télévision, ou écraser la tête d'un adversaire menaçant dans une rage guidée par la drogue. (...) Vinyl est le moyen pour HBO de rappeler au reste de la télévision mondiale qu'elle a le torse le plus touffu et le plus sexy de toutes.
La critique complète est disponible sur le site Washington Post
20 Minutes
par Benjamin Chapon
Richie Finestra est un superbe héros Scorsesien interprété par Bobby Cannavale. Derrière lui, les personnages secondaires semblent fades. Surtout sa femme, interprétée par Olivia Wilde.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Point
par Philippe Guedj
Supervisés par le scénariste showrunner Terence Winter, les 10 épisodes de cette première saison de Vinyl s'ouvrent par un pilote somptuaire de 112 minutes (…) C'est tout le problème de cette introduction en Scorsese majeur, littéralement vampirisée par le show permanent du réalisateur (…) Le reste est à l'avenant et Bobby Cannavale semble trouver le ton juste pour faire de son alter ego un concentré de nitroglycérine, un quadra déréglé digne héritier de Don Draper, Tony Soprano et Walter White.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
New York Times
par Mike Hale
(...) La série commence rapidement à consacrer moins de temps à la musique et davantage à des trames scénaristiques ennuyeuses et formulatiques, dont une crise maritale, une enquête criminelle, et une secrétaire de maison de disques tentant de faire son trou. Malgré tout, vous regardez Vinyl, pour le portrait du sardonique et intelligent Richie Finestra par Bobby Cannavale.
La critique complète est disponible sur le site New York Times
Boston Globe
par Matthew Gilbert
Si la saison entière est du niveau du pilote, Vinyl pourrait devenir épuisant. C'est une histoire sur l'excès racontée avec excès, et après un moment, l'histoire et les personnages ont besoin de respirer, et nous aussi.
La critique complète est disponible sur le site Boston Globe
Ecran Large
par Simon Riaux
Fort d’une direction artistique absolument démente, de moyens qui s’annoncent colossaux et d’un casting parfait, le show ne demande qu’à éclore de ce fatras rutilant. Porté par un Bobby Cannavale colossal, le récit a en lui tout ce qu’il faut pour se transformer en pure boule de feu électrique.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
GQ
par Caroline Veunac
La plus belle idée de la série : raconter l’histoire d’un homme pour qui le rock est à la fois une religion et une sexualité. Entre ces deux moments orgasmiques, Vinyl déroule de manière plus conventionnelle l’imagerie qu’on attend de Martin Scorsese et Mick Jagger.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Télérama
par Pierre Langlais
Le plus grand défi de Vinyl, après son pilote, était de développer ses personnages. Au terme des 110 premières minutes, seul Finestra existait (…) Ce n'est un échec complet, mais après une demi-saison, un constat s’impose : le pilote de Vinyl était un excellent film de Martin Scorsese, mais la suite n’est pas (encore) une grande série.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Vanity Fair
par La Rédaction
D’un extrême à l’autre, Vinyl apparaît comme un objet hybride, qui n’atteint jamais complètement la brève incandescence d’un film, et ne trouve pas non plus le tempo ample et long d’une vraie et bonne série télé.
La critique complète est disponible sur le site Vanity Fair
Newsday
par Verne Gay
Il y a de l'espoir. En travaillant ensemble, Scorses et Winter ont mis de la grandeur dans Boardwalk Empire. Peut-être qu'ils en mettront également [dans Vinyl]. J'aurais juste aimé qu'ils la trouvent plus tôt.
La critique complète est disponible sur le site Newsday
Variety
par Brian Lowry
Le pilote de deux heures est une affaire bien compliquée, tantôt hypnotisante, tantôt agaçante, donnant un avant-goût de ce qui arrive, mais trop occupée à faire preuve de prouesses stylistiques. Ceci étant dit, c'est le grand projet que seul HBO aurait pu livrer, mais pour l'instant, l'album n'est pas à la hauteur de la jaquette.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Vulture
Le pilote du drame musical Vinyl est l'un des meilleurs films de Martin Scorsese, une explosion d'amplis et d'effets Larsen, de nez enneigés, de chemises aux larges cols et de chaos ; les quatre prochains épisodes sont au moins aussi bons et si l'on se base sur la moitié de la première saison, elle semble déjà l'une des séries à voir de 2016.
Wall Street Journal
Pour ses créateurs et son fin casting, cette évocation exubérante, dure et en même temps formidable d'une ère disparue semble avoir marché comme prévu.
Télé Loisirs
Sans le moindre doute, Vinyl est l’une des séries les plus punk que l’on ait eu l’occasion de découvrir. On parie fort que cette série vous donnera l’envie de ressortir vos vieux disques et votre platine vinyle.
DailyMars
La série fonctionne mieux lorsqu’elle s’empare de son sujet musical. Paradoxalement, les passages où il est question du milieu professionnel de Finestra déçoivent. La proximité temporelle avec Mad Men est alors au désavantage de Vinyl.
Le Monde
Avec Vinyl, la nouvelle production de HBO qui arrive en France sur OCS, Martin Scorsese et Terence Winter ont surtout fait une nouvelle série de gangsters. Ce qui est une très bonne nouvelle car dans ce créneau, ils n'ont guère de rivaux.
Libération
Ce qui rend le projet de la série si pertinent, c’est la rencontre de cette métropole décadente et des possibles musicaux qu’elle autorisait alors : (…) Pas étonnant que les gars qui devaient gérer tout ça, les patrons de maisons de disques ou de radios, soient devenus dingues. Et il y a beaucoup de dinguerie dans Vinyl.
New York Daily News
C'est un conte de fée rock'n'roll dur, un coup de poing raconté par les meilleurs du métier. Il y a peu de chance que Vinyl s'éteigne ou disparaisse.
The Hollywood Reporter
Cette nouvelle série HBO nous plongeant dans l'industrie de la musique convainc plus difficilement lorsqu'elle se focalise sur la musique elle-même, mais excèle malgré tout grâce à la brillante performance de Bobby Cannavale.
USA Today
Chaque fois que l'histoire faiblit, l'amour de la série et des personnages pour la musique populaire sous toutes ses formes la rattrape. Dans certaines scènes, cette musique est utilisée pour approfondir les personnages; dans d'autres, elle pointe un détail de l'industrie musicale. Mais cela renforce toujours Vinyl, et vous laisse toujours penser que quelque chose de différent est en train de se passer, et que ce quelque chose important à propos de cet endroit où art et commerce cohabitent.
Washington Post
Testotérone est toujours clairement la substance préférée d'HBO et celle à laquelle nous sommes accros. La testostérone est ce qui pousse la guitare à se briser contre la télévision, ou écraser la tête d'un adversaire menaçant dans une rage guidée par la drogue. (...) Vinyl est le moyen pour HBO de rappeler au reste de la télévision mondiale qu'elle a le torse le plus touffu et le plus sexy de toutes.
20 Minutes
Richie Finestra est un superbe héros Scorsesien interprété par Bobby Cannavale. Derrière lui, les personnages secondaires semblent fades. Surtout sa femme, interprétée par Olivia Wilde.
Le Point
Supervisés par le scénariste showrunner Terence Winter, les 10 épisodes de cette première saison de Vinyl s'ouvrent par un pilote somptuaire de 112 minutes (…) C'est tout le problème de cette introduction en Scorsese majeur, littéralement vampirisée par le show permanent du réalisateur (…) Le reste est à l'avenant et Bobby Cannavale semble trouver le ton juste pour faire de son alter ego un concentré de nitroglycérine, un quadra déréglé digne héritier de Don Draper, Tony Soprano et Walter White.
New York Times
(...) La série commence rapidement à consacrer moins de temps à la musique et davantage à des trames scénaristiques ennuyeuses et formulatiques, dont une crise maritale, une enquête criminelle, et une secrétaire de maison de disques tentant de faire son trou. Malgré tout, vous regardez Vinyl, pour le portrait du sardonique et intelligent Richie Finestra par Bobby Cannavale.
Boston Globe
Si la saison entière est du niveau du pilote, Vinyl pourrait devenir épuisant. C'est une histoire sur l'excès racontée avec excès, et après un moment, l'histoire et les personnages ont besoin de respirer, et nous aussi.
Ecran Large
Fort d’une direction artistique absolument démente, de moyens qui s’annoncent colossaux et d’un casting parfait, le show ne demande qu’à éclore de ce fatras rutilant. Porté par un Bobby Cannavale colossal, le récit a en lui tout ce qu’il faut pour se transformer en pure boule de feu électrique.
GQ
La plus belle idée de la série : raconter l’histoire d’un homme pour qui le rock est à la fois une religion et une sexualité. Entre ces deux moments orgasmiques, Vinyl déroule de manière plus conventionnelle l’imagerie qu’on attend de Martin Scorsese et Mick Jagger.
Télérama
Le plus grand défi de Vinyl, après son pilote, était de développer ses personnages. Au terme des 110 premières minutes, seul Finestra existait (…) Ce n'est un échec complet, mais après une demi-saison, un constat s’impose : le pilote de Vinyl était un excellent film de Martin Scorsese, mais la suite n’est pas (encore) une grande série.
Vanity Fair
D’un extrême à l’autre, Vinyl apparaît comme un objet hybride, qui n’atteint jamais complètement la brève incandescence d’un film, et ne trouve pas non plus le tempo ample et long d’une vraie et bonne série télé.
Newsday
Il y a de l'espoir. En travaillant ensemble, Scorses et Winter ont mis de la grandeur dans Boardwalk Empire. Peut-être qu'ils en mettront également [dans Vinyl]. J'aurais juste aimé qu'ils la trouvent plus tôt.
Variety
Le pilote de deux heures est une affaire bien compliquée, tantôt hypnotisante, tantôt agaçante, donnant un avant-goût de ce qui arrive, mais trop occupée à faire preuve de prouesses stylistiques. Ceci étant dit, c'est le grand projet que seul HBO aurait pu livrer, mais pour l'instant, l'album n'est pas à la hauteur de la jaquette.